Les travailleurs de la filiale Sonatrach Génie Civil et Bâtiment (GCB) exerçant dans le Sud ne décolèrent toujours pas. Hier, et pour la deuxième journée consécutive, ils ont protesté devant le siège de la direction générale à Boumerdès pour réclamer leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Les travailleurs de la filiale Sonatrach Génie Civil et Bâtiment (GCB) exerçant dans le Sud ne décolèrent toujours pas. Hier, et pour la deuxième journée consécutive, ils ont protesté devant le siège de la direction générale à Boumerdès pour réclamer leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Les manifestants qui se disent lésés dans leur droit, venus également de plusieurs wilayas du pays, ont passé la nuit pour la deuxième reprise devant le siège. « Nous avons passé la nuit à la belle étoile pour faire valoir nos droits », lancent-ils. Ils contestent la décision de l'administration qui consiste à ne pas renouveler leur contrat au Sud suite à l'instruction de Premier ministre, Sellal, de favoriser les citoyens du Sud dans le recrutement. Les employés disent ne pas comprendre l'attitude de l'administration, jugée précipitée, alors que l'instruction de Sellal ne prévoyait pas de mettre dehors des gens pour les remplacer avec d'autres. Ils dénoncent « la décision arbitraire de leur entreprise alors qu'ils cumulent des dizaines d'années d'expérience ». Certains d'entre eux attendaient déjà des décisions de titularisation après une quinzaine d'années, mais la nouvelle de la non-reconduction de leur contrat est tombée tel un couperet. « C'est inadmissible, mettre dehors des employés ayant de l'expérience pour les remplacer avec d'autres qui n'ont n'en pas », s'indigne un protestataire venu de Constantine avant d'ajouter : « Nous ne sommes pas contre le recrutement des autres citoyens malgré que ça soit leur région, mais nous sommes contre cette politique qui favorise le régionalisme. » En sus de cela, ils dénoncent le « silence des responsables syndicaux qui, selon eux, n'ont rien fait pour eux ». Les protestataires étaient déterminés, hier à poursuivre leur mouvement jusqu'à satisfaction de leur revendication. Par ailleurs, suite à l'instruction de Sellal, au lendemain des mouvements de protestation des chômeurs du Sud, plusieurs entreprises nationales et étrangères, dont des multinationales, auraient procédé au licenciement du personnel, notamment les contractuels recrutés par voie de sous-traitance. Les manifestants qui se disent lésés dans leur droit, venus également de plusieurs wilayas du pays, ont passé la nuit pour la deuxième reprise devant le siège. « Nous avons passé la nuit à la belle étoile pour faire valoir nos droits », lancent-ils. Ils contestent la décision de l'administration qui consiste à ne pas renouveler leur contrat au Sud suite à l'instruction de Premier ministre, Sellal, de favoriser les citoyens du Sud dans le recrutement. Les employés disent ne pas comprendre l'attitude de l'administration, jugée précipitée, alors que l'instruction de Sellal ne prévoyait pas de mettre dehors des gens pour les remplacer avec d'autres. Ils dénoncent « la décision arbitraire de leur entreprise alors qu'ils cumulent des dizaines d'années d'expérience ». Certains d'entre eux attendaient déjà des décisions de titularisation après une quinzaine d'années, mais la nouvelle de la non-reconduction de leur contrat est tombée tel un couperet. « C'est inadmissible, mettre dehors des employés ayant de l'expérience pour les remplacer avec d'autres qui n'ont n'en pas », s'indigne un protestataire venu de Constantine avant d'ajouter : « Nous ne sommes pas contre le recrutement des autres citoyens malgré que ça soit leur région, mais nous sommes contre cette politique qui favorise le régionalisme. » En sus de cela, ils dénoncent le « silence des responsables syndicaux qui, selon eux, n'ont rien fait pour eux ». Les protestataires étaient déterminés, hier à poursuivre leur mouvement jusqu'à satisfaction de leur revendication. Par ailleurs, suite à l'instruction de Sellal, au lendemain des mouvements de protestation des chômeurs du Sud, plusieurs entreprises nationales et étrangères, dont des multinationales, auraient procédé au licenciement du personnel, notamment les contractuels recrutés par voie de sous-traitance.