La moitié du bureau politique du FLN s'est réuni, hier, à Alger. Une réunion qui a accentué la crise dans laquelle baigne le vieux parti depuis plus de six mois. La moitié du bureau politique du FLN s'est réuni, hier, à Alger. Une réunion qui a accentué la crise dans laquelle baigne le vieux parti depuis plus de six mois. Sans chef depuis la destitution de Abdelaziz Belkhadem du poste de secrétaire général, n'ayant pas pu « placer » un successeur au cours de la réunion houleuse du CC, tenue justement pour cette fin, les membres de cette instance se tirent dans les pattes à qui mieux mieux pour tenter de placer leur poulain. Depuis l'épisode du candidat du « consensus », Abderrezak Bouhara, fermé avec la disparition subite de ce dernier, le FLN peine à trouver un nouveau chef et se retrouve plus divisé que jamais. La réunion d'hier à laquelle ont participé huit membres du BP a été une occasion pour ces derniers de tirer à boulets rouge sur Abderrahmane Belayat pour avoir pris certaines décisions sans en référer au BP. Un coup de force qui s'est retourné contre lui. Les membres du BP qui étaients présent à la réunion d'« évaluation », a-t-on dit, en l'occurrence les poids lourds du parti, à savoir Tayeb Louh, Abdelaziz Ziari, Rachid Harraoubia, Amar Tou, Leïla Eltayeb, Habiba Bahloul et Mohamed Alioui ne se sont pas privés de dire tout le mal qu'ils pensaient de la démarche unilatérale de Belayat. Dans un communiqué de presse, publié hier à l'issue de cette réunion, ces membres du BP, instance suprême du parti ont annoncé la décision de mettre fin à la mission de coordination confiée à Abderrahmane Belayat qui ne s'est pas conformé au règlement intérieur et aux statuts du parti. Les décisions prises unilatéralement par Abderrahmane sont déclarées caducs par ces membres du Bureau politique qui appelle à une prise de décision qui engage le parti d'une manière collégiale. En outre, il est fait état d'autres décisions. Désormais, la succession de Abdelaziz Belkhadem et la gestion des affaires du FLN relèvera du BP du parti. Les décisions seront prises de manière collégiale. Dans ce cadre, une importante réunion du BP du parti se tiendra la semaine prochaine. Elle est qualifiée de « décisive » par Kassa Aïssi, chargé de communication, initiateur de la réunion de samedi dernier qui espère la participation de tous les membres du Bureau politique pour dépasser la crise dans laquelle s'est empêtré le vieux parti. à l'ordre du jour de cette réunion, il est prévu de réunir au plus vite le comité central (CC) du FLN à l'effet de mettre fin à la vacance du poste de secrétaire général du parti. En l'état actuel, il est peu probable que le Comité central puisse se réunir. La crise au sein du FLN a atteint des dimension insoupçonnables. Ce n'est plus une affaire de divergences sur le programme ou d'orientations idéologiques du parti qui le divise. Il y a des animosités personnelles très fortes et tellement bien ancrées entre certains membres influents du parti qu'ils seraient très difficiles pour eux de les dépasser même au prix de concessions réciproques. A moins qu'une décision venue d'en haut ne vienne rappeler les uns et les autres à la « raison ». Sans chef depuis la destitution de Abdelaziz Belkhadem du poste de secrétaire général, n'ayant pas pu « placer » un successeur au cours de la réunion houleuse du CC, tenue justement pour cette fin, les membres de cette instance se tirent dans les pattes à qui mieux mieux pour tenter de placer leur poulain. Depuis l'épisode du candidat du « consensus », Abderrezak Bouhara, fermé avec la disparition subite de ce dernier, le FLN peine à trouver un nouveau chef et se retrouve plus divisé que jamais. La réunion d'hier à laquelle ont participé huit membres du BP a été une occasion pour ces derniers de tirer à boulets rouge sur Abderrahmane Belayat pour avoir pris certaines décisions sans en référer au BP. Un coup de force qui s'est retourné contre lui. Les membres du BP qui étaients présent à la réunion d'« évaluation », a-t-on dit, en l'occurrence les poids lourds du parti, à savoir Tayeb Louh, Abdelaziz Ziari, Rachid Harraoubia, Amar Tou, Leïla Eltayeb, Habiba Bahloul et Mohamed Alioui ne se sont pas privés de dire tout le mal qu'ils pensaient de la démarche unilatérale de Belayat. Dans un communiqué de presse, publié hier à l'issue de cette réunion, ces membres du BP, instance suprême du parti ont annoncé la décision de mettre fin à la mission de coordination confiée à Abderrahmane Belayat qui ne s'est pas conformé au règlement intérieur et aux statuts du parti. Les décisions prises unilatéralement par Abderrahmane sont déclarées caducs par ces membres du Bureau politique qui appelle à une prise de décision qui engage le parti d'une manière collégiale. En outre, il est fait état d'autres décisions. Désormais, la succession de Abdelaziz Belkhadem et la gestion des affaires du FLN relèvera du BP du parti. Les décisions seront prises de manière collégiale. Dans ce cadre, une importante réunion du BP du parti se tiendra la semaine prochaine. Elle est qualifiée de « décisive » par Kassa Aïssi, chargé de communication, initiateur de la réunion de samedi dernier qui espère la participation de tous les membres du Bureau politique pour dépasser la crise dans laquelle s'est empêtré le vieux parti. à l'ordre du jour de cette réunion, il est prévu de réunir au plus vite le comité central (CC) du FLN à l'effet de mettre fin à la vacance du poste de secrétaire général du parti. En l'état actuel, il est peu probable que le Comité central puisse se réunir. La crise au sein du FLN a atteint des dimension insoupçonnables. Ce n'est plus une affaire de divergences sur le programme ou d'orientations idéologiques du parti qui le divise. Il y a des animosités personnelles très fortes et tellement bien ancrées entre certains membres influents du parti qu'ils seraient très difficiles pour eux de les dépasser même au prix de concessions réciproques. A moins qu'une décision venue d'en haut ne vienne rappeler les uns et les autres à la « raison ».