Qui est le chef «légitime» du groupe parlementaire FLN à l'Assemblée populaire nationale ? Tahar Khaoua ou Mohamed Lebid ? Le premier a été «installé» par l'ex-secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem. Qui est le chef «légitime» du groupe parlementaire FLN à l'Assemblée populaire nationale ? Tahar Khaoua ou Mohamed Lebid ? Le premier a été «installé» par l'ex-secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem. Quand au deuxième, il a été «désigné» par le coordinateur du bureau politique (BP), Abderrahmane Belayat qui vient de perdre la confiance de plus de la moitié des membres du BP et des pas moindres à l'image de Amar Tou, Rachid Harrouabia, Tayeb Louh, Leïla Ettayeb et bien d'autres. La bataille, commencée dans les travées de la Chambre basse du Parlement, le chef de groupe Tahar Khaoua avait nié à Belayat toute prérogative de nommer ou de dégommer le chef du groupe parlementaire du FLN et refusé de quitter son poste. «Je suis toujours le président du groupe parlementaire et le seul responsable qui peut me remplacer est le secrétaire général du parti dont le poste est vacant», a-t-il affirmé. Abderrahmane Belayat avait insisté et avait affirmé que le nouveau président du groupe parlementaire a pris ses fonctions avec toutes les attributions. La lutte a connu un répit à la faveur de la clôture de la session de printemps de l'APN. Le nouveau président du groupe parlementaire, Mohamed Lebid,, avait affirmé qu'il a commencé son travail «normalement». La preuve qu'il a brandie : il avait présidé, lundi 16 juillet, au bureau du président du groupe parlementaire, une réunion avec les députés consacrée à la préparation du programme d'action pour le mois de Ramadhan et le mois d'août prochain. Donc, cette réunion du chef du groupe parlementaire du FLN, Lebid Mohamed avec les députés de son parti a eu lieu juste avant la réunion du BP, tenue samedi dernier, initié par le chargé de la communication au sein du parti, Kassa Aïssa. A l'issue de cette réunion à laquelle ont participé neuf membres du BP sur les 14 que compte cette instance suprême du vieux parti un document a été signé par les participants à ce conclave et dans lequel les ukases prises par le coordinateur du BP, Abderrahmane Belayat ont été tout simplement déclarés caducs du fait, ont-ils expliqué, que ce dernier a agi d'une manière unilatérale sans consulter les autres membres du BP pour prendre ces décisions. Le premier visé est le chef du groupe FLN à l'APN, Mohamed Lebid qui doit sa «désignation» à Belayat. Au lendemain de cette rencontre et sans attendre, le coordinateur du BP réagit à travers un communiqué rendu public. Il rappelle que le FLN a désigné et installé dans ses fonctions Mohamed Lebid, chef de groupe parlementaire du FLN le 4 juillet 2013 en présence des membres du BP et un nombre de présidents de commissions permanentes au siège de l'APN. Par voie de conséquence, il est dit dans le texte signé Abderrahmane Belayat qu'il n'est permis à quiconque de parler ou d'agir au nom du groupe parlementaire à l'intérieur ou à l'extérieur de l'APN. Avec cette sortie de Belayat, la bataille au FLN s'élargit à tous les fronts. Sans SG depuis plus des mois, un bureau politique qui peine à assurer une cohésion mise à mal depuis la destitution de Abdelaziz Belkhadem et revoilà que la lutte entre les pro et anti-Belkhadem rejaillit de nouveau au sein de la Chambre basse du Parlement. Au fait, nombre d'observateurs de la scène politique nationale s'interrogent. Qui fait quoi au FLN depuis la destitution de Belkhadem ? Son départ devait rendre dans son sillage toutes les instances du FLN caduques. Il n'en fut rien en raison de deux clans du parti au sein du comité central de s'entendre sur un candidat «consensuel» pour remplacer l'ex-SG.La maison FLN prend l'eau de toutes parts. Elle se dirige tout droit vers un naufrage qui emportera biens et personnes. Est-ce le musée qui l'attend ? Quand au deuxième, il a été «désigné» par le coordinateur du bureau politique (BP), Abderrahmane Belayat qui vient de perdre la confiance de plus de la moitié des membres du BP et des pas moindres à l'image de Amar Tou, Rachid Harrouabia, Tayeb Louh, Leïla Ettayeb et bien d'autres. La bataille, commencée dans les travées de la Chambre basse du Parlement, le chef de groupe Tahar Khaoua avait nié à Belayat toute prérogative de nommer ou de dégommer le chef du groupe parlementaire du FLN et refusé de quitter son poste. «Je suis toujours le président du groupe parlementaire et le seul responsable qui peut me remplacer est le secrétaire général du parti dont le poste est vacant», a-t-il affirmé. Abderrahmane Belayat avait insisté et avait affirmé que le nouveau président du groupe parlementaire a pris ses fonctions avec toutes les attributions. La lutte a connu un répit à la faveur de la clôture de la session de printemps de l'APN. Le nouveau président du groupe parlementaire, Mohamed Lebid,, avait affirmé qu'il a commencé son travail «normalement». La preuve qu'il a brandie : il avait présidé, lundi 16 juillet, au bureau du président du groupe parlementaire, une réunion avec les députés consacrée à la préparation du programme d'action pour le mois de Ramadhan et le mois d'août prochain. Donc, cette réunion du chef du groupe parlementaire du FLN, Lebid Mohamed avec les députés de son parti a eu lieu juste avant la réunion du BP, tenue samedi dernier, initié par le chargé de la communication au sein du parti, Kassa Aïssa. A l'issue de cette réunion à laquelle ont participé neuf membres du BP sur les 14 que compte cette instance suprême du vieux parti un document a été signé par les participants à ce conclave et dans lequel les ukases prises par le coordinateur du BP, Abderrahmane Belayat ont été tout simplement déclarés caducs du fait, ont-ils expliqué, que ce dernier a agi d'une manière unilatérale sans consulter les autres membres du BP pour prendre ces décisions. Le premier visé est le chef du groupe FLN à l'APN, Mohamed Lebid qui doit sa «désignation» à Belayat. Au lendemain de cette rencontre et sans attendre, le coordinateur du BP réagit à travers un communiqué rendu public. Il rappelle que le FLN a désigné et installé dans ses fonctions Mohamed Lebid, chef de groupe parlementaire du FLN le 4 juillet 2013 en présence des membres du BP et un nombre de présidents de commissions permanentes au siège de l'APN. Par voie de conséquence, il est dit dans le texte signé Abderrahmane Belayat qu'il n'est permis à quiconque de parler ou d'agir au nom du groupe parlementaire à l'intérieur ou à l'extérieur de l'APN. Avec cette sortie de Belayat, la bataille au FLN s'élargit à tous les fronts. Sans SG depuis plus des mois, un bureau politique qui peine à assurer une cohésion mise à mal depuis la destitution de Abdelaziz Belkhadem et revoilà que la lutte entre les pro et anti-Belkhadem rejaillit de nouveau au sein de la Chambre basse du Parlement. Au fait, nombre d'observateurs de la scène politique nationale s'interrogent. Qui fait quoi au FLN depuis la destitution de Belkhadem ? Son départ devait rendre dans son sillage toutes les instances du FLN caduques. Il n'en fut rien en raison de deux clans du parti au sein du comité central de s'entendre sur un candidat «consensuel» pour remplacer l'ex-SG.La maison FLN prend l'eau de toutes parts. Elle se dirige tout droit vers un naufrage qui emportera biens et personnes. Est-ce le musée qui l'attend ?