Les galas se déroulent dans un climat de quiétude et de fraternité total. La même atmosphère des grands jours règne dans tous les villages... Les galas se déroulent dans un climat de quiétude et de fraternité total. La même atmosphère des grands jours règne dans tous les villages... A l'instar du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, les autres villes de la wilaya et aussi les villages n'échappent pas à l'animation qui bat son plein durant toute la soirée. L'ambiance festive est la même partout. Sauf que dans les villages, la présence féminine n'est pas du tout à l'ordre du jour. Mais quand il y a des programmes d'animation artistique au menu, même les femmes ne ratent pas l'occasion de s'y rendre en famille. A l'initiative des collectivités locales, certains chefs-lieux communaux ont abrité plusieurs soirées artistiques depuis le début de ramadhan. C'est le cas du chef-lieu de la commune de Boudjima. L'école primaire de ce village a abrité deux spectacles artistiques animés par des jeunes chanteurs issus de la région. Une occasion inespérée offerte à ces derniers pour se produire devant des dizaines de spectateurs. Les spectacles en question dure jusqu'à 2h du matin et l'accès y est gratuit et surtout familial. Les galas se sont déroulés dans un climat de quiétude et de fraternité total malgré le fait que les habitants de la région ne soient pas habitués à ce genre d'activités en soirée. La même atmosphère des grands jours règne dans d'autres villages, en l'absence de la gent féminine toutefois. C'est le cas par exemple du village Levdahi, dépendant de la commune de Tizi-Ouzou où les cafés maures sont pris d'assaut dès le début de la soirée pour n'être désertés qu'à une heure tardive. Des dizaines de tables sont d'ailleurs entreposées à l'extérieur des cafés maures pour permettre à ces derniers d'accueillir un maximum de clients qui viennent, non seulement siroter le café pressé tant convoité, mais aussi pour regarder la télévision ensemble, animer des discussions interminables et parfois jouer au loto, le jeu fétiche du mois de ramadhan et qui n'épargne pratiquement aucun village de la wilaya de Tizi-Ouzou. En effet, les jeux du hasard battent leur plein dans la région du premier jusqu'au dernier jour du mois de ramadhan. Les citoyens attendent quotidiennement et avec impatience la rupture du jeun afin de pouvoir se livrer à cœur joie à cette passion favorite qui fait parfois saigner le portefeuille de ceux qui ne peuvent pas se maîtriser et se laisser entraîner dans les méandres de ce jeu qui se pratiquent ici depuis des décennies. L'ambiance dans les cafés maures se fait au détriment de la chaleur familiale et des visites qui s'effectuaient jadis en de telles occasions. Actuellement, il semble que l'individualisme n'a pas épargné jusqu'au village le plus reculé d'Algérie. Quant aux jeunes et aux adolescents, ils n'hésitent pas à enfiler carrément leurs maillots de bains et prendre le bus vers les plages en pleine nuit. C'est le cas des citoyens de la commune de Ouaguenoun, 15 kilomètres au nord-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ces derniers se déplacent par dizaines pour profiter de la fraîcheur de la mer mais aussi pour avoir sa part de plaisir dans la natation. D'autres personnes préfèrent se rendre dans la ville de Tizi-Ouzou qui grouille de monde dès que la rupture du jeun est terminée. Les mêmes images de belle vie sont enregistrées chaque soir dans les autres villes de la wilaya comme Fréha, Tigzirt, Larbâa Nath Irathen, Drâa El- Mizan, Aïn El-Hammam, Drâa Ben-Khedda. En somme, les soixante sept communes que compte la wilaya de Tizi-Ouzou, dorment pendant la journée et vivent à plein régime durant la nuit. ramadhan, c'est aussi et surtout cette ambiance exceptionnelle qui, d'année en année, connaît un nouvel élan et croît inéluctablement. A l'instar du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, les autres villes de la wilaya et aussi les villages n'échappent pas à l'animation qui bat son plein durant toute la soirée. L'ambiance festive est la même partout. Sauf que dans les villages, la présence féminine n'est pas du tout à l'ordre du jour. Mais quand il y a des programmes d'animation artistique au menu, même les femmes ne ratent pas l'occasion de s'y rendre en famille. A l'initiative des collectivités locales, certains chefs-lieux communaux ont abrité plusieurs soirées artistiques depuis le début de ramadhan. C'est le cas du chef-lieu de la commune de Boudjima. L'école primaire de ce village a abrité deux spectacles artistiques animés par des jeunes chanteurs issus de la région. Une occasion inespérée offerte à ces derniers pour se produire devant des dizaines de spectateurs. Les spectacles en question dure jusqu'à 2h du matin et l'accès y est gratuit et surtout familial. Les galas se sont déroulés dans un climat de quiétude et de fraternité total malgré le fait que les habitants de la région ne soient pas habitués à ce genre d'activités en soirée. La même atmosphère des grands jours règne dans d'autres villages, en l'absence de la gent féminine toutefois. C'est le cas par exemple du village Levdahi, dépendant de la commune de Tizi-Ouzou où les cafés maures sont pris d'assaut dès le début de la soirée pour n'être désertés qu'à une heure tardive. Des dizaines de tables sont d'ailleurs entreposées à l'extérieur des cafés maures pour permettre à ces derniers d'accueillir un maximum de clients qui viennent, non seulement siroter le café pressé tant convoité, mais aussi pour regarder la télévision ensemble, animer des discussions interminables et parfois jouer au loto, le jeu fétiche du mois de ramadhan et qui n'épargne pratiquement aucun village de la wilaya de Tizi-Ouzou. En effet, les jeux du hasard battent leur plein dans la région du premier jusqu'au dernier jour du mois de ramadhan. Les citoyens attendent quotidiennement et avec impatience la rupture du jeun afin de pouvoir se livrer à cœur joie à cette passion favorite qui fait parfois saigner le portefeuille de ceux qui ne peuvent pas se maîtriser et se laisser entraîner dans les méandres de ce jeu qui se pratiquent ici depuis des décennies. L'ambiance dans les cafés maures se fait au détriment de la chaleur familiale et des visites qui s'effectuaient jadis en de telles occasions. Actuellement, il semble que l'individualisme n'a pas épargné jusqu'au village le plus reculé d'Algérie. Quant aux jeunes et aux adolescents, ils n'hésitent pas à enfiler carrément leurs maillots de bains et prendre le bus vers les plages en pleine nuit. C'est le cas des citoyens de la commune de Ouaguenoun, 15 kilomètres au nord-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ces derniers se déplacent par dizaines pour profiter de la fraîcheur de la mer mais aussi pour avoir sa part de plaisir dans la natation. D'autres personnes préfèrent se rendre dans la ville de Tizi-Ouzou qui grouille de monde dès que la rupture du jeun est terminée. Les mêmes images de belle vie sont enregistrées chaque soir dans les autres villes de la wilaya comme Fréha, Tigzirt, Larbâa Nath Irathen, Drâa El- Mizan, Aïn El-Hammam, Drâa Ben-Khedda. En somme, les soixante sept communes que compte la wilaya de Tizi-Ouzou, dorment pendant la journée et vivent à plein régime durant la nuit. ramadhan, c'est aussi et surtout cette ambiance exceptionnelle qui, d'année en année, connaît un nouvel élan et croît inéluctablement.