Glenn Greenwald, journaliste au Guardian, basé au Brésil, affirme que les documents que lui a confié Snowden prouvent que les Etats-Unis ne cherchaient pas seulement à se prémunir du terrorisme, mais aussi à se livrer à des activités d'espionnage économique et industriel. Le journaliste Glenn Greenwald a déclaré mardi détenir jusqu'à 20.000 documents secrets remis par l'ex-consultant américain de la NSA Edward Snowden, lors d'une audition devant une commission du Sénat brésilien. Glenn Greenwald, journaliste au Guardian, basé au Brésil, affirme que les documents que lui a confié Snowden prouvent que les Etats-Unis ne cherchaient pas seulement à se prémunir du terrorisme, mais aussi à se livrer à des activités d'espionnage économique et industriel. Le journaliste Glenn Greenwald a déclaré mardi détenir jusqu'à 20.000 documents secrets remis par l'ex-consultant américain de la NSA Edward Snowden, lors d'une audition devant une commission du Sénat brésilien. Ce collaborateur américain du Guardian basé au Brésil a affirmé que le programme mondial de surveillance électronique des communications par le renseignement américain ne visait pas seulement à identifier des terroristes, comme l'affirme Washington, mais aussi à se livrer à des activités d'espionnage économique et industriel. A l'origine des premières révélations de l'affaire Snowden, Greenwald a fait ces déclarations devant la Commission des relations extérieures du Sénat du Brésil, qui l'auditionnait sur les révélations du fugitif Edward Snowden, aujourd'hui réfugié à Moscou. «Je n'ai pas compté exactement, mais il m'a remis entre 15.000 et 20.000 documents, très très complets et très longs», a déclaré Greenwald. «Les articles que nous avons publiés représentent une portion très petite» du contenu de ces documents, a-t-il ajouté sans en préciser la teneur. «Il va y avoir en toute certitude de nouvelles révélations sur l'espionnage du gouvernement des Etats-Unis et des gouvernements alliés (...) qui, comme les premiers ont pénétré les systèmes (de communication) du Brésil et d'Amérique latine», a ajouté le journaliste, questionné par des sénateurs brésiliens. Greenwald a publié récemment dans le quotidien brésilien O Globo des articles basés sur des documents remis par Snowden, selon lesquels le Brésil faisait partie d'un réseau de 16 bases d'espionnage opérées par le renseignement américain. Ce collaborateur américain du Guardian basé au Brésil a affirmé que le programme mondial de surveillance électronique des communications par le renseignement américain ne visait pas seulement à identifier des terroristes, comme l'affirme Washington, mais aussi à se livrer à des activités d'espionnage économique et industriel. A l'origine des premières révélations de l'affaire Snowden, Greenwald a fait ces déclarations devant la Commission des relations extérieures du Sénat du Brésil, qui l'auditionnait sur les révélations du fugitif Edward Snowden, aujourd'hui réfugié à Moscou. «Je n'ai pas compté exactement, mais il m'a remis entre 15.000 et 20.000 documents, très très complets et très longs», a déclaré Greenwald. «Les articles que nous avons publiés représentent une portion très petite» du contenu de ces documents, a-t-il ajouté sans en préciser la teneur. «Il va y avoir en toute certitude de nouvelles révélations sur l'espionnage du gouvernement des Etats-Unis et des gouvernements alliés (...) qui, comme les premiers ont pénétré les systèmes (de communication) du Brésil et d'Amérique latine», a ajouté le journaliste, questionné par des sénateurs brésiliens. Greenwald a publié récemment dans le quotidien brésilien O Globo des articles basés sur des documents remis par Snowden, selon lesquels le Brésil faisait partie d'un réseau de 16 bases d'espionnage opérées par le renseignement américain.