Des efforts énormes sont déployés par les responsables et les employés de l'université Mouloud-Mammeri depuis des semaines afin de permettre l'accueil de milliers d'étudiants dans les meilleures conditions possibles pour la rentrée universitaire 2013/2014. Des efforts énormes sont déployés par les responsables et les employés de l'université Mouloud-Mammeri depuis des semaines afin de permettre l'accueil de milliers d'étudiants dans les meilleures conditions possibles pour la rentrée universitaire 2013/2014. Le problème de la surcharge aussi bien dans les amphithéâtres mais surtout au niveau des résidences universitaires se posera également pour cette année. La raison en est toute simple. Malgré la réalisation de nouveaux pôles et de nouvelles infrastructures, il n'en demeure pas moins que le nombre d'étudiants nouveaux qui affluent sur cette université ne cesse de croître également. Mais grâce aux efforts multiples, les choses finissent toujours par rentrer dans l'ordre avec quelque peu de retard. Pour la nouvelle année universitaire, qui est à nos portes, le nombre de nouveaux étudiants sera de l'ordre de pas moins de 6.842. Ces nouveaux bacheliers seront orientés vers les différents campus que compte cette grande université comme Hasnoaua, Oued Aïssi, Boukhalfa, Hamlat, Bastos et Tamda. Ces futurs diplômés universitaires seront répartis comme suit : 1.443 vers les sciences économiques et gestion et sciences commerciales, 1.416 vers les filières technologiques et 747 vers les sciences humaines. Ces nouvelles recrues porteront le nombre global des étudiants, toutes spécialités et tous niveaux confondus, à 50.000. Ce chiffre est extrêmement élevé au vu des capacités d'accueil de l'université Mouloud-Mammeri. Selon les responsables de la même structure universitaire, pour cette année aussi, de nouvelles infrastructures seront réceptionnées dès la rentrée. Ce qui ne sera pas sans diminuer la pression et le problème du sureffectif qui frape l'université Mouloud- Mammeri de plein fouet, plus particulièrement depuis une dizaine d'années. Un problème qui est dû essentiellement au nombre sans cesse grandissant des nouveaux bacheliers. Pour cette année universitaire, l'université en question va bénéficier également de nouvelles places pédagogiques ainsi que de nouveaux immeubles d'hébergement. Ce qui permettra aux étudiants de souffler un tant soit peu. La mise en service de ces nouvelles réalisations n'est pas toutefois sûre. Des retards dans l'avancement des travaux, notamment dans les chantiers du pôle universitaire de Tamda, ont été à maintes fois relevés. Le wali de Tizi-Ouzou, Abdelkader Bouazghi, n'a cessé de rappeler à l'ordre les entreprises réalisatrices pour accélérer la cadence. En vain. Actuellement, les projets en question accusent des retards qui vont sans doute se répercuter négativement sur la scolarité des étudiants. C'est le cas particulièrement au niveau du pôle universitaire de Tamda, situé à une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Toutefois et malgré toutes les difficultés qui peuvent être recensés, la rentrée universitaire à l'université de Tizi- Ouzou se déroule souvent dans de très bonnes conditions malgré le fait que cette université est en proie à des manipulations politiciennes et partisanes qui font que l'année universitaire est très souvent émaillée par des grèves illimitées qui sont dans la plupart des cas injustifiées. Le problème de la surcharge aussi bien dans les amphithéâtres mais surtout au niveau des résidences universitaires se posera également pour cette année. La raison en est toute simple. Malgré la réalisation de nouveaux pôles et de nouvelles infrastructures, il n'en demeure pas moins que le nombre d'étudiants nouveaux qui affluent sur cette université ne cesse de croître également. Mais grâce aux efforts multiples, les choses finissent toujours par rentrer dans l'ordre avec quelque peu de retard. Pour la nouvelle année universitaire, qui est à nos portes, le nombre de nouveaux étudiants sera de l'ordre de pas moins de 6.842. Ces nouveaux bacheliers seront orientés vers les différents campus que compte cette grande université comme Hasnoaua, Oued Aïssi, Boukhalfa, Hamlat, Bastos et Tamda. Ces futurs diplômés universitaires seront répartis comme suit : 1.443 vers les sciences économiques et gestion et sciences commerciales, 1.416 vers les filières technologiques et 747 vers les sciences humaines. Ces nouvelles recrues porteront le nombre global des étudiants, toutes spécialités et tous niveaux confondus, à 50.000. Ce chiffre est extrêmement élevé au vu des capacités d'accueil de l'université Mouloud-Mammeri. Selon les responsables de la même structure universitaire, pour cette année aussi, de nouvelles infrastructures seront réceptionnées dès la rentrée. Ce qui ne sera pas sans diminuer la pression et le problème du sureffectif qui frape l'université Mouloud- Mammeri de plein fouet, plus particulièrement depuis une dizaine d'années. Un problème qui est dû essentiellement au nombre sans cesse grandissant des nouveaux bacheliers. Pour cette année universitaire, l'université en question va bénéficier également de nouvelles places pédagogiques ainsi que de nouveaux immeubles d'hébergement. Ce qui permettra aux étudiants de souffler un tant soit peu. La mise en service de ces nouvelles réalisations n'est pas toutefois sûre. Des retards dans l'avancement des travaux, notamment dans les chantiers du pôle universitaire de Tamda, ont été à maintes fois relevés. Le wali de Tizi-Ouzou, Abdelkader Bouazghi, n'a cessé de rappeler à l'ordre les entreprises réalisatrices pour accélérer la cadence. En vain. Actuellement, les projets en question accusent des retards qui vont sans doute se répercuter négativement sur la scolarité des étudiants. C'est le cas particulièrement au niveau du pôle universitaire de Tamda, situé à une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Toutefois et malgré toutes les difficultés qui peuvent être recensés, la rentrée universitaire à l'université de Tizi- Ouzou se déroule souvent dans de très bonnes conditions malgré le fait que cette université est en proie à des manipulations politiciennes et partisanes qui font que l'année universitaire est très souvent émaillée par des grèves illimitées qui sont dans la plupart des cas injustifiées.