Le Coordonnateur spécial des Nations unies pour le Liban, Robert Watkins, a déclaré mardi que les conditions de travail des travailleurs humanitaires dans le pays se détérioraient en raison de l'afflux continu de réfugiés syriens et de l'éruption fréquente d'incidents de violence. Le Coordonnateur spécial des Nations unies pour le Liban, Robert Watkins, a déclaré mardi que les conditions de travail des travailleurs humanitaires dans le pays se détérioraient en raison de l'afflux continu de réfugiés syriens et de l'éruption fréquente d'incidents de violence. Dans un communiqué de presse, M. Watkins déclaré que le Liban abrite environ "688.000 Syriens, 90.000 Palestiniens et environ 40.000 Libanais qui ont fui la Syrie qui est déchiré par la guerre", une situation qui inflige un lourd fardeau sur le pays. Il a notamment réitéré que le nombre de personnes déplacées au Liban atteindra un million d'ici la fin de l'année si la situation en Syrie continue à se détériorer. Tout en saluant la décision libanaise pour garder sa frontière ouverte pour les personnes déplacées, il a souligné que la situation "représente un grand défi pour les travailleurs humanitaires des Nations unies et des ONG partenaires, car ils mettent leur vie en danger pour aider les réfugiés". Le coordinateur de l'Onu a mis en garde que plus des réfugiés entrent au Liban, plus la situation sécuritaire continuera à être tendre, ajoutant que "ce que nous essayons de faire, c'est de calmer la tension entre les Syriens et les Libanais en leur donnant davantage d'aide humanitaire". Dans un communiqué de presse, M. Watkins déclaré que le Liban abrite environ "688.000 Syriens, 90.000 Palestiniens et environ 40.000 Libanais qui ont fui la Syrie qui est déchiré par la guerre", une situation qui inflige un lourd fardeau sur le pays. Il a notamment réitéré que le nombre de personnes déplacées au Liban atteindra un million d'ici la fin de l'année si la situation en Syrie continue à se détériorer. Tout en saluant la décision libanaise pour garder sa frontière ouverte pour les personnes déplacées, il a souligné que la situation "représente un grand défi pour les travailleurs humanitaires des Nations unies et des ONG partenaires, car ils mettent leur vie en danger pour aider les réfugiés". Le coordinateur de l'Onu a mis en garde que plus des réfugiés entrent au Liban, plus la situation sécuritaire continuera à être tendre, ajoutant que "ce que nous essayons de faire, c'est de calmer la tension entre les Syriens et les Libanais en leur donnant davantage d'aide humanitaire".