Depuis quelques temps, le secteur des transports dans la wilaya de Tizi-Ouzou est très mal organisé. Souvent, les milliers de voyageurs que compte la wilaya de Tizi- Ouzou ne savent pas à quel saint se vouer «pour se rendre du centre-ville à la gare interwilayas de Bouhinoune, j'ai passé une heure dans le bus » déplore un père de famille qui devait prendre le bus, à partir de la gare de Bouhinoune pour se rendre à la capitale pour une affaire urgente. Depuis quelques temps, le secteur des transports dans la wilaya de Tizi-Ouzou est très mal organisé. Souvent, les milliers de voyageurs que compte la wilaya de Tizi- Ouzou ne savent pas à quel saint se vouer «pour se rendre du centre-ville à la gare interwilayas de Bouhinoune, j'ai passé une heure dans le bus » déplore un père de famille qui devait prendre le bus, à partir de la gare de Bouhinoune pour se rendre à la capitale pour une affaire urgente. Ce cas n‘est qu‘un parmi tant d‘autres. Pourquoi le trajet du centre-ville vers la gare de Bouhinoune tient-il une heure en sachant que la distance n‘est que de trois kilomètres ? En plus du problème crucial des embouteillages qui ronge la ville de Tizi-Ouzou, il faut souligner que les bus qui assurent cette liaison empruntent un trajet un peu particulier. En effet, le bus en question démarre à partir de la station de la rue Lamali. Mais il ne se dirige pas directement vers la gare de Bouhinoune. Ce qui aurait nécessité beaucoup moins de temps. Le bus doit d‘abord traverser les boulevard Abane-Ramdane et Larbi-Ben- M‘hidi pour ensuite se diriger vers la nouvelle station de fourgons de Tigzirt-Drâa Ben-Khedda. Ceci se fait au grand dam des centaines de voyageurs qui sont empressés pour arriver à la gare intermodale. Après quoi, le bus fait demi-tour au niveau de la station dite Badkouf, sur la route d‘Alger. Les pérégrinations de voyageurs ne s‘arrêtent pas là puisque le même bus doit encore revenir en ville une deuxième fois pour ensuite traverser les boulevard Stiti et les autres rues pour terminer à destination. Les citoyens s‘interrogent à juste titre pourquoi les responsables du secteur des transports ont jumelé les lignes qui mènent vers les stations de Tigzirt-Drâa Ben Khedda et celle de Bouhinoun en sachant pertinemment qu‘elles ne sont pas situées sur la même trajectoire. C‘est donc un véritable supplice pour se rendre vers la gare de Bouhinoune mais aussi pour se déplacer de cette dernière vers le centre ville. La situation est pratiquement la même pour les autres destinations de la wilaya. Ce problème qui semble insoluble a germé suite à la mise en place du nouveau plan de transport pour le centre ville de Tizi-Ouzou dont la conséquence a été la délocalisation de toutes les stations de fourgons et de bus menant vers les 67 communes que compte la wilaya. L‘objectif de cette opération est certes positif car il vise à désengorger une ville qui étouffe de plus en plus mais le choix de cette solution ne semble guère appropriée. Ainsi, avec la fermeture récente de l‘ancienne gare routière sise à la sortie ouest de la ville de Tizi-Ouzou, les voyageurs des régions de Tigzirt, Makouda, Tirmitine, Drâa Ben-Khedda et Tadmait doivent désormais subir un véritable calvaire et les choses vont s‘empirer avec l‘arrivée de l‘hiver. En effet, la nouvelle station en question n‘a de station que le nom. Aucun Abribus n‘y est érigé. De même que cette dernière est située en pleine autoroute Tizi-Ouzou-Alger. Il faut être sur place pour constater le branle bas de combat quotidien auquel ont droit les centaines de citoyens qui s‘y trouvent. Au départ, les autorités ont assuré qu‘il s‘agissait d‘une situation provisoire et que ces lignes allaient avoir droit à une délocalisation vers un lieu plus adéquat pour ce genre d‘activité. Mais l‘attente semble très longue. A cause de cette cacophonie, les citoyens de Drâa Ben-Khedda doivent faire une escale pour un trajet d‘à peine onze kilomètres. C‘est aberrant, soulignent les concernés qui ne cessent de déplorer cet état des lieux mais sans trouver d‘oreille attentive. L‘anarchie dont il est question n‘épargne pas non plus les voyageurs qui fréquentent les autres stations comme celle de Timizart Loghbar, Oued Aïssi, Ath Douala. Ce cas n‘est qu‘un parmi tant d‘autres. Pourquoi le trajet du centre-ville vers la gare de Bouhinoune tient-il une heure en sachant que la distance n‘est que de trois kilomètres ? En plus du problème crucial des embouteillages qui ronge la ville de Tizi-Ouzou, il faut souligner que les bus qui assurent cette liaison empruntent un trajet un peu particulier. En effet, le bus en question démarre à partir de la station de la rue Lamali. Mais il ne se dirige pas directement vers la gare de Bouhinoune. Ce qui aurait nécessité beaucoup moins de temps. Le bus doit d‘abord traverser les boulevard Abane-Ramdane et Larbi-Ben- M‘hidi pour ensuite se diriger vers la nouvelle station de fourgons de Tigzirt-Drâa Ben-Khedda. Ceci se fait au grand dam des centaines de voyageurs qui sont empressés pour arriver à la gare intermodale. Après quoi, le bus fait demi-tour au niveau de la station dite Badkouf, sur la route d‘Alger. Les pérégrinations de voyageurs ne s‘arrêtent pas là puisque le même bus doit encore revenir en ville une deuxième fois pour ensuite traverser les boulevard Stiti et les autres rues pour terminer à destination. Les citoyens s‘interrogent à juste titre pourquoi les responsables du secteur des transports ont jumelé les lignes qui mènent vers les stations de Tigzirt-Drâa Ben Khedda et celle de Bouhinoun en sachant pertinemment qu‘elles ne sont pas situées sur la même trajectoire. C‘est donc un véritable supplice pour se rendre vers la gare de Bouhinoune mais aussi pour se déplacer de cette dernière vers le centre ville. La situation est pratiquement la même pour les autres destinations de la wilaya. Ce problème qui semble insoluble a germé suite à la mise en place du nouveau plan de transport pour le centre ville de Tizi-Ouzou dont la conséquence a été la délocalisation de toutes les stations de fourgons et de bus menant vers les 67 communes que compte la wilaya. L‘objectif de cette opération est certes positif car il vise à désengorger une ville qui étouffe de plus en plus mais le choix de cette solution ne semble guère appropriée. Ainsi, avec la fermeture récente de l‘ancienne gare routière sise à la sortie ouest de la ville de Tizi-Ouzou, les voyageurs des régions de Tigzirt, Makouda, Tirmitine, Drâa Ben-Khedda et Tadmait doivent désormais subir un véritable calvaire et les choses vont s‘empirer avec l‘arrivée de l‘hiver. En effet, la nouvelle station en question n‘a de station que le nom. Aucun Abribus n‘y est érigé. De même que cette dernière est située en pleine autoroute Tizi-Ouzou-Alger. Il faut être sur place pour constater le branle bas de combat quotidien auquel ont droit les centaines de citoyens qui s‘y trouvent. Au départ, les autorités ont assuré qu‘il s‘agissait d‘une situation provisoire et que ces lignes allaient avoir droit à une délocalisation vers un lieu plus adéquat pour ce genre d‘activité. Mais l‘attente semble très longue. A cause de cette cacophonie, les citoyens de Drâa Ben-Khedda doivent faire une escale pour un trajet d‘à peine onze kilomètres. C‘est aberrant, soulignent les concernés qui ne cessent de déplorer cet état des lieux mais sans trouver d‘oreille attentive. L‘anarchie dont il est question n‘épargne pas non plus les voyageurs qui fréquentent les autres stations comme celle de Timizart Loghbar, Oued Aïssi, Ath Douala.