Les prix du pétrole reculaient mardi en cours d'échanges européens, suite à l'atténuation des inquiétudes sur une intervention militaire en Syrie, susceptible de perturber l'ensemble du Moyen-Orient. Les prix du pétrole reculaient mardi en cours d'échanges européens, suite à l'atténuation des inquiétudes sur une intervention militaire en Syrie, susceptible de perturber l'ensemble du Moyen-Orient. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 113,00 dollars en fin de matinée, en baisse de 72 cents par rapport à la clôture de lundi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 1 dollar, à 108,52 dollars. "Les prix du brut ont reculé fortement (lundi), le Brent chutant de 2,2%, son plus fort déclin journalier depuis mi-juin, alors que s'atténuent les inquiétudes autour d'une intervention (militaire) en Syrie", expliquait un analyste du courtier Sucden. Et les cours pétroliers poursuivaient leur chute mardi en cours d'échanges européens, "la proposition russe de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international aidant à soulager les inquiétudes sur l'approvisionnement de pétrole", indiquait l'analyste. Selon les analystes de Commerzbank, la chute des prix du brut pourrait s'accélérer si la possibilité d'une intervention internationale en Syrie continue de s'éloigner, car les investisseurs spéculatifs pourraient se défaire de leurs positions acheteuses, actuellement importantes, sur le marché pétrolier. Par contre, l'amélioration de l'économie chinoise "indique une accélération de la croissance de la demande, ce qui supportera fondamentalement le prix du Brent à plus long terme", prévenait en outre l'analyste du courtier Sucden. Plusieurs données publiées mardi confirment en effet une embellie de l'économie chinoise, deuxième consommatrice de brut de la planète. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 113,00 dollars en fin de matinée, en baisse de 72 cents par rapport à la clôture de lundi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 1 dollar, à 108,52 dollars. "Les prix du brut ont reculé fortement (lundi), le Brent chutant de 2,2%, son plus fort déclin journalier depuis mi-juin, alors que s'atténuent les inquiétudes autour d'une intervention (militaire) en Syrie", expliquait un analyste du courtier Sucden. Et les cours pétroliers poursuivaient leur chute mardi en cours d'échanges européens, "la proposition russe de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international aidant à soulager les inquiétudes sur l'approvisionnement de pétrole", indiquait l'analyste. Selon les analystes de Commerzbank, la chute des prix du brut pourrait s'accélérer si la possibilité d'une intervention internationale en Syrie continue de s'éloigner, car les investisseurs spéculatifs pourraient se défaire de leurs positions acheteuses, actuellement importantes, sur le marché pétrolier. Par contre, l'amélioration de l'économie chinoise "indique une accélération de la croissance de la demande, ce qui supportera fondamentalement le prix du Brent à plus long terme", prévenait en outre l'analyste du courtier Sucden. Plusieurs données publiées mardi confirment en effet une embellie de l'économie chinoise, deuxième consommatrice de brut de la planète.