Le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) s'impatiente et menace de recourir à la fin du mois courant à des mouvements de protestation dans plusieurs wilayas du pays notamment à Alger. Le Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) s'impatiente et menace de recourir à la fin du mois courant à des mouvements de protestation dans plusieurs wilayas du pays notamment à Alger. Le coordinateur du mouvement, Tahar Belabès, indique que "ces manifestations se tiendront dans plusieurs wilayas, dont Alger. Il est prévu que ces protesta auront lieu à Constantine, Ouargla, Béchar, Ghardaïa, Tamanrasset et Adrar". Les raisons de la colère du CNDDC : "Nous n'attendons plus des décisions de l'administration mais de l'emploi. Le 28 septembre, ça sera la journée de la colère", a-t-il souligné. Après une accalmie relative, durant plus de trois mois due à la période de l'été, aux grandes vacances et au mois de Ramadhan, période où il n'est guère propice de mobiliser les foules, le mouvement des chômeurs fait son "entrée" qui coïncide avec la rentrée sociale pour se faire rappeler au bon souvenir des pouvoirs publics. Le comité qui se dit impatient souligne que les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses. "Jusqu'à présent, rien n'a été concrétisé sur le terrain", s'indigne le CNDDC dans le document. Selon le Comité des chômeurs, la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l'échec des pouvoirs publics à désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse. Le CNDDC met en cause les autorités locales qui font traîner les choses. Selon lui, les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses. Les autorités locales, accuse-t-il tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud. Il est à rappeler que lors de ses différentes visite de travail et d'inspection dans le pays profond, Abdelmalek Sellal a annoncé de nombreuses mesures en faveur des jeunes que se soit dans la création de micro-entreprises dans le cadre des différents dispositifs de soutien à l'emploi des jeunes ou en exhortant les entreprises publiques ou privées opérant au Sud du pays à favoriser les jeunes de la région, primo demandeurs d'emploi. A Ouargla comme à El Oued, les deux villes où le CNDDC est bien implanté, les manifestations des chômeurs organisées par le mouvement ont eu un franc succès et une grande mobilisation pacifique des chômeurs qui n'avaient d'autre choix que d'occuper les places publiques pour contraindre les autorités à être à leur écoute. Le gouvernement a répondu à certaines de leurs revendications tels que l'amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi, mais qui ne se sont pas concrétisés sur le terrain. Le CNDDC rejette la politique actuelle de l'emploi ainsi que les dispositifs Ansej et Cnac qui ne font que précipiter les jeunes bénéficiaires, souvent sans qualification et sans savoir-faire, dans une plus grande précarité du fait de leur incapacité à rembourser les prêts octroyés par les banques, l'Ansej et autre Cnac. Le Comité des chômeurs à travers ses multiples protesta dans de nombreuses wilayas du pays réclame la consécration des droits constitutionnels, droit au travail et exige du Premier ministre d'appliquer sur le terrain ses promesses et ses dernières mesures en faveur des chômeurs du Sud et de dialoguer directement avec les représentants des chômeurs. Le coordinateur du mouvement, Tahar Belabès, indique que "ces manifestations se tiendront dans plusieurs wilayas, dont Alger. Il est prévu que ces protesta auront lieu à Constantine, Ouargla, Béchar, Ghardaïa, Tamanrasset et Adrar". Les raisons de la colère du CNDDC : "Nous n'attendons plus des décisions de l'administration mais de l'emploi. Le 28 septembre, ça sera la journée de la colère", a-t-il souligné. Après une accalmie relative, durant plus de trois mois due à la période de l'été, aux grandes vacances et au mois de Ramadhan, période où il n'est guère propice de mobiliser les foules, le mouvement des chômeurs fait son "entrée" qui coïncide avec la rentrée sociale pour se faire rappeler au bon souvenir des pouvoirs publics. Le comité qui se dit impatient souligne que les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses. "Jusqu'à présent, rien n'a été concrétisé sur le terrain", s'indigne le CNDDC dans le document. Selon le Comité des chômeurs, la non-prise en charge effective du dossier des chômeurs, notamment ceux du Sud qui restent à la traîne, prouve encore une fois l'échec des pouvoirs publics à désamorcer la crise dont les victimes sont ces jeunes en détresse. Le CNDDC met en cause les autorités locales qui font traîner les choses. Selon lui, les mesures annoncées en mai dernier par le Premier ministre sont toujours au stade des promesses. Les autorités locales, accuse-t-il tardent à appliquer les mesures annoncées par le premier responsable du gouvernement lors de sa visite dans quelques wilayas du Sud. Il est à rappeler que lors de ses différentes visite de travail et d'inspection dans le pays profond, Abdelmalek Sellal a annoncé de nombreuses mesures en faveur des jeunes que se soit dans la création de micro-entreprises dans le cadre des différents dispositifs de soutien à l'emploi des jeunes ou en exhortant les entreprises publiques ou privées opérant au Sud du pays à favoriser les jeunes de la région, primo demandeurs d'emploi. A Ouargla comme à El Oued, les deux villes où le CNDDC est bien implanté, les manifestations des chômeurs organisées par le mouvement ont eu un franc succès et une grande mobilisation pacifique des chômeurs qui n'avaient d'autre choix que d'occuper les places publiques pour contraindre les autorités à être à leur écoute. Le gouvernement a répondu à certaines de leurs revendications tels que l'amélioration de leurs conditions sociales, dont le droit à un emploi, mais qui ne se sont pas concrétisés sur le terrain. Le CNDDC rejette la politique actuelle de l'emploi ainsi que les dispositifs Ansej et Cnac qui ne font que précipiter les jeunes bénéficiaires, souvent sans qualification et sans savoir-faire, dans une plus grande précarité du fait de leur incapacité à rembourser les prêts octroyés par les banques, l'Ansej et autre Cnac. Le Comité des chômeurs à travers ses multiples protesta dans de nombreuses wilayas du pays réclame la consécration des droits constitutionnels, droit au travail et exige du Premier ministre d'appliquer sur le terrain ses promesses et ses dernières mesures en faveur des chômeurs du Sud et de dialoguer directement avec les représentants des chômeurs.