Greenpeace a dépêché un navire battant pavillon néerlandais dans la mer de Petchora, dans l'Arctique russe, pour protester contre des projets d'exploitation pétrolière du géant russe Gazprom dans cette région. Greenpeace a dépêché un navire battant pavillon néerlandais dans la mer de Petchora, dans l'Arctique russe, pour protester contre des projets d'exploitation pétrolière du géant russe Gazprom dans cette région. Un brise-glace de l'organisation écologiste Greenpeace arrivé en Arctique pour dénoncer des projets pétroliers, était remorqué vers le port russe de Mourmansk après avoir été pris d'assaut par des gardes-frontières, a indiqué l'ONG vendredi. "Il a été décidé de remorquer l'Arctic Sunrise vers le port de Mourmansk pour effectuer des procédures juridiques", a commenté le Service fédéral russe de sécurité (FSB), dans un communiqué cité par l'agence Ria Novosti. Le capitaine du navire a été interrogé, a ajouté une porte-parole des gardes-frontières à Mourmansk, citée par Ria Novosti, ajoutant que le trajet de l'Arctic Sunrise jusqu'au port doit prendre au moins trois jours. Un responsable de Greenpeace Russie, Roman Dolgov, a indiqué depuis le navire que les écologistes risquaient d'être confrontés à des "accusations sérieuses : de terrorisme et de recherches scientifiques illégales", selon Ria Novosti. Il a ajouté que l'équipe de Greenpeace était enfermée dans le mess du navire et ses membres n'étaient autorisés à quitter la pièce que pour aller aux toilettes ou sortir fumer. Greenpeace a dépêché ce navire battant pavillon néerlandais dans la mer de Petchora, dans l'Arctique russe, pour protester contre des projets d'exploitation pétrolière du géant russe Gazprom dans cette région. Deux militants de Greenpeace, originaires de Suisse et de Finlande, ont été arrêtés mercredi alors qu'ils avaient escaladé la plateforme pétrolière Prirazlomnaïa. Ils ont été relâchés après avoir passé quelques heures à bord d'un navire des gardes-côtes et ont pu rejoindre l'équipe de l'Arctic Sunrise, selon Greenpeace. Jeudi soir, les gardes-frontières ont lancé, selon Greenpeace, un assaut armé pour prendre le contrôle du brise-glace. Des hommes armés de mitraillettes sont descendus d'un hélicoptère à bord de l'Arctic Sunrise et ont enfermé 29 militants dans le mess, selon l'ONG. Gazprom prévoit de lancer la production sur la plateforme Prirazlomnaïa au premier trimestre 2014, faisant peser le risque d'une marée noire dans une zone où existent 3 réserves naturelles protégées par la loi russe, selon les écologistes. La Russie a fait une priorité stratégique du développement de l'Arctique, une immense zone regorgeant de ressources en hydrocarbures qui n'a pour l'instant pas encore été exploitée. Un brise-glace de l'organisation écologiste Greenpeace arrivé en Arctique pour dénoncer des projets pétroliers, était remorqué vers le port russe de Mourmansk après avoir été pris d'assaut par des gardes-frontières, a indiqué l'ONG vendredi. "Il a été décidé de remorquer l'Arctic Sunrise vers le port de Mourmansk pour effectuer des procédures juridiques", a commenté le Service fédéral russe de sécurité (FSB), dans un communiqué cité par l'agence Ria Novosti. Le capitaine du navire a été interrogé, a ajouté une porte-parole des gardes-frontières à Mourmansk, citée par Ria Novosti, ajoutant que le trajet de l'Arctic Sunrise jusqu'au port doit prendre au moins trois jours. Un responsable de Greenpeace Russie, Roman Dolgov, a indiqué depuis le navire que les écologistes risquaient d'être confrontés à des "accusations sérieuses : de terrorisme et de recherches scientifiques illégales", selon Ria Novosti. Il a ajouté que l'équipe de Greenpeace était enfermée dans le mess du navire et ses membres n'étaient autorisés à quitter la pièce que pour aller aux toilettes ou sortir fumer. Greenpeace a dépêché ce navire battant pavillon néerlandais dans la mer de Petchora, dans l'Arctique russe, pour protester contre des projets d'exploitation pétrolière du géant russe Gazprom dans cette région. Deux militants de Greenpeace, originaires de Suisse et de Finlande, ont été arrêtés mercredi alors qu'ils avaient escaladé la plateforme pétrolière Prirazlomnaïa. Ils ont été relâchés après avoir passé quelques heures à bord d'un navire des gardes-côtes et ont pu rejoindre l'équipe de l'Arctic Sunrise, selon Greenpeace. Jeudi soir, les gardes-frontières ont lancé, selon Greenpeace, un assaut armé pour prendre le contrôle du brise-glace. Des hommes armés de mitraillettes sont descendus d'un hélicoptère à bord de l'Arctic Sunrise et ont enfermé 29 militants dans le mess, selon l'ONG. Gazprom prévoit de lancer la production sur la plateforme Prirazlomnaïa au premier trimestre 2014, faisant peser le risque d'une marée noire dans une zone où existent 3 réserves naturelles protégées par la loi russe, selon les écologistes. La Russie a fait une priorité stratégique du développement de l'Arctique, une immense zone regorgeant de ressources en hydrocarbures qui n'a pour l'instant pas encore été exploitée.