Après une accalmie qui aura duré plusieurs mois voilà, à nouveau, le retour du phénomène des bébés abandonnés dans des sacs en plastique et jetés dans des décharges. S'agit-il d'avortements clandestins ou d'abandons de bébés par leurs parents biologiques. Dans les deux cas, le phénomène, quant à lui, est en train de s'amplifier. Après une accalmie qui aura duré plusieurs mois voilà, à nouveau, le retour du phénomène des bébés abandonnés dans des sacs en plastique et jetés dans des décharges. S'agit-il d'avortements clandestins ou d'abandons de bébés par leurs parents biologiques. Dans les deux cas, le phénomène, quant à lui, est en train de s'amplifier. En trois jours seulement, les gendarmes ont découvert trois nouveaux nés enveloppés dans des sacs en plastique et abandonnés dans des décharges publiques. Le phénomène s'est amplifié à travers le pays ce qui nécessite des enquêtes approfondies afin d'élucider ces affaires. Sur ce plan, les gendarmes enquêteurs sont déjà sur plusieurs traces dans le cadre des investigations ouvertes. L'objectif de ces investigations est d'arriver à identifier les parents biologiques des bébés abandonnés et, surtout, tenter de localiser d'éventuelles activités de réseaux spécialisés dans des avortements clandestins. En attendant ce que les enquêtes vont révéler il est utile de rappeler les découvertes opérées par les gendarmes à Mostaganem, Chlef et Relizane. En effet, au cours d'une patrouille, les gendarmes de la brigade d'Achacha (Mostaganem) ont découvert, samedi, un nouveau-né, de sexe masculin, enveloppé dans un sac en plastique, abandonné à hauteur de la commune d'Achacha. Il a été sauvé in extremis avant d'être évacué sur l'établissement sanitaire d'Achacha pour recevoir les soins nécessaires. Du côté de Chlef, les gendarmes du Groupement de ladite wilaya ont également sauvé un autre nouveau-né et ce, durant la journée de vendredi. Agissant sur renseignements, les gendarmes de la brigade de Mediouna ont découvert un nouveau-né, de sexe féminin, en bordure de la route menant à la commune de Mediouna, dans commune de Dahra (Chlef). Il a été évacué sur l'établissement sanitaire de Mazouna pour recevoir les soins nécessaires. Une enquête est actuellement ouverte afin d'identifier les parents biologiques du bébé. Par ailleurs, le même jour à 19h 30, le corps d'un nouveau-né de sexe féminin a été découvert dans un sac en plastique, abandonné en bordure d'une piste menant à la commune de Sidi-Saada. Il a été déposé à la morgue de l'hôpital de Relizane. Une enquête est ouverte par la brigade de Gendarmerie nationale de Sidi-Saada. Ce nouvel épisode des bébés abandonnés par leurs parents biologiques intervient à un moment où, souvent, les avortements clandestins s'accentuent en cette période. Si on fait un petit rappel, durant la même période de l'année 2012, pas moins de huit nouveaux-nés ont été découverts par les gendarmes. Ces bébés ont été abandonnés et livrés à leur sort suite aux avortements clandestins. En face, les gendarmes ont multiplié leurs surveillances autour des cliniques privées qui, souvent, recourent à l'avortement clandestin afin de gagner de l'argent auprès de parents ne désirants pas avoir un bébé. Mieux, grâce au rôle primordial des tests ADN, les gendarmes enquêteurs arrivent toujours à identifier les véritables parents des nouveaux-nés abandonnés. Ces parents biologiques risquent, par leurs agissements, la prison ferme allant jusqu'à 5 ans. En trois jours seulement, les gendarmes ont découvert trois nouveaux nés enveloppés dans des sacs en plastique et abandonnés dans des décharges publiques. Le phénomène s'est amplifié à travers le pays ce qui nécessite des enquêtes approfondies afin d'élucider ces affaires. Sur ce plan, les gendarmes enquêteurs sont déjà sur plusieurs traces dans le cadre des investigations ouvertes. L'objectif de ces investigations est d'arriver à identifier les parents biologiques des bébés abandonnés et, surtout, tenter de localiser d'éventuelles activités de réseaux spécialisés dans des avortements clandestins. En attendant ce que les enquêtes vont révéler il est utile de rappeler les découvertes opérées par les gendarmes à Mostaganem, Chlef et Relizane. En effet, au cours d'une patrouille, les gendarmes de la brigade d'Achacha (Mostaganem) ont découvert, samedi, un nouveau-né, de sexe masculin, enveloppé dans un sac en plastique, abandonné à hauteur de la commune d'Achacha. Il a été sauvé in extremis avant d'être évacué sur l'établissement sanitaire d'Achacha pour recevoir les soins nécessaires. Du côté de Chlef, les gendarmes du Groupement de ladite wilaya ont également sauvé un autre nouveau-né et ce, durant la journée de vendredi. Agissant sur renseignements, les gendarmes de la brigade de Mediouna ont découvert un nouveau-né, de sexe féminin, en bordure de la route menant à la commune de Mediouna, dans commune de Dahra (Chlef). Il a été évacué sur l'établissement sanitaire de Mazouna pour recevoir les soins nécessaires. Une enquête est actuellement ouverte afin d'identifier les parents biologiques du bébé. Par ailleurs, le même jour à 19h 30, le corps d'un nouveau-né de sexe féminin a été découvert dans un sac en plastique, abandonné en bordure d'une piste menant à la commune de Sidi-Saada. Il a été déposé à la morgue de l'hôpital de Relizane. Une enquête est ouverte par la brigade de Gendarmerie nationale de Sidi-Saada. Ce nouvel épisode des bébés abandonnés par leurs parents biologiques intervient à un moment où, souvent, les avortements clandestins s'accentuent en cette période. Si on fait un petit rappel, durant la même période de l'année 2012, pas moins de huit nouveaux-nés ont été découverts par les gendarmes. Ces bébés ont été abandonnés et livrés à leur sort suite aux avortements clandestins. En face, les gendarmes ont multiplié leurs surveillances autour des cliniques privées qui, souvent, recourent à l'avortement clandestin afin de gagner de l'argent auprès de parents ne désirants pas avoir un bébé. Mieux, grâce au rôle primordial des tests ADN, les gendarmes enquêteurs arrivent toujours à identifier les véritables parents des nouveaux-nés abandonnés. Ces parents biologiques risquent, par leurs agissements, la prison ferme allant jusqu'à 5 ans.