La police égyptienne a utilisé lundi des gaz lacrymogènes pour disperser une manifestation étudiante de soutien au président destitué Mohamed Morsi, selon des sources sécuritaires. La police égyptienne a utilisé lundi des gaz lacrymogènes pour disperser une manifestation étudiante de soutien au président destitué Mohamed Morsi, selon des sources sécuritaires. Les étudiants, partis d'al-Azhar au Caire, l'une des plus prestigieuse universités islamiques du monde, ont coupé un axe important à proximité, avant d'être dispersé par des tirs de grenades lacrymogènes et de chevrotine, ont-ils indiqué. Depuis la destitution et l'arrestation par l'armée le 3 juillet du président Mohamed Morsi, des attaques quasi-quotidiennes ont fait des dizaines de morts parmi la police et l'armée dans tout le pays, en particulier dans la péninsule du Sinaï, mais aussi dans le delta du Nil et au Caire. Le gouvernement intérimaire accuse les groupes "islamistes pro-Morsi" d'en être les auteurs. Les étudiants, partis d'al-Azhar au Caire, l'une des plus prestigieuse universités islamiques du monde, ont coupé un axe important à proximité, avant d'être dispersé par des tirs de grenades lacrymogènes et de chevrotine, ont-ils indiqué. Depuis la destitution et l'arrestation par l'armée le 3 juillet du président Mohamed Morsi, des attaques quasi-quotidiennes ont fait des dizaines de morts parmi la police et l'armée dans tout le pays, en particulier dans la péninsule du Sinaï, mais aussi dans le delta du Nil et au Caire. Le gouvernement intérimaire accuse les groupes "islamistes pro-Morsi" d'en être les auteurs.