Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a exclu l'ouverture, du moins dans les prochains jours, des frontières de l'extrême Sud du pays. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a exclu l'ouverture, du moins dans les prochains jours, des frontières de l'extrême Sud du pays. Intervenant lors d'une rencontre avec les représentants de la société civile au terme de sa visite de travail et d'inspection dans la wilaya de Tamanrasset, Abdelmalek Sellal a souligné que l'ouverture des frontières de l'extrême Sud pays "n'est pas à l'ordre du jour actuellement" et ce « pour des raisons sécuritaires ». Selon le Premier ministre, l'ouverture de ces frontières « nécessite encore du temps ». Il exprime la crainte que « des criminels peuvent s'introduire à travers ces frontières et créer des problèmes sur le territoire national ». Cependant, il répond partiellement à la demande des représentants de la société civile de Tamanrasset concernant l'ouverture provisoire de ces frontières pour pratiquer le troc, indiquant qu' « avec l'accord du président de la République et sous la supervision de l'Armée nationale populaire (ANP), ces frontières sont ouvertes une fois par mois, et il est possible, en concertation avec l'ANP d'examiner la possibilité de les ouvrir deux fois par mois ». Dans ce cadre, il a affirmé, qu' « aucune région du pays ne souffre de marginalisation ni d'exclusion et les seuls ennemis de l'Algérie sont la pauvreté et le sous-développement, et nous saurons faire face à ceux qui veulent attenter à notre sécurité ». Sur un autre registre, le Premier ministre répond avec un certain tact au secrétaire général du FLN, Amar Saidani qui a émis un jugement de valeur sur sa personne. « Je n'ai de problèmes avec personne », a-t-il affirmé. Il dit que « celui qui voulait le critiquer était libre de le faire » mais qu'il « ripostera à quiconque attentera à sa personne ». Il fera part de sa conviction que « celui qui veut s'exprimer est libre de le faire. Je ne le considérerais nullement comme un ennemi ». Le Premier ministre a soutenu qu'il n'existait aucun différend entre les membres du gouvernement, et pour la précision, il a affirmé que « il n'y a pas de différends au sein du gouvernement et nous n'avons pas d'ennemis, nous sommes tous Algériens ». Toutefois, il finit par admettre qu' « il nous arrive d'avoir des désaccords, mais dans la difficulté nous sommes solidaires ». Revenant à la wilaya de Tamanrasset, Abdelmalek Sellal a affirmé que Tamanrasset « joue un rôle important au niveau africain et toutes les données l'attestent » que « Tamanrasset jouera un rôle important dans la région au nom de l'Algérie ». « Vous êtes tous témoins de l'intérêt accordé par l'Etat au développement de cette région durant la dernière décennie pour en faire un trait d'union avec l'Afrique », a-t-il ajouté. Dans ce contexte, le Premier ministre a passé en revue les projets dont a bénéficié la wilaya à l'instar de la route transsaharienne ainsi que les projets à venir dont celui concernant le raccordement de Tamanrasset au gaz à partir d'Ain Salah « qui sera finalisé dans deux ans », le projet de transfert des eaux de Ain Salah à Tamanrasset et le raccordement de cette dernière au réseau de fibres optiques. Ces projets, souligne le Premier ministre, tendent à "préparer la région à jouer le rôle qui lui incombe" ajoutant que les explorations faites récemment à Tamanrasset font état d'un véritable patrimoine minier de fer et d'autres minerais, "plus important que le pétrole et le gaz et qui profitera aux habitants de la région". Intervenant lors d'une rencontre avec les représentants de la société civile au terme de sa visite de travail et d'inspection dans la wilaya de Tamanrasset, Abdelmalek Sellal a souligné que l'ouverture des frontières de l'extrême Sud pays "n'est pas à l'ordre du jour actuellement" et ce « pour des raisons sécuritaires ». Selon le Premier ministre, l'ouverture de ces frontières « nécessite encore du temps ». Il exprime la crainte que « des criminels peuvent s'introduire à travers ces frontières et créer des problèmes sur le territoire national ». Cependant, il répond partiellement à la demande des représentants de la société civile de Tamanrasset concernant l'ouverture provisoire de ces frontières pour pratiquer le troc, indiquant qu' « avec l'accord du président de la République et sous la supervision de l'Armée nationale populaire (ANP), ces frontières sont ouvertes une fois par mois, et il est possible, en concertation avec l'ANP d'examiner la possibilité de les ouvrir deux fois par mois ». Dans ce cadre, il a affirmé, qu' « aucune région du pays ne souffre de marginalisation ni d'exclusion et les seuls ennemis de l'Algérie sont la pauvreté et le sous-développement, et nous saurons faire face à ceux qui veulent attenter à notre sécurité ». Sur un autre registre, le Premier ministre répond avec un certain tact au secrétaire général du FLN, Amar Saidani qui a émis un jugement de valeur sur sa personne. « Je n'ai de problèmes avec personne », a-t-il affirmé. Il dit que « celui qui voulait le critiquer était libre de le faire » mais qu'il « ripostera à quiconque attentera à sa personne ». Il fera part de sa conviction que « celui qui veut s'exprimer est libre de le faire. Je ne le considérerais nullement comme un ennemi ». Le Premier ministre a soutenu qu'il n'existait aucun différend entre les membres du gouvernement, et pour la précision, il a affirmé que « il n'y a pas de différends au sein du gouvernement et nous n'avons pas d'ennemis, nous sommes tous Algériens ». Toutefois, il finit par admettre qu' « il nous arrive d'avoir des désaccords, mais dans la difficulté nous sommes solidaires ». Revenant à la wilaya de Tamanrasset, Abdelmalek Sellal a affirmé que Tamanrasset « joue un rôle important au niveau africain et toutes les données l'attestent » que « Tamanrasset jouera un rôle important dans la région au nom de l'Algérie ». « Vous êtes tous témoins de l'intérêt accordé par l'Etat au développement de cette région durant la dernière décennie pour en faire un trait d'union avec l'Afrique », a-t-il ajouté. Dans ce contexte, le Premier ministre a passé en revue les projets dont a bénéficié la wilaya à l'instar de la route transsaharienne ainsi que les projets à venir dont celui concernant le raccordement de Tamanrasset au gaz à partir d'Ain Salah « qui sera finalisé dans deux ans », le projet de transfert des eaux de Ain Salah à Tamanrasset et le raccordement de cette dernière au réseau de fibres optiques. Ces projets, souligne le Premier ministre, tendent à "préparer la région à jouer le rôle qui lui incombe" ajoutant que les explorations faites récemment à Tamanrasset font état d'un véritable patrimoine minier de fer et d'autres minerais, "plus important que le pétrole et le gaz et qui profitera aux habitants de la région".