Alors que les discussions traînent en longueur, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a dit douter que l'on puisse parvenir bientôt à boucler un accord transitoire susceptible d'éloigner la crainte de voir Téhéran se doter de l'arme atomique. Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a déclaré quant à lui, cité par les médias de son pays, que "l'Iran et les six grandes puissances demeuraient divisées au troisième jour des négociations". Alors que les discussions traînent en longueur, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a dit douter que l'on puisse parvenir bientôt à boucler un accord transitoire susceptible d'éloigner la crainte de voir Téhéran se doter de l'arme atomique. Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a déclaré quant à lui, cité par les médias de son pays, que "l'Iran et les six grandes puissances demeuraient divisées au troisième jour des négociations". Signe que l'atmosphère cordiale, qui a régné lors de la première session de discussions en octobre puis au cours des deux premières journées de négociations cette semaine, est en train de se dissiper, Abbas Araqchi s'est plaint à l'agence de presse iranienne Mehr de ce que ses homologues des six grandes puissances aient "besoin constamment de se coordonner et de se consulter afin de déterminer des positions communes". "Il y a un accord plus grand sur certaines questions et moins d'accord sur d'autres questions", a déclaré Abbas Araqchi à l'agence de presse iranienne Isna. Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a déclaré, quant à lui, dans l'après-midi que si aucun accord n'était conclu ce samedi à Genève, les négociations pourraient reprendre dans une semaine ou dans dix jours. Agence Signe que l'atmosphère cordiale, qui a régné lors de la première session de discussions en octobre puis au cours des deux premières journées de négociations cette semaine, est en train de se dissiper, Abbas Araqchi s'est plaint à l'agence de presse iranienne Mehr de ce que ses homologues des six grandes puissances aient "besoin constamment de se coordonner et de se consulter afin de déterminer des positions communes". "Il y a un accord plus grand sur certaines questions et moins d'accord sur d'autres questions", a déclaré Abbas Araqchi à l'agence de presse iranienne Isna. Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a déclaré, quant à lui, dans l'après-midi que si aucun accord n'était conclu ce samedi à Genève, les négociations pourraient reprendre dans une semaine ou dans dix jours. Agence