L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a lancé un appel au secteur privé en vue de la destruction d'une partie des armes chimiques syriennes, a-t-elle indiqué jeudi. L'OIAC "cherche à identifier les sociétés commerciales intéressées à une participation à un éventuel processus d'appel d'offre", a indiqué l'OIAC. L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a lancé un appel au secteur privé en vue de la destruction d'une partie des armes chimiques syriennes, a-t-elle indiqué jeudi. L'OIAC "cherche à identifier les sociétés commerciales intéressées à une participation à un éventuel processus d'appel d'offre", a indiqué l'OIAC. L'organisation évoque "le traitement et la destruction de produits chimiques dangereux ou inoffensifs, organiques ou pas, de matériel de conditionnement et de conteneurs dans le cadre de la destruction des armes chimiques syriennes". Un plan détaillant les méthodes possibles de destruction de ces armes doit être approuvé avant le 17 décembre. Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique syrien hors du pays en guerre, aucun pays n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol. L'OIAC a fourni dans son appel d'offres une liste des produits chimiques, des déchets résultants de la destruction des armes chimiques et du matériel qu'elle souhaite voir détruits par la société privée. Il ne s'agit que d'une partie de l'arsenal chimique syrien.Certaines armes chimiques, comme le gaz moutarde, sont détruites par le processus d'hydrolyse, au terme duquel des déchets appelés effluents sont obtenus, qui doivent être détruits. D'autres armes chimiques comme le gaz sarin sont plus facilement détruits par incinération. Les sociétés ont jusqu'au 29 novembre pour exprimer leur intérêt. L'EIIL, lié à Al Qaïda, prend la ville d'Atma Dans le nord de la Syrie, l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), un groupe djihadiste lié à Al Qaïda, a pris le contrôle de la ville d'Atma, située près de la frontière turque et auparavant contrôlée par des islamistes modéré. En raison de sa proximité avec la Turquie, Atma a été largement épargnée par les bombardements des forces favorables à Bachar al Assad, et des milliers de personnes se sont réfugiées dans la ville et ses environs. L'EIIL a déployé des canons antiaériens sur le rond-point principal et a tranquillement pris Atma. Les Turcs n'ont pas mis fin aux approvisionnements vers la ville et les mouvements sont normaux à la frontière. L'organisation évoque "le traitement et la destruction de produits chimiques dangereux ou inoffensifs, organiques ou pas, de matériel de conditionnement et de conteneurs dans le cadre de la destruction des armes chimiques syriennes". Un plan détaillant les méthodes possibles de destruction de ces armes doit être approuvé avant le 17 décembre. Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique syrien hors du pays en guerre, aucun pays n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol. L'OIAC a fourni dans son appel d'offres une liste des produits chimiques, des déchets résultants de la destruction des armes chimiques et du matériel qu'elle souhaite voir détruits par la société privée. Il ne s'agit que d'une partie de l'arsenal chimique syrien.Certaines armes chimiques, comme le gaz moutarde, sont détruites par le processus d'hydrolyse, au terme duquel des déchets appelés effluents sont obtenus, qui doivent être détruits. D'autres armes chimiques comme le gaz sarin sont plus facilement détruits par incinération. Les sociétés ont jusqu'au 29 novembre pour exprimer leur intérêt. L'EIIL, lié à Al Qaïda, prend la ville d'Atma Dans le nord de la Syrie, l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), un groupe djihadiste lié à Al Qaïda, a pris le contrôle de la ville d'Atma, située près de la frontière turque et auparavant contrôlée par des islamistes modéré. En raison de sa proximité avec la Turquie, Atma a été largement épargnée par les bombardements des forces favorables à Bachar al Assad, et des milliers de personnes se sont réfugiées dans la ville et ses environs. L'EIIL a déployé des canons antiaériens sur le rond-point principal et a tranquillement pris Atma. Les Turcs n'ont pas mis fin aux approvisionnements vers la ville et les mouvements sont normaux à la frontière.