Depuis le début de l'année le secteur de l'éducation vit au rythme de la protestation et des grèves. Un mal qui dure déjà depuis quelques années, sans qu'il ait ait des solutions et des réponses aux différents syndicats du secteur. Depuis le début de l'année le secteur de l'éducation vit au rythme de la protestation et des grèves. Un mal qui dure déjà depuis quelques années, sans qu'il ait ait des solutions et des réponses aux différents syndicats du secteur. Ainsi, après le dernier mouvement de protestation du Conseil national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Cnapest), c'est au tour de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) d'élever le ton pour appeller à un e grève nationale à partir d'aujourd'hui. Reste que pour parer à cette énième grève le ministre du secteur, Abdelatif Baba-Ahmed, annonce selon l'APS que son ministère et les syndicats du secteur s'acheminent vers une solution à même d'éviter le recours à la grève annoncée pour les prochains jours dans les établissements scolaires. « Nous nous acheminons, ministère et syndicats, vers une solution qui annulerait le recours à la grève (dans les écoles). Le dialogue avec les différents partenaires sociaux n'a jamais été rompu », a déclaré à la presse Baba-Ahmed en marge de la visite de travail qu'effectue le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans la wilaya de Relizane. Le ministre a souligné que son département a « toujours privilégié le dialogue », précisant dans ce sens que « le ministère reçoit deux syndicats par semaine ». « Ce sont les représentants des syndicats qui ont émis le souhait que ces rencontres soient bilatérales », a précisé le ministre, assurant que les différents dossiers soumis au dialogue avancent de manière « très positive ». La grève à laquelle l'unpef a appellé vient, une seconde fois, rappeler que des dossiers restent toujours en suspens et à travers ce mouvement de grève le syndicat manifeste son attachement aux autres questions non encore réglées, tout en insistant sur l'urgence de leur prise en charge. Il évoque, notamment, le statut particulier des fonctionnaires du secteur en insistant sur la nécessité de corriger les lacunes qu'il contient. La même demande a été formulée concernant les fonctionnaires du secteur exerçant dans le Sud où il est question d'actualiser les primes de zone, au moment où le syndicat demande aussi à revoir les primes d'excellence. Il est question également de la suppression de l'article 87 bis régissant le code du travail notamment pour les catégories les plus vulnérables. Le volet pédagogique n'est pas en reste, puisque l'UNPEF réitère se vœux de voir la promotion au grade de professeur formateur et principal des enseignants du primaire bénéficiant d'une formation ou détenteurs d'une licence. Ainsi, après le dernier mouvement de protestation du Conseil national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Cnapest), c'est au tour de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) d'élever le ton pour appeller à un e grève nationale à partir d'aujourd'hui. Reste que pour parer à cette énième grève le ministre du secteur, Abdelatif Baba-Ahmed, annonce selon l'APS que son ministère et les syndicats du secteur s'acheminent vers une solution à même d'éviter le recours à la grève annoncée pour les prochains jours dans les établissements scolaires. « Nous nous acheminons, ministère et syndicats, vers une solution qui annulerait le recours à la grève (dans les écoles). Le dialogue avec les différents partenaires sociaux n'a jamais été rompu », a déclaré à la presse Baba-Ahmed en marge de la visite de travail qu'effectue le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans la wilaya de Relizane. Le ministre a souligné que son département a « toujours privilégié le dialogue », précisant dans ce sens que « le ministère reçoit deux syndicats par semaine ». « Ce sont les représentants des syndicats qui ont émis le souhait que ces rencontres soient bilatérales », a précisé le ministre, assurant que les différents dossiers soumis au dialogue avancent de manière « très positive ». La grève à laquelle l'unpef a appellé vient, une seconde fois, rappeler que des dossiers restent toujours en suspens et à travers ce mouvement de grève le syndicat manifeste son attachement aux autres questions non encore réglées, tout en insistant sur l'urgence de leur prise en charge. Il évoque, notamment, le statut particulier des fonctionnaires du secteur en insistant sur la nécessité de corriger les lacunes qu'il contient. La même demande a été formulée concernant les fonctionnaires du secteur exerçant dans le Sud où il est question d'actualiser les primes de zone, au moment où le syndicat demande aussi à revoir les primes d'excellence. Il est question également de la suppression de l'article 87 bis régissant le code du travail notamment pour les catégories les plus vulnérables. Le volet pédagogique n'est pas en reste, puisque l'UNPEF réitère se vœux de voir la promotion au grade de professeur formateur et principal des enseignants du primaire bénéficiant d'une formation ou détenteurs d'une licence.