Une véritable administration informelle composée de douze dangereux escrocs, dont des directeurs des lycées d'Alger, des commerçants ainsi que des agents de banque publique et d'APC viennent d'être arrêtés à Alger. Une véritable administration informelle composée de douze dangereux escrocs, dont des directeurs des lycées d'Alger, des commerçants ainsi que des agents de banque publique et d'APC viennent d'être arrêtés à Alger. Ces derniers agissaient sous les ordres d'une femme âgée de 47 ans qui n'est autre que le cerveau du réseau. Cette femme a fait monter, avec l'aide de ses acolytes, un véritable « Etat » capable de vous livrer n'importe quel document officiel mais en contrepartie de prix fous. Actes de logements, visas Schengen, casiers judiciaires, actes de vente de véhicules, carte grise, diplôme de doctorat, magister, etc., le réseau proposait tout pour ses « clients » mais avec de fausses pièces, toutefois contre des sommes d'argent considérables. Onze dangereux escrocs qui font partie d'un vaste réseau spécialisé dans le faux et usage de faux de documents officiels avec des cachets de l'Etat, notamment ceux du ministère de l'Education nationale et de l'Intérieur, viennent d'être arrêtés par les policiers enquêteurs de la Division Centre suite à une longue enquête ayant commencé le 3 novembre dernier. Toutefois, le cerveau du réseau, une femme âgée de 47 ans est actuellement en fuite à l'étranger, selon le commissaire principal Tarek Keskas chef de la division Centre. En effet, les détails de cette affaire ont été présentés, hier, lors d'un point de presse animée par M. Keskas en présence du commissaire Ahmed Belkacem de la cellule de communication de la SWA (Sûreté d'Alger). Le réseau en question était en activité depuis des mois au niveau d'Alger. En investissant dans le faux, les douze criminels ont réussi, durant leurs agissements, à installer, dans un logement au cœur d'Alger, un véritable empire de faux et usage de faux. Des visas Schengen falsifiés contre le prix de 30.000 DA, un faux permis contre 20.000 DA, un faux certificat de résidence contre le prix de 1.000 DA, la dangereuse bande proposait tout ce genre de documents officiels et administratifs à leurs « clients », explique le commissaire principal Keskas. Aussi, des passeports, des diplômes, des bulletins de notes pour les élèves des classes moyennes et secondaires, des actes de propriétés de logements, de terrains et de villas sont aussi falsifiés et vendus par le réseau en question. Parmi les victimes figurent des ministères, mais également des sociétés privées et des ambassades dont les cachets ont été utilisés, par les douze criminels, à des fins de trafic. C'est grâce à ce mode opératoire que le réseau d'Alger a réussi à obtenir de grosses sommes d'argent. Toutefois, leurs agissements ont fini par être mis en échec grâce à l'enquête menée par les policiers de la PJ de la Division Centre, explique le commissaire principal Keskas. En effet, indique le communiqué, tout a commencé le 3 novembre dernier, jour où la responsable de l'administration à la wilaya d'Alger a déposé plainte contre X pour utilisation frauduleuse de son nom, de sa signature et de l'adresse de son lieu de résidence, ce qui a servi à la falsification d'un certificat de résidence. C'est à partir de là que les policiers ont entamé leurs investigations afin d'identifier le ou les auteurs. Ces investigations ont permis en un court laps de temps de localiser et d'identifier l'un des auteurs de cette affaire ayant participé à la falsification du certificat de résidence de la dame. L'arrestation du faussaire et son interrogatoire ont permis aux éléments de la Police judiciaire d'interpeller le cerveau d'un réseau qui, lors de son arrestation à Alger, a permis aux policiers de découvrir dans son cartable deux dossiers d'une demande de logement social. Mieux, la perquisition de son domicile exécutée par les enquêteurs de la P-J a donné lieu à la découverte de cinq autres dossiers administratifs de cinq élèves ayant échoué dans leurs études et dont le présumé faussaire devait remplacer dans leurs bulletins de notes par la mention « admis en classe supérieure » en lieu place de « redoublant ». Egalement, lors de cette perquisition du domicile du principal accusé dans cette affaire, les policiers ont découvert deux micro-ordinateurs, deux scanners, un massicot, quatre cachets officiels de l'Etat, trois cachets officiels de sociétés privées ainsi que plusieurs documents administratifs vierges. L'exploitation des données contenues dans les micro-ordinateurs a permis, surtout, de découvrir que le réseau en question a utilisé différents cachets de l'Etat, notamment des ministères de l'Education nationale, de l'Intérieur et de la Justice. A partir de là, les enquêteurs de la PJ ont pu identifier d'autres membres du réseau qui ont participé à la falsification de plusieurs centaines de documents officiels et administratifs. L'arrestation de ces trois faussaires a eu lieu le 6 novembre dernier, souligne le communiqué de la SWA. Il y a lieu de noter qu'ils avaient aussi falsifié leurs passeports sur lesquels figuraient de faux visas. Les mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Sidi M'hamed pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux de cachets de l'Etat, imitation de documents officiels, falsification des documents commerciaux et financiers, ce qui a conduit à la mise sous mandat de dépôt de trois accusés, tandis que trois autres ont été placés sous contrôle judiciaire et deux ont bénéficié de la liberté provisoire en attendant le procès. Ces derniers agissaient sous les ordres d'une femme âgée de 47 ans qui n'est autre que le cerveau du réseau. Cette femme a fait monter, avec l'aide de ses acolytes, un véritable « Etat » capable de vous livrer n'importe quel document officiel mais en contrepartie de prix fous. Actes de logements, visas Schengen, casiers judiciaires, actes de vente de véhicules, carte grise, diplôme de doctorat, magister, etc., le réseau proposait tout pour ses « clients » mais avec de fausses pièces, toutefois contre des sommes d'argent considérables. Onze dangereux escrocs qui font partie d'un vaste réseau spécialisé dans le faux et usage de faux de documents officiels avec des cachets de l'Etat, notamment ceux du ministère de l'Education nationale et de l'Intérieur, viennent d'être arrêtés par les policiers enquêteurs de la Division Centre suite à une longue enquête ayant commencé le 3 novembre dernier. Toutefois, le cerveau du réseau, une femme âgée de 47 ans est actuellement en fuite à l'étranger, selon le commissaire principal Tarek Keskas chef de la division Centre. En effet, les détails de cette affaire ont été présentés, hier, lors d'un point de presse animée par M. Keskas en présence du commissaire Ahmed Belkacem de la cellule de communication de la SWA (Sûreté d'Alger). Le réseau en question était en activité depuis des mois au niveau d'Alger. En investissant dans le faux, les douze criminels ont réussi, durant leurs agissements, à installer, dans un logement au cœur d'Alger, un véritable empire de faux et usage de faux. Des visas Schengen falsifiés contre le prix de 30.000 DA, un faux permis contre 20.000 DA, un faux certificat de résidence contre le prix de 1.000 DA, la dangereuse bande proposait tout ce genre de documents officiels et administratifs à leurs « clients », explique le commissaire principal Keskas. Aussi, des passeports, des diplômes, des bulletins de notes pour les élèves des classes moyennes et secondaires, des actes de propriétés de logements, de terrains et de villas sont aussi falsifiés et vendus par le réseau en question. Parmi les victimes figurent des ministères, mais également des sociétés privées et des ambassades dont les cachets ont été utilisés, par les douze criminels, à des fins de trafic. C'est grâce à ce mode opératoire que le réseau d'Alger a réussi à obtenir de grosses sommes d'argent. Toutefois, leurs agissements ont fini par être mis en échec grâce à l'enquête menée par les policiers de la PJ de la Division Centre, explique le commissaire principal Keskas. En effet, indique le communiqué, tout a commencé le 3 novembre dernier, jour où la responsable de l'administration à la wilaya d'Alger a déposé plainte contre X pour utilisation frauduleuse de son nom, de sa signature et de l'adresse de son lieu de résidence, ce qui a servi à la falsification d'un certificat de résidence. C'est à partir de là que les policiers ont entamé leurs investigations afin d'identifier le ou les auteurs. Ces investigations ont permis en un court laps de temps de localiser et d'identifier l'un des auteurs de cette affaire ayant participé à la falsification du certificat de résidence de la dame. L'arrestation du faussaire et son interrogatoire ont permis aux éléments de la Police judiciaire d'interpeller le cerveau d'un réseau qui, lors de son arrestation à Alger, a permis aux policiers de découvrir dans son cartable deux dossiers d'une demande de logement social. Mieux, la perquisition de son domicile exécutée par les enquêteurs de la P-J a donné lieu à la découverte de cinq autres dossiers administratifs de cinq élèves ayant échoué dans leurs études et dont le présumé faussaire devait remplacer dans leurs bulletins de notes par la mention « admis en classe supérieure » en lieu place de « redoublant ». Egalement, lors de cette perquisition du domicile du principal accusé dans cette affaire, les policiers ont découvert deux micro-ordinateurs, deux scanners, un massicot, quatre cachets officiels de l'Etat, trois cachets officiels de sociétés privées ainsi que plusieurs documents administratifs vierges. L'exploitation des données contenues dans les micro-ordinateurs a permis, surtout, de découvrir que le réseau en question a utilisé différents cachets de l'Etat, notamment des ministères de l'Education nationale, de l'Intérieur et de la Justice. A partir de là, les enquêteurs de la PJ ont pu identifier d'autres membres du réseau qui ont participé à la falsification de plusieurs centaines de documents officiels et administratifs. L'arrestation de ces trois faussaires a eu lieu le 6 novembre dernier, souligne le communiqué de la SWA. Il y a lieu de noter qu'ils avaient aussi falsifié leurs passeports sur lesquels figuraient de faux visas. Les mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Sidi M'hamed pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux de cachets de l'Etat, imitation de documents officiels, falsification des documents commerciaux et financiers, ce qui a conduit à la mise sous mandat de dépôt de trois accusés, tandis que trois autres ont été placés sous contrôle judiciaire et deux ont bénéficié de la liberté provisoire en attendant le procès.