L'Iran compte revenir "immédiatement" à ses pleines capacités de production de pétrole si l'ensemble des sanctions liées à son programme nucléaire controversé sont levées, a déclaré mardi le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namadar Zanganeh. L'Iran compte revenir "immédiatement" à ses pleines capacités de production de pétrole si l'ensemble des sanctions liées à son programme nucléaire controversé sont levées, a déclaré mardi le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namadar Zanganeh. Nucléaire iranien : vers une levée partielle des sanctions "Nous n'avons aucune difficulté technique [qui nous empêcherait d'] augmenter nos exportations et de retourner à 4 millions de barils par jour de production pétrolière, mais nous avons [actuellement] des restrictions politiques", a déclaré le ministre à Vienne, où doit se tenir mercredi une réunion ministérielle de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Les marchés, soulagés, ont anticipé sur la reprise de la production du pétrole iranien Dans la nuit du 23 au 24 novembre, les sept pays négociateurs (Iran, Etats-Unis, Russie, Chine, France, Allemagne et Royaume-Uni) ont signé un accord sur le nucléaire iranien, prévoyant que la République islamique accepte de limiter son programme nucléaire en échange d'un allègement des sanctions économiques, mais pas celles sur les exportations pétrolières du pays. Selon un communiqué de la Maison Blanche publié après l'accord du 24 novembre, les exportations iraniennes doivent rester autour de 1 million de barils par jour au cours des six prochains mois. A moyen terme, si un accord définitif était conclu, l'ensemble des sanctions pourrait toutefois être levé et l'Iran pourrait ainsi retourner entièrement sur le marché pétrolier. Nucléaire iranien : vers une levée partielle des sanctions "Nous n'avons aucune difficulté technique [qui nous empêcherait d'] augmenter nos exportations et de retourner à 4 millions de barils par jour de production pétrolière, mais nous avons [actuellement] des restrictions politiques", a déclaré le ministre à Vienne, où doit se tenir mercredi une réunion ministérielle de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Les marchés, soulagés, ont anticipé sur la reprise de la production du pétrole iranien Dans la nuit du 23 au 24 novembre, les sept pays négociateurs (Iran, Etats-Unis, Russie, Chine, France, Allemagne et Royaume-Uni) ont signé un accord sur le nucléaire iranien, prévoyant que la République islamique accepte de limiter son programme nucléaire en échange d'un allègement des sanctions économiques, mais pas celles sur les exportations pétrolières du pays. Selon un communiqué de la Maison Blanche publié après l'accord du 24 novembre, les exportations iraniennes doivent rester autour de 1 million de barils par jour au cours des six prochains mois. A moyen terme, si un accord définitif était conclu, l'ensemble des sanctions pourrait toutefois être levé et l'Iran pourrait ainsi retourner entièrement sur le marché pétrolier.