Le Sommet de l'Elysée, qui se tient sous le titre générique "Pour la Paix et la sécurité en Afrique", s'est ouvert, hier, à Paris. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, représentant le président Bouteflika conduit la délégation algérienne qui compte le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Madjid Bouguerra. Le Sommet de l'Elysée, qui se tient sous le titre générique "Pour la Paix et la sécurité en Afrique", s'est ouvert, hier, à Paris. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, représentant le président Bouteflika conduit la délégation algérienne qui compte le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Madjid Bouguerra. Les travaux de deux jours (6 et 7 décembre), ont été ouverts par le président français, François Hollande. L'Algérie, par la voix de son Premier ministre, devrait rappeler les positions de "principes" toujours défendues lors des rencontres bilatérales ou multilatérales avec les pays du champ, des puissances régionales ou internationales. Des "principes", consacrés et adoptés par l'Union africaine. L'approche algérienne sur les questions de sécurité consiste d'abord en "l'appropriation" des questions africaines par les pays africains et le "renforcement" des capacités de l'Union africaine (UA) à travers ses mécanismes, y compris au niveau régional, notamment par des moyens financiers, et c'est ce que prévoit l'Algérie, représentée par son Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de faire valoir lors de cette rencontre, a affirmé une source diplomatique à l'APS. Au sujet de la paix et la sécurité en Afrique, les participants se pencheront, selon la même source, sur les menaces qui pèsent sur le continent, tels que le terrorisme, la sécurité aux frontières, les trafics, et la dernière proposition de l'UA consistant en la création d'une force africaine d'action rapide. Les travaux se dérouleront à huis clos à travers trois sessions devant porter respectivement sur la Paix et la Sécurité en Afrique, le Partenariat économique et le Développement ainsi que sur le changement climatique. Auparavant, outre le président français, le Premier ministre d'Ethiopie et président de l'Union africaine, Hailemariam Desalegn, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy et le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, devraient prononcer, à leur tour, des allocutions d'ouverture. A l'issue de la séance de clôture du Sommet, les mêmes intervenants animeront une conférence de presse conjointe au Palais de l'Elysée, à laquelle sera également associée la présidente de la Commission de l'Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma. La tenue du Sommet de l'Elysée a été annoncée par le président français lors du sommet de l'Union africaine d'Addis-Abeba, en mai dernier, à l'occasion de la célébration de son cinquantenaire. Selon Paris, le programme du Sommet est le "résultat d'un dialogue suivi" entre la France, l'Union africaine et ses membres, les organisations régionales et l'ensemble des pays participants. Dans une déclaration à la presse en marge de cette conférence, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a estimé que ce rendez-vous est "important pour les pays africains", indiquaant que les dirigeant africains "sont aujourd'hui à l'Elysée, non seulement avec une liste de besoins, mais également en tant que partenaires à part entière, pour faire leur diagnostic de la situation (sécuritaire) et les remèdes appropriés". Selon lui, "la ligne directrice reste la solution africaine aux problèmes de l'Afrique avec l'appui du reste de la communauté internationale". Il a souligné, dans ce contexte, que "lorsque les Africains apportent des solutions à leurs problèmes sécuritaires, la lutte contre le terrorisme, la lutte contre le crime transnational organisé et l'immigration clandestine, entre autres, c'est aussi des solutions aux problèmes européens". Ramtane Lamamra explique que "aujourd'hui, nos partenaires internationaux qui n'ont pas toujours été avec nous pendant la guerre contre l'apartheid, sont à nos côtés pour la prise en charge des questions de paix et de sécurité qui affectent notre continent autant que le reste du monde". Revenant sur la position de l'Algérie, Lamamra a réaffirmé que cette position "est absolument la même. C'est un membre essentiel de l'Union africaine (UA) et que cette position inspire considérablement la position de l'UA". Les travaux de deux jours (6 et 7 décembre), ont été ouverts par le président français, François Hollande. L'Algérie, par la voix de son Premier ministre, devrait rappeler les positions de "principes" toujours défendues lors des rencontres bilatérales ou multilatérales avec les pays du champ, des puissances régionales ou internationales. Des "principes", consacrés et adoptés par l'Union africaine. L'approche algérienne sur les questions de sécurité consiste d'abord en "l'appropriation" des questions africaines par les pays africains et le "renforcement" des capacités de l'Union africaine (UA) à travers ses mécanismes, y compris au niveau régional, notamment par des moyens financiers, et c'est ce que prévoit l'Algérie, représentée par son Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de faire valoir lors de cette rencontre, a affirmé une source diplomatique à l'APS. Au sujet de la paix et la sécurité en Afrique, les participants se pencheront, selon la même source, sur les menaces qui pèsent sur le continent, tels que le terrorisme, la sécurité aux frontières, les trafics, et la dernière proposition de l'UA consistant en la création d'une force africaine d'action rapide. Les travaux se dérouleront à huis clos à travers trois sessions devant porter respectivement sur la Paix et la Sécurité en Afrique, le Partenariat économique et le Développement ainsi que sur le changement climatique. Auparavant, outre le président français, le Premier ministre d'Ethiopie et président de l'Union africaine, Hailemariam Desalegn, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy et le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, devraient prononcer, à leur tour, des allocutions d'ouverture. A l'issue de la séance de clôture du Sommet, les mêmes intervenants animeront une conférence de presse conjointe au Palais de l'Elysée, à laquelle sera également associée la présidente de la Commission de l'Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma. La tenue du Sommet de l'Elysée a été annoncée par le président français lors du sommet de l'Union africaine d'Addis-Abeba, en mai dernier, à l'occasion de la célébration de son cinquantenaire. Selon Paris, le programme du Sommet est le "résultat d'un dialogue suivi" entre la France, l'Union africaine et ses membres, les organisations régionales et l'ensemble des pays participants. Dans une déclaration à la presse en marge de cette conférence, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a estimé que ce rendez-vous est "important pour les pays africains", indiquaant que les dirigeant africains "sont aujourd'hui à l'Elysée, non seulement avec une liste de besoins, mais également en tant que partenaires à part entière, pour faire leur diagnostic de la situation (sécuritaire) et les remèdes appropriés". Selon lui, "la ligne directrice reste la solution africaine aux problèmes de l'Afrique avec l'appui du reste de la communauté internationale". Il a souligné, dans ce contexte, que "lorsque les Africains apportent des solutions à leurs problèmes sécuritaires, la lutte contre le terrorisme, la lutte contre le crime transnational organisé et l'immigration clandestine, entre autres, c'est aussi des solutions aux problèmes européens". Ramtane Lamamra explique que "aujourd'hui, nos partenaires internationaux qui n'ont pas toujours été avec nous pendant la guerre contre l'apartheid, sont à nos côtés pour la prise en charge des questions de paix et de sécurité qui affectent notre continent autant que le reste du monde". Revenant sur la position de l'Algérie, Lamamra a réaffirmé que cette position "est absolument la même. C'est un membre essentiel de l'Union africaine (UA) et que cette position inspire considérablement la position de l'UA".