Femme dans la vie politique, notamment à travers les assemblées élues, a été le thème principal de la conférence internationale organisé hier a Alger par le Parlement algérien avec l'appui de l'organisation des Nations unies. Femme dans la vie politique, notamment à travers les assemblées élues, a été le thème principal de la conférence internationale organisé hier a Alger par le Parlement algérien avec l'appui de l'organisation des Nations unies. Une opportunité pour les participants, dont de nombreuses délégations étrangères, de faire le point sur cette question et de passer en revue l'expérience algérienne. Une expérience riche en enseignements. Cette rencontre constitue une importante étape pour faire un état des lieux sur la participation de la femme dans les différents domaines de la vie. « et, comme l'a dit le premier ministre, Abdelmalek Sellal, ce rendez-vous constitue « une opportunité pour sortir avec des recommandations à même de clarifier les visions et mettre les stratégies nécessaires pour répondre aux aspirations de la femme en mettant fin à toute forme de marginalisation et d'exclusion ». Abdelmalek Sellal, dont l'allocution a été lue par le ministre en charge des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri, n'a pas manqué de rendre un vibrant hommage au rôle joué par la femme algérienne tout au long de l'Histoire du pays. « La femme algérienne n'a pas abandonné son rôle dans la lutte contre le terrorisme et a défendu les valeurs de la Républqiue et la pérennité de l'Etat. Elle a en a payé le prix fort et de lourds sacrifices ». D'ou, sans douten comme l'a martelé le Premier ministre « l'Etat algérien n'a pas renié le rôle de la femme et son sacrifice et ce depuis l'Indépendance du pays ». D'ailleurs, dira Sellal, la première Constitution algérienne a consacré l'égalité entre les deux sexes et l'Etat algérien a adhéré à tous les accords et conventions internationaux relatifs à la promotion des droits de la Femme et sa protection. Il donnera l'exemple de la Convention internationale relatif aux droits politiques de la Femme, signée par l'Algérie le 8 mars 2008. Et comme il fallait s'y attendre le Premier ministre n'a pas manqué de rappeler « l'intérêt croissant » accordé par l'Etat algérien à la promotion du rôle de la Femme depuis 1999 et l'avènement de Abdelaziz Bouteflika à la tête du pays. Il citera alors quelques phrases du chef de l'Etat pour appuyer ses dires avant de mettre en relief les efforts accomplis en la matière ; notamment à la faveur de la révision de la Constitution en 2008 et la promulgation de la loi de 2012 qui a consacré la présence des femmes dans les assemblées élues. Cette loi a renforcé considérablement la présence de la Femme dans ces assemblées puisque, depuis, un tiers des sièges lui est automatiquement octroyée. A la faveur des élections législatives et locales de 2012, les femmes ont pu obtenir 146 sièges à l'APN sur un total de 461, soit 31,60%, 4.105 sièges aux APC, soit 16, 49% de sièges et 592 sièges aux APW, soit une moyenne de 29,54%. Abdelmalek Sellal a donné aussi quelques chiffres sur la présence de la Femme dans certains secteurs d'activités. Dans le secteur de la santé la Femme est majoritaire puisque le pourcentage est de 65%, soit 3.100 praticienne sur un total de 47.000. Dans le secteur de la Justice il donnera le chiffre des femmes magistrat en révélant que leur nombre s'élève à 2.064 sur un total de 4.984, soit presque 50%. « Le femme dans notre pays est un partenaire essentiel dans le processus de développement global et durable du pays » dira, en conclusion le Premier ministre. Notons que le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui a inauguré les travaux de cette rencontre en a fait de même lorsqu'il a mis en exergue les importantes avancées réalisées par le pays. Une opportunité pour les participants, dont de nombreuses délégations étrangères, de faire le point sur cette question et de passer en revue l'expérience algérienne. Une expérience riche en enseignements. Cette rencontre constitue une importante étape pour faire un état des lieux sur la participation de la femme dans les différents domaines de la vie. « et, comme l'a dit le premier ministre, Abdelmalek Sellal, ce rendez-vous constitue « une opportunité pour sortir avec des recommandations à même de clarifier les visions et mettre les stratégies nécessaires pour répondre aux aspirations de la femme en mettant fin à toute forme de marginalisation et d'exclusion ». Abdelmalek Sellal, dont l'allocution a été lue par le ministre en charge des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri, n'a pas manqué de rendre un vibrant hommage au rôle joué par la femme algérienne tout au long de l'Histoire du pays. « La femme algérienne n'a pas abandonné son rôle dans la lutte contre le terrorisme et a défendu les valeurs de la Républqiue et la pérennité de l'Etat. Elle a en a payé le prix fort et de lourds sacrifices ». D'ou, sans douten comme l'a martelé le Premier ministre « l'Etat algérien n'a pas renié le rôle de la femme et son sacrifice et ce depuis l'Indépendance du pays ». D'ailleurs, dira Sellal, la première Constitution algérienne a consacré l'égalité entre les deux sexes et l'Etat algérien a adhéré à tous les accords et conventions internationaux relatifs à la promotion des droits de la Femme et sa protection. Il donnera l'exemple de la Convention internationale relatif aux droits politiques de la Femme, signée par l'Algérie le 8 mars 2008. Et comme il fallait s'y attendre le Premier ministre n'a pas manqué de rappeler « l'intérêt croissant » accordé par l'Etat algérien à la promotion du rôle de la Femme depuis 1999 et l'avènement de Abdelaziz Bouteflika à la tête du pays. Il citera alors quelques phrases du chef de l'Etat pour appuyer ses dires avant de mettre en relief les efforts accomplis en la matière ; notamment à la faveur de la révision de la Constitution en 2008 et la promulgation de la loi de 2012 qui a consacré la présence des femmes dans les assemblées élues. Cette loi a renforcé considérablement la présence de la Femme dans ces assemblées puisque, depuis, un tiers des sièges lui est automatiquement octroyée. A la faveur des élections législatives et locales de 2012, les femmes ont pu obtenir 146 sièges à l'APN sur un total de 461, soit 31,60%, 4.105 sièges aux APC, soit 16, 49% de sièges et 592 sièges aux APW, soit une moyenne de 29,54%. Abdelmalek Sellal a donné aussi quelques chiffres sur la présence de la Femme dans certains secteurs d'activités. Dans le secteur de la santé la Femme est majoritaire puisque le pourcentage est de 65%, soit 3.100 praticienne sur un total de 47.000. Dans le secteur de la Justice il donnera le chiffre des femmes magistrat en révélant que leur nombre s'élève à 2.064 sur un total de 4.984, soit presque 50%. « Le femme dans notre pays est un partenaire essentiel dans le processus de développement global et durable du pays » dira, en conclusion le Premier ministre. Notons que le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui a inauguré les travaux de cette rencontre en a fait de même lorsqu'il a mis en exergue les importantes avancées réalisées par le pays.