Le secteur sanitaire de la commune de Boufarik (Blida) a bénéficié de trois importants projets destinés à atténuer la pression sur l'établissement hospitalier de la ville, très sollicité par un nombre sans cesse croissant de malades de l'intérieur et du dehors de la wilaya, a indiqué le directeur de cet établissement. Le secteur sanitaire de la commune de Boufarik (Blida) a bénéficié de trois importants projets destinés à atténuer la pression sur l'établissement hospitalier de la ville, très sollicité par un nombre sans cesse croissant de malades de l'intérieur et du dehors de la wilaya, a indiqué le directeur de cet établissement. Dans un point de presse animé jeudi dernier, Djemaï Mohamed a fait cas de la destination au profit de la localité de Boufarik d'un projet de complexe mère-enfant de 60 lits, achevé d'étude récemment, dans l'attente "prochaine" du lancement de son chantier. Il s'agit, également, du projet d'un hôpital du jour, pour les urgences médicales, qui sera réalisé dans l'enceinte de l'hôpital actuel de Boufarik, parallèlement à un projet d'un nouvel hôpital de 240 lits destiné à la région, suite aux sollicitions pressantes exprimées au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, lors de sa dernière visite dans la wilaya. Selon M. Djemaï, ces projets sont d'une grande importance, car de nombreux services de l'hôpital de Boufarik, dont la réalisation remonte à l'époque coloniale (1872), sont vétustes. L'hôpital de Boufarik est doté de 192 lits, repartis à travers les services des urgences, d'accouchement, chirurgie générale, médecine, chirurgie pédiatrique et réanimation, en plus d'un service régional des maladies infectieuses, accueillant des malades de 4 wilayas. Pour illustrer la grande pression exercée sur cet établissement, M. Djemaï a fait remarquer que le service d'accouchement a réalisé, cette année, près de 5.200 césariennes, au moment où le taux d'occupation des lits (au nombre de 10) est de 217%, un chiffre qui reflète une surcharge "trop importante". Le même problème est relevé au niveau du service des urgences, doté de 10 lits, également, mais accueillant une moyenne de 300 malades h /24 h, est-il déploré. "Ces trois projets viendront à point nommé pour combler ce déficit structurel", a estimé ce responsable qui se félicite, néanmoins, que son établissement ait pu gagner le défi de la qualité, après la hausse opérée, ces dernières années, dans son effectif médical, dont le nombre de spécialistes a été porté à 93 médecins. Dans un point de presse animé jeudi dernier, Djemaï Mohamed a fait cas de la destination au profit de la localité de Boufarik d'un projet de complexe mère-enfant de 60 lits, achevé d'étude récemment, dans l'attente "prochaine" du lancement de son chantier. Il s'agit, également, du projet d'un hôpital du jour, pour les urgences médicales, qui sera réalisé dans l'enceinte de l'hôpital actuel de Boufarik, parallèlement à un projet d'un nouvel hôpital de 240 lits destiné à la région, suite aux sollicitions pressantes exprimées au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, lors de sa dernière visite dans la wilaya. Selon M. Djemaï, ces projets sont d'une grande importance, car de nombreux services de l'hôpital de Boufarik, dont la réalisation remonte à l'époque coloniale (1872), sont vétustes. L'hôpital de Boufarik est doté de 192 lits, repartis à travers les services des urgences, d'accouchement, chirurgie générale, médecine, chirurgie pédiatrique et réanimation, en plus d'un service régional des maladies infectieuses, accueillant des malades de 4 wilayas. Pour illustrer la grande pression exercée sur cet établissement, M. Djemaï a fait remarquer que le service d'accouchement a réalisé, cette année, près de 5.200 césariennes, au moment où le taux d'occupation des lits (au nombre de 10) est de 217%, un chiffre qui reflète une surcharge "trop importante". Le même problème est relevé au niveau du service des urgences, doté de 10 lits, également, mais accueillant une moyenne de 300 malades h /24 h, est-il déploré. "Ces trois projets viendront à point nommé pour combler ce déficit structurel", a estimé ce responsable qui se félicite, néanmoins, que son établissement ait pu gagner le défi de la qualité, après la hausse opérée, ces dernières années, dans son effectif médical, dont le nombre de spécialistes a été porté à 93 médecins.