Des habitants de la commune de Mizrana ont fermé, cette semaine, dès la première heure de la matinée, le siège de leur assemblée populaire communale en guise d'action de protestation. L'action en question a été initiée par les habitants de l'un des plus grands villages que compte la municipalité, Azrou Bwar. Cette action de fermeture du siège de la mairie est illimitée selon les concernés. Ces derniers ont tenu à observer en même temps un sit-in sur place. Des habitants de la commune de Mizrana ont fermé, cette semaine, dès la première heure de la matinée, le siège de leur assemblée populaire communale en guise d'action de protestation. L'action en question a été initiée par les habitants de l'un des plus grands villages que compte la municipalité, Azrou Bwar. Cette action de fermeture du siège de la mairie est illimitée selon les concernés. Ces derniers ont tenu à observer en même temps un sit-in sur place. La goutte ayant fait déborder le vase de la colère est le problème des coupures du courant électrique qui devient récurrent dans cette localité côtière. Les contestataires ont confié aux correspondants de presse que, suite à la persistance ce problème sérieux, ils ont saisi les élus à l'assemblée populaire communale ainsi que les responsables locaux de Sonelgaz. Mais rien n'a été fait ni par les uns ni par les autres, toujours d'après les concernés. Un autre problème, et non des moindres, est également déploré. C'est celui de l'état de dégradation avancée dans lequel se trouve l'école primaire du village qui nécessite des travaux de réhabilitation urgents pour parer à d'éventuels dommages qui pourraient survenir notamment avec le retour des intempéries dès le week-end prochain. « Notre école est dans un état vétuste et lamentable qui nécessite des travaux de réfection dans les brefs délais. Nos enfants sont en danger », souligne l'un des protestataires ayant pris part au sit-in d'hier et contacté par téléphone. Parmi les autres revendications mises en exergue par les citoyens de la commune de Mizrana, dépendant administrativement de la daïra de Tigzirt, on peut citer aussi celle inhérente à la réouverture de l'agence locale de la poste qui est hors service depuis l'année 2007 à cause de son exposition à des actes de banditisme. La sortie des citoyens de la commune de Mizrana intervient au moment où le siège de la mairie et celui de la daïra de Makouda, une localité limitrophe, sont toujours fermés et ce, depuis quinze jours. Les citoyens de Makouda ont également procédé au blocage de toutes les routes menant vers le chef-lieu communal, hier matin. Ces actions de protestation sont menées par les habitants du village Semghoun, déterminés en toute vraisemblance à aller jusqu'au bout de leurs revendications. Ces derniers réclament le branchement de leur village au réseau de gaz naturel, de l'eau potable et la réhabilitation des routes menant vers leur localité. Une autre action similaire est observée depuis plusieurs jours dans le chef-lieu de la commune d'Ath Yanni où les citoyens exigent l'annulation de la liste des bénéficiaires des cent logements sociaux réceptionnés récemment. La goutte ayant fait déborder le vase de la colère est le problème des coupures du courant électrique qui devient récurrent dans cette localité côtière. Les contestataires ont confié aux correspondants de presse que, suite à la persistance ce problème sérieux, ils ont saisi les élus à l'assemblée populaire communale ainsi que les responsables locaux de Sonelgaz. Mais rien n'a été fait ni par les uns ni par les autres, toujours d'après les concernés. Un autre problème, et non des moindres, est également déploré. C'est celui de l'état de dégradation avancée dans lequel se trouve l'école primaire du village qui nécessite des travaux de réhabilitation urgents pour parer à d'éventuels dommages qui pourraient survenir notamment avec le retour des intempéries dès le week-end prochain. « Notre école est dans un état vétuste et lamentable qui nécessite des travaux de réfection dans les brefs délais. Nos enfants sont en danger », souligne l'un des protestataires ayant pris part au sit-in d'hier et contacté par téléphone. Parmi les autres revendications mises en exergue par les citoyens de la commune de Mizrana, dépendant administrativement de la daïra de Tigzirt, on peut citer aussi celle inhérente à la réouverture de l'agence locale de la poste qui est hors service depuis l'année 2007 à cause de son exposition à des actes de banditisme. La sortie des citoyens de la commune de Mizrana intervient au moment où le siège de la mairie et celui de la daïra de Makouda, une localité limitrophe, sont toujours fermés et ce, depuis quinze jours. Les citoyens de Makouda ont également procédé au blocage de toutes les routes menant vers le chef-lieu communal, hier matin. Ces actions de protestation sont menées par les habitants du village Semghoun, déterminés en toute vraisemblance à aller jusqu'au bout de leurs revendications. Ces derniers réclament le branchement de leur village au réseau de gaz naturel, de l'eau potable et la réhabilitation des routes menant vers leur localité. Une autre action similaire est observée depuis plusieurs jours dans le chef-lieu de la commune d'Ath Yanni où les citoyens exigent l'annulation de la liste des bénéficiaires des cent logements sociaux réceptionnés récemment.