Le président de la Fédération algérienne de Football, Mohamed Rouaraoua, est revenu avant-hier sur beaucoup de sujets liés essentiellement à l'actualité du football national. L'invité du forum de Dzair TV n'a pas loupé cette occasion pour évoquer l'avenir du sélectionneur national Vahid Halilhodzic. Le président de la Fédération algérienne de Football, Mohamed Rouaraoua, est revenu avant-hier sur beaucoup de sujets liés essentiellement à l'actualité du football national. L'invité du forum de Dzair TV n'a pas loupé cette occasion pour évoquer l'avenir du sélectionneur national Vahid Halilhodzic. Invité par cette chaîne de télévision privée, le patron du football national s'est focalisé surtout sur les problèmes dans lesquels se trouve actuellement le football national. Le premier responsable de cette instance fédérale dira qu'il a un bon rapport avec l'entraîneur Vahid Halilhodzic, seulement cette relation lie un employé à son patron. Intervenant sur les dernières déclarations du technicien bosnien, Mohamed Rouaraoua dira qu'il n'y avait rien de grave. "J'avoue avoir été surpris de lire tout ça dans la presse. J'ai réécouté cette interview qu'il a accordée à une chaîne étrangère, je n'ai rien trouvé de grave. Je profite de cette occasion pour dire que l'entraîneur Vahid Halilhodzic communique mal. Souvent, il ne sait pas bien s'exprimer. S'il a dit qu'il est prêt a céder sa place pour le technicien qui pourra qualifier l'équipe au second tour, cela ne veut pas dire qu'il est incapable de le faire", a-t-il dit. Evoquant le terme "mouton" qui a été souvent utilisé par ce technicien, le patron de la Fédération algérienne de football confirme que ce n'est qu'une expression. Rouaraoua rappelle également que cet entraîneur avait même utilisé "mouton noir", pour dire qu'il n'a pas de chance lors de la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations. C'est une expression qui lui appartient. Toujours dans le même ordre d'idées, le président de la FAF confirme que le technicien Vahid Halilhodzic a signé un contrat écrit de qualifier l'Algérie au second tour. "Halilhodzic ira jusqu'au au bout de son contrat qui s'étalera jusqu'à la fin du Mondial. Après, le sélectionneur est libre de faire ce qu'il veut. Il a tout à fait le droit de partir ou de rester après la Coupe du monde. En cas où il décidera de quitter, tout est prévu pour son remplacement. Actuellement, beaucoup de techniciens veulent prendre la sélection", a-t-il dit. Parlant de la participation des clubs algériens aux différentes compétitions africaines, le président Mohamed Rouaraoua préconise à ses clubs de se retirer. Pour ce responsable, leur participation les fragilisera davantage sur le plan financier. "Un club qui n'est pas sûr d'atteindre la phase des poules n'a qu'à rester chez lui. Sans trop parler de l'USM Harrach, j'ai appris dernièrement que des joueurs de l'ES Sétif n'ont pas été payés depuis plus de cinq mois. Comment veut-tu qu'une équipe ira loin dans une compétition alors que les joueurs pensent à leurs salaires. Hormis le CS Constantine qui a eu des garanties d'une compagnie aérienne pour ses déplacements, aucune autre formation n'est en mesure d'assurer les frais des déplacements", a-t-il confirmé. Invité par cette chaîne de télévision privée, le patron du football national s'est focalisé surtout sur les problèmes dans lesquels se trouve actuellement le football national. Le premier responsable de cette instance fédérale dira qu'il a un bon rapport avec l'entraîneur Vahid Halilhodzic, seulement cette relation lie un employé à son patron. Intervenant sur les dernières déclarations du technicien bosnien, Mohamed Rouaraoua dira qu'il n'y avait rien de grave. "J'avoue avoir été surpris de lire tout ça dans la presse. J'ai réécouté cette interview qu'il a accordée à une chaîne étrangère, je n'ai rien trouvé de grave. Je profite de cette occasion pour dire que l'entraîneur Vahid Halilhodzic communique mal. Souvent, il ne sait pas bien s'exprimer. S'il a dit qu'il est prêt a céder sa place pour le technicien qui pourra qualifier l'équipe au second tour, cela ne veut pas dire qu'il est incapable de le faire", a-t-il dit. Evoquant le terme "mouton" qui a été souvent utilisé par ce technicien, le patron de la Fédération algérienne de football confirme que ce n'est qu'une expression. Rouaraoua rappelle également que cet entraîneur avait même utilisé "mouton noir", pour dire qu'il n'a pas de chance lors de la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations. C'est une expression qui lui appartient. Toujours dans le même ordre d'idées, le président de la FAF confirme que le technicien Vahid Halilhodzic a signé un contrat écrit de qualifier l'Algérie au second tour. "Halilhodzic ira jusqu'au au bout de son contrat qui s'étalera jusqu'à la fin du Mondial. Après, le sélectionneur est libre de faire ce qu'il veut. Il a tout à fait le droit de partir ou de rester après la Coupe du monde. En cas où il décidera de quitter, tout est prévu pour son remplacement. Actuellement, beaucoup de techniciens veulent prendre la sélection", a-t-il dit. Parlant de la participation des clubs algériens aux différentes compétitions africaines, le président Mohamed Rouaraoua préconise à ses clubs de se retirer. Pour ce responsable, leur participation les fragilisera davantage sur le plan financier. "Un club qui n'est pas sûr d'atteindre la phase des poules n'a qu'à rester chez lui. Sans trop parler de l'USM Harrach, j'ai appris dernièrement que des joueurs de l'ES Sétif n'ont pas été payés depuis plus de cinq mois. Comment veut-tu qu'une équipe ira loin dans une compétition alors que les joueurs pensent à leurs salaires. Hormis le CS Constantine qui a eu des garanties d'une compagnie aérienne pour ses déplacements, aucune autre formation n'est en mesure d'assurer les frais des déplacements", a-t-il confirmé.