La cinéaste américaine, Judith Irola, animera cette semaine deux ateliers de formation à Alger, a indiqué lundi à Oran la réalisatrice spécialisée dans le film documentaire. Le premier atelier portera sur les techniques cinématographiques de base, tandis que le deuxième sera dédié aux besoins exprimés par les élèves de l'Institut supérieur des métiers des arts du spectacle de Bordj El-Kiffan (Ismas, Alger), a précisé Mme Irola dans une déclaration à l'APS. La cinéaste américaine, Judith Irola, animera cette semaine deux ateliers de formation à Alger, a indiqué lundi à Oran la réalisatrice spécialisée dans le film documentaire. Le premier atelier portera sur les techniques cinématographiques de base, tandis que le deuxième sera dédié aux besoins exprimés par les élèves de l'Institut supérieur des métiers des arts du spectacle de Bordj El-Kiffan (Ismas, Alger), a précisé Mme Irola dans une déclaration à l'APS. Les deux sessions permettront aux groupes de jeunes cinéastes intéressés de consolider leurs connaissances dans le domaine de la prise de vue et de son, ainsi que pour l'usage des différents équipements inhérents au 7e Art, a-t-elle expliqué. La présence de cette réalisatrice américaine à Oran intervient dans le cadre de sa participation à la projection du film documentaire Zéro pour cent, dernier-né du cinéaste américain Tim Skousen. L'œuvre a été visionnée lundi après-midi à "American Corner" (Coin américain) de l'Université d'Oran, une structure documentaire créée dans le cadre de la coopération culturelle algéro-américaine. De nombreux étudiants ont assisté à cette projection qui fait suite à la séance donnée dimanche en avant-première au Centre d'études maghrébines en Algérie (Cema), basé à Oran. Zéro pour cent (titre orignal : Zero Percent) a été projeté en présence du réalisateur Tim Skousen qui s'est félicité de l'intérêt affiché par l'assistance quant au contenu de son œuvre consacrée à un programme de réinsertion sociale au profit des détenus de la prison de Sing Sing (New York, USA). Le documentaire met en relief le programme de réinsertion Hudson Link for Higher Education dont l'appellation s'inspire du nom du fleuve Hudson coulant notamment dans l'Etat de New York et qui est longé par plusieurs établissements pénitentiaires, rappelle-t-on. Le titre du film Zéro pour cent fait référence au fait qu'aucun des diplômés du programme Hudson Link dispensé dans la prison Sing Sing (New York) n'a été réincarcéré pour une nouvelle infraction, une fois libéré, alors que le taux de récidive national aux USA est de plus de 60%. Trois nouvelles projections de cette œuvre sont prévues cette semaine à Alger, dont une jeudi prochain à l'Institut Ismas, a fait savoir Hamdi Sellami, responsable du programme "American film Showcase" (AFS) au titre duquel sont animées ces activités culturelles. Le programme AFS porte sur la diffusion de documentaires américains à travers le monde, a indiqué l'attachée culturelle de l'ambassade des Etats-Unis en Algérie, Ida Heckenbach, signalant que Judith Irola et Tim Skousen font partie des cinéastes sollicités dans ce cadre. Les deux sessions permettront aux groupes de jeunes cinéastes intéressés de consolider leurs connaissances dans le domaine de la prise de vue et de son, ainsi que pour l'usage des différents équipements inhérents au 7e Art, a-t-elle expliqué. La présence de cette réalisatrice américaine à Oran intervient dans le cadre de sa participation à la projection du film documentaire Zéro pour cent, dernier-né du cinéaste américain Tim Skousen. L'œuvre a été visionnée lundi après-midi à "American Corner" (Coin américain) de l'Université d'Oran, une structure documentaire créée dans le cadre de la coopération culturelle algéro-américaine. De nombreux étudiants ont assisté à cette projection qui fait suite à la séance donnée dimanche en avant-première au Centre d'études maghrébines en Algérie (Cema), basé à Oran. Zéro pour cent (titre orignal : Zero Percent) a été projeté en présence du réalisateur Tim Skousen qui s'est félicité de l'intérêt affiché par l'assistance quant au contenu de son œuvre consacrée à un programme de réinsertion sociale au profit des détenus de la prison de Sing Sing (New York, USA). Le documentaire met en relief le programme de réinsertion Hudson Link for Higher Education dont l'appellation s'inspire du nom du fleuve Hudson coulant notamment dans l'Etat de New York et qui est longé par plusieurs établissements pénitentiaires, rappelle-t-on. Le titre du film Zéro pour cent fait référence au fait qu'aucun des diplômés du programme Hudson Link dispensé dans la prison Sing Sing (New York) n'a été réincarcéré pour une nouvelle infraction, une fois libéré, alors que le taux de récidive national aux USA est de plus de 60%. Trois nouvelles projections de cette œuvre sont prévues cette semaine à Alger, dont une jeudi prochain à l'Institut Ismas, a fait savoir Hamdi Sellami, responsable du programme "American film Showcase" (AFS) au titre duquel sont animées ces activités culturelles. Le programme AFS porte sur la diffusion de documentaires américains à travers le monde, a indiqué l'attachée culturelle de l'ambassade des Etats-Unis en Algérie, Ida Heckenbach, signalant que Judith Irola et Tim Skousen font partie des cinéastes sollicités dans ce cadre.