Les représentants des partis de l'opposition veulent tenir jusqu'au bout pour faire entendre leurs voix pour le scrutin présidentiel du 17 avril. Depuis quelques temps, ils multiplient les rencontres en vue de faire valoir leur avis sur la transparence du vote. Les représentants des partis de l'opposition veulent tenir jusqu'au bout pour faire entendre leurs voix pour le scrutin présidentiel du 17 avril. Depuis quelques temps, ils multiplient les rencontres en vue de faire valoir leur avis sur la transparence du vote. Le RCD, Jil Djadid, le MSP, Ennahda, Fadjr El Djadid et des personnalités comme Ahmed Benbitour campent sur leur position initiale à savoir les garanties pour la transparence d'un scrutin qu'ils estiment « verrouillé » pour un seul candidat. Ils sont déterminés à ne pas lâcher du lest sur l'une des revendications à savoir l'obtention d'une « commission indépendante pour le suivi de l'élection présidentielle », lequel point a déjà essuyé un refus de la part du ministre de l'Intérieur en décembre dernier. Du reste, l'opposition tente de mettre de la pression sur les autorités en les chargeant des maux et en arrêtant le principe d'organiser des «actions de terrain» ultérieurement. A chaque fois, ils comptent organiser dans l'un des sièges de partis « des rencontres en vue d'approfondir le dialogue avec tous les partis attachés à la nécessité d'instaurer un Etat de droit et au respect de la Constitution et des libertés politiques». Le RCD prend ainsi le relais - comme ce fut hier - d'organiser des conclaves pour les actions dans le but de fédérer l'opposition pour une approche commune sur les enjeux du scrutin du 17 avril prochain. Dans le communiqué publié dernièrement, les partis d'opposition se prononcent déjà sur le vote. «L'élection présidentielle du 17 avril prochain a été le point essentiel de notre débat. L'absence d'une bonne volonté d'organiser une élection transparente et honnête chez le pouvoir en place, nous oblige aussi à poursuivre notre travail commun en vue d'imposer les conditions nécessaires pour un scrutin libre et la mise en place des bases démocratiques pour un changement pacifique en Algérie ». Le contexte est bien parti pour cette union de partis qui trouvent à redire sur le plan économique. Ils ont, à cet effet, qualifié la situation économique de «très dangereuse». Leurs critiques se justifient surtout à l'égard des institutions qui refusent d'être impartiales et neutres sur l'organisation du scrutin. C'est dans ce but que ces partis se mettent en ordre serré où ils ont souligné qu'ils ont réussi « à dépasser leurs idéologies pour se réunir autour d'un seul objectif et se disent déterminés à fournir d'avantage d'effort pour unifier l'opposition et faire échouer les desseins du régime ». Cela étant, il faut retenir que si certains partis arrivent à se positionner en affichant clairement leur embarras sur la situation politique actuelle, il n'en demeure pas moins que certains ont fait faux-bond à l'image de Louisa Hanoune qui a annoncé sa candidature aux présidentielles en préférant faire cavalier seul sur l'arène politique. De même que certains détracteurs du pouvoir ont manifestement choisi de ne pas opter pour la candidature aux élections. Ils s'imposent un silence et ne commentent plus l'actualité qui connaît pourtant une agitation. Le RCD, Jil Djadid, le MSP, Ennahda, Fadjr El Djadid et des personnalités comme Ahmed Benbitour campent sur leur position initiale à savoir les garanties pour la transparence d'un scrutin qu'ils estiment « verrouillé » pour un seul candidat. Ils sont déterminés à ne pas lâcher du lest sur l'une des revendications à savoir l'obtention d'une « commission indépendante pour le suivi de l'élection présidentielle », lequel point a déjà essuyé un refus de la part du ministre de l'Intérieur en décembre dernier. Du reste, l'opposition tente de mettre de la pression sur les autorités en les chargeant des maux et en arrêtant le principe d'organiser des «actions de terrain» ultérieurement. A chaque fois, ils comptent organiser dans l'un des sièges de partis « des rencontres en vue d'approfondir le dialogue avec tous les partis attachés à la nécessité d'instaurer un Etat de droit et au respect de la Constitution et des libertés politiques». Le RCD prend ainsi le relais - comme ce fut hier - d'organiser des conclaves pour les actions dans le but de fédérer l'opposition pour une approche commune sur les enjeux du scrutin du 17 avril prochain. Dans le communiqué publié dernièrement, les partis d'opposition se prononcent déjà sur le vote. «L'élection présidentielle du 17 avril prochain a été le point essentiel de notre débat. L'absence d'une bonne volonté d'organiser une élection transparente et honnête chez le pouvoir en place, nous oblige aussi à poursuivre notre travail commun en vue d'imposer les conditions nécessaires pour un scrutin libre et la mise en place des bases démocratiques pour un changement pacifique en Algérie ». Le contexte est bien parti pour cette union de partis qui trouvent à redire sur le plan économique. Ils ont, à cet effet, qualifié la situation économique de «très dangereuse». Leurs critiques se justifient surtout à l'égard des institutions qui refusent d'être impartiales et neutres sur l'organisation du scrutin. C'est dans ce but que ces partis se mettent en ordre serré où ils ont souligné qu'ils ont réussi « à dépasser leurs idéologies pour se réunir autour d'un seul objectif et se disent déterminés à fournir d'avantage d'effort pour unifier l'opposition et faire échouer les desseins du régime ». Cela étant, il faut retenir que si certains partis arrivent à se positionner en affichant clairement leur embarras sur la situation politique actuelle, il n'en demeure pas moins que certains ont fait faux-bond à l'image de Louisa Hanoune qui a annoncé sa candidature aux présidentielles en préférant faire cavalier seul sur l'arène politique. De même que certains détracteurs du pouvoir ont manifestement choisi de ne pas opter pour la candidature aux élections. Ils s'imposent un silence et ne commentent plus l'actualité qui connaît pourtant une agitation.