Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) est désormais à l'heure des choix par rapport à l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Son conseil national, qui s'est réuni hier en session ordinaire au siège du parti, aura en effet à trancher sur la position du MSP lors de ces élections. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) est désormais à l'heure des choix par rapport à l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Son conseil national, qui s'est réuni hier en session ordinaire au siège du parti, aura en effet à trancher sur la position du MSP lors de ces élections. Le Mouvement va-t-il participer ? Si oui, est-ce que ce sera avec son propre candidat ou, au contraire, va-t-il soutenir un autre candidat ? Il reste cependant la troisième option, celle du boycott. Une option qui a de fortes chances d‘être finalement retenue. C‘est au conseil consultatif, qui est, faut-il le rappeler, la plus haute instance du mouvement, d‘en décider. Le choix définitif ne suscitera, sans aucun doute, d‘apres débats et il n‘est pas exclu qu‘il soit encore différé à une autre date. Pour ce faire, la session du Conseil consultatif restera ouverte jusqu‘à la maturation de la décision finale. Dans son allocution d‘ouverture des travaux de la session, le président du Mouvement, Abderazak Mokri, a fait cas de toutes les initiatives prises par le mouvement en direction des autres forces politiques en vie de coordonner les actions et els positions en perspective du prochain scrutin. L‘orateur a ainsi évoqué les consultations dans le cadre de l‘Alliance de l‘Algérie verte (AAV), du groupe des partis politiques qu défend la mémoire et la souveraineté, du groupe des 20 partis et personnalités et, enfin, du groupe des 5+ 1. Ce dernier groupe, au sein duquel siégent, outre le MSP, le RCD, le mouvement Enahda, le parti Fadjr El-Djadid, de Sofiane Djilali et Ahmed Benbitour, l‘ancien chef de gouvernement qui ont tous deux annoncés déjà leur candidature. Les 5+1, qui se proclament de l‘opposition et qui veulent par conséquent contrarier les desseins du pouvoir, se sont réunis ces derniers jours et ont décidés de mener des « actions politiques de terrain » sans toutefois préciser leur nature. En vérité toutes ces consultations n‘ont abouti à rien. L‘opposition ne s‘est pas en effet entendue sur une position commune, encore moins sur un candidat consensuel. Le président du MSO n‘a pas, à cet effet, manqué de reconnaître que l‘échec est jusqu‘à présent patent. « Je me présente devant vous sans acquis palpable et je ne sais pas si vous nous autoriserait à poursuivre le chemin jusqu‘au dernier moment après cette réunion ou cette démarche va s‘arrêter » dira Mokri aux membres du conseil. Ce dernier avait, pour rappel, confier au bureau national le soin de mener toutes les consultations possibles et de lui soumettre les options avant de prendre la décision finale sur la position du MSP. L‘option du candidat consensuel de l‘opposition ne semble plus être de mise il ne reste au mouvement que deux options : soit participer avec son propre candidat, soit boycotter le scrutin. Quelle option pour le MSP ? Mais aussi quel candidat ou cas où il décide de participer ? Abderazak Mokri a déjà annoncé que dans le cas de la participation du MSP avec son propre candidat il serait logique que ce soit son président, c‘est-à-dire lui-même, qui défende ses couleurs. Une perspective qui ne fait pas encore l‘unanimité, ce d‘autant qu‘on prête à l‘ancien président du Mouvement, Bouguerra Soltani, l‘ambition d‘être le candidat du parti. Le conseil consultatif doit donc trancher et faire le choix entre Abderazak Mokri et Bouguerra Soltani. Mais d‘aucuns au Mouvement estiment que pour couper court à toute discorde et rivalités internes c‘est l‘option du boycott qui sera finalement retenue. Le Mouvement va-t-il participer ? Si oui, est-ce que ce sera avec son propre candidat ou, au contraire, va-t-il soutenir un autre candidat ? Il reste cependant la troisième option, celle du boycott. Une option qui a de fortes chances d‘être finalement retenue. C‘est au conseil consultatif, qui est, faut-il le rappeler, la plus haute instance du mouvement, d‘en décider. Le choix définitif ne suscitera, sans aucun doute, d‘apres débats et il n‘est pas exclu qu‘il soit encore différé à une autre date. Pour ce faire, la session du Conseil consultatif restera ouverte jusqu‘à la maturation de la décision finale. Dans son allocution d‘ouverture des travaux de la session, le président du Mouvement, Abderazak Mokri, a fait cas de toutes les initiatives prises par le mouvement en direction des autres forces politiques en vie de coordonner les actions et els positions en perspective du prochain scrutin. L‘orateur a ainsi évoqué les consultations dans le cadre de l‘Alliance de l‘Algérie verte (AAV), du groupe des partis politiques qu défend la mémoire et la souveraineté, du groupe des 20 partis et personnalités et, enfin, du groupe des 5+ 1. Ce dernier groupe, au sein duquel siégent, outre le MSP, le RCD, le mouvement Enahda, le parti Fadjr El-Djadid, de Sofiane Djilali et Ahmed Benbitour, l‘ancien chef de gouvernement qui ont tous deux annoncés déjà leur candidature. Les 5+1, qui se proclament de l‘opposition et qui veulent par conséquent contrarier les desseins du pouvoir, se sont réunis ces derniers jours et ont décidés de mener des « actions politiques de terrain » sans toutefois préciser leur nature. En vérité toutes ces consultations n‘ont abouti à rien. L‘opposition ne s‘est pas en effet entendue sur une position commune, encore moins sur un candidat consensuel. Le président du MSO n‘a pas, à cet effet, manqué de reconnaître que l‘échec est jusqu‘à présent patent. « Je me présente devant vous sans acquis palpable et je ne sais pas si vous nous autoriserait à poursuivre le chemin jusqu‘au dernier moment après cette réunion ou cette démarche va s‘arrêter » dira Mokri aux membres du conseil. Ce dernier avait, pour rappel, confier au bureau national le soin de mener toutes les consultations possibles et de lui soumettre les options avant de prendre la décision finale sur la position du MSP. L‘option du candidat consensuel de l‘opposition ne semble plus être de mise il ne reste au mouvement que deux options : soit participer avec son propre candidat, soit boycotter le scrutin. Quelle option pour le MSP ? Mais aussi quel candidat ou cas où il décide de participer ? Abderazak Mokri a déjà annoncé que dans le cas de la participation du MSP avec son propre candidat il serait logique que ce soit son président, c‘est-à-dire lui-même, qui défende ses couleurs. Une perspective qui ne fait pas encore l‘unanimité, ce d‘autant qu‘on prête à l‘ancien président du Mouvement, Bouguerra Soltani, l‘ambition d‘être le candidat du parti. Le conseil consultatif doit donc trancher et faire le choix entre Abderazak Mokri et Bouguerra Soltani. Mais d‘aucuns au Mouvement estiment que pour couper court à toute discorde et rivalités internes c‘est l‘option du boycott qui sera finalement retenue.