Les prix des céréales européennes étaient quasi stables vendredi à la mi-journée, en phase de consolidation après leur chute de cette semaine, dans un contexte d'offre mondiale pléthorique confirmée par un rapport publié jeudi. Les prix des céréales européennes étaient quasi stables vendredi à la mi-journée, en phase de consolidation après leur chute de cette semaine, dans un contexte d'offre mondiale pléthorique confirmée par un rapport publié jeudi. Sur Euronext, le blé restait stable vers midi à 190,25 euros la tonne sur l'échéance de mars et gagnait 25 centimes sur celle de mai à 187,75 euros, dans un volume modéré d'environ 4.300 lots échangés (toutes échéances confondues). "On est en consolidation, même si certains industriels remontent à l'achat" en raison des prix bas, ont souligné des analystes. Les prix du maïs et surtout du blé ont chuté cette semaine, en raison de la dissipation des craintes d'un coup de gel hivernal sur les cultures américaines et de la région de la mer Noire. Les cours européens ont aussi souffert d'un important achat égyptien, l'un des principaux importateurs, qui a préféré du blé russe et américain à l'origine européenne, française notamment. L'offre mondiale de céréales reste abondante: le Conseil international des céréales (CIC) a revu à la hausse la production mondiale dans son rapport mensuel publié jeudi, avec 18 millions de tonnes en plus par rapport au mois dernier, moitié de blé et moitié de maïs. La consommation n'est revue en hausse que de 6 millions de tonnes, ce qui conduit à un alourdissement de 8 millions de tonnes du stock mondial de céréales évalué à 387 millions de tonnes, selon les spécialistes. Les exportations européennes de blé restent dynamiques. Bruxelles a autorisé l'exportation de 608.931 tonnes pour la semaine écoulée, "pour un cumul record à 17,32 millions de tonnes" pour la campagne commerciale 2013/2014, ont-ils ajouté. En revanche, les importations de maïs par les pays européens restent importantes, avec 357.833 tonnes cette semaine, selon la même source. Le maïs gagnait 25 centimes à 172,50 euros sur l'échéance de mars, dans un très faible volume d'environ 200 lots échangés'Autorité bancaire européenne. Sur Euronext, le blé restait stable vers midi à 190,25 euros la tonne sur l'échéance de mars et gagnait 25 centimes sur celle de mai à 187,75 euros, dans un volume modéré d'environ 4.300 lots échangés (toutes échéances confondues). "On est en consolidation, même si certains industriels remontent à l'achat" en raison des prix bas, ont souligné des analystes. Les prix du maïs et surtout du blé ont chuté cette semaine, en raison de la dissipation des craintes d'un coup de gel hivernal sur les cultures américaines et de la région de la mer Noire. Les cours européens ont aussi souffert d'un important achat égyptien, l'un des principaux importateurs, qui a préféré du blé russe et américain à l'origine européenne, française notamment. L'offre mondiale de céréales reste abondante: le Conseil international des céréales (CIC) a revu à la hausse la production mondiale dans son rapport mensuel publié jeudi, avec 18 millions de tonnes en plus par rapport au mois dernier, moitié de blé et moitié de maïs. La consommation n'est revue en hausse que de 6 millions de tonnes, ce qui conduit à un alourdissement de 8 millions de tonnes du stock mondial de céréales évalué à 387 millions de tonnes, selon les spécialistes. Les exportations européennes de blé restent dynamiques. Bruxelles a autorisé l'exportation de 608.931 tonnes pour la semaine écoulée, "pour un cumul record à 17,32 millions de tonnes" pour la campagne commerciale 2013/2014, ont-ils ajouté. En revanche, les importations de maïs par les pays européens restent importantes, avec 357.833 tonnes cette semaine, selon la même source. Le maïs gagnait 25 centimes à 172,50 euros sur l'échéance de mars, dans un très faible volume d'environ 200 lots échangés'Autorité bancaire européenne.