L'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS) participera à l'élection présidentielle du 17 avril 2014 et s'oppose à toutes formes de boycott, a annoncé lundi à Alger, le président de ce parti politique, Noureddine Bahbouh. L'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS) participera à l'élection présidentielle du 17 avril 2014 et s'oppose à toutes formes de boycott, a annoncé lundi à Alger, le président de ce parti politique, Noureddine Bahbouh. "Le Conseil national de l'UFDS, élargi aux élus et cadres du parti, réuni le week-end dernier a décidé de participer à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, refusant l'option du boycott qui profite à une faune d'opportunistes", a indiqué M. Bahbouh qui était l'invité du forum du quotidien national Liberté. "Un consensus s'est dégagé quant à notre participation, ce qui permet au parti d'être présent sur la scène politique, d'expliquer et de défendre ses positions", a ajouté M. Bahbouh. Il a également rappelé que le conseil national de l'UFDS a décidé de "ne pas présenter de candidat, mais de soutenir le candidat libre à la candidature à la présidentielle, Ali Benflis", expliquant que son parti "prendra part à la campagne électorale de Benflis tout en gardant sa ligne de conduite". "Nous avons décidé de soutenir Benflis car son programme se rapproche de nos positions", a encore réitéré M. Bahbouh, estimant par ailleurs que sa formation politique a été créée il y a deux années et "n'est pas assez structurée au niveau national pour mobiliser des électeurs". Il a également indiqué que la fonction de président de la République doit être "sacralisée", déplorant à ce propos le nombre "impressionnant" de candidats à la candidature. Invité à se prononcer sur l'actualité du pays en prévision de la prochaine échéance politique, le président de l'UFDS a estimé que le pays entame un "tournant décisif de son histoire", exhortant à cet effet les différents acteurs à "ne pas s'attaquer aux institutions de l'Etat qu'il faut préserver quelles que soient leurs insuffisances". Il a exprimé le souhait de voir la campagne électorale entamée par un "débat d'idées à même d'intéresser les citoyens et les potentiels électeurs", et non par un "déballage médiatique". "Le Conseil national de l'UFDS, élargi aux élus et cadres du parti, réuni le week-end dernier a décidé de participer à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, refusant l'option du boycott qui profite à une faune d'opportunistes", a indiqué M. Bahbouh qui était l'invité du forum du quotidien national Liberté. "Un consensus s'est dégagé quant à notre participation, ce qui permet au parti d'être présent sur la scène politique, d'expliquer et de défendre ses positions", a ajouté M. Bahbouh. Il a également rappelé que le conseil national de l'UFDS a décidé de "ne pas présenter de candidat, mais de soutenir le candidat libre à la candidature à la présidentielle, Ali Benflis", expliquant que son parti "prendra part à la campagne électorale de Benflis tout en gardant sa ligne de conduite". "Nous avons décidé de soutenir Benflis car son programme se rapproche de nos positions", a encore réitéré M. Bahbouh, estimant par ailleurs que sa formation politique a été créée il y a deux années et "n'est pas assez structurée au niveau national pour mobiliser des électeurs". Il a également indiqué que la fonction de président de la République doit être "sacralisée", déplorant à ce propos le nombre "impressionnant" de candidats à la candidature. Invité à se prononcer sur l'actualité du pays en prévision de la prochaine échéance politique, le président de l'UFDS a estimé que le pays entame un "tournant décisif de son histoire", exhortant à cet effet les différents acteurs à "ne pas s'attaquer aux institutions de l'Etat qu'il faut préserver quelles que soient leurs insuffisances". Il a exprimé le souhait de voir la campagne électorale entamée par un "débat d'idées à même d'intéresser les citoyens et les potentiels électeurs", et non par un "déballage médiatique".