La session extraordinaire du comité central (CC) du FLN n'aura finalement pas lieu. La demande d'autorisation pour la tenue de cette session n'a pas reçu l'aval de la wilaya d'Alger. La session extraordinaire du comité central (CC) du FLN n'aura finalement pas lieu. La demande d'autorisation pour la tenue de cette session n'a pas reçu l'aval de la wilaya d'Alger. Abderahmane Belayat et ses partisans au sein du CC, qui sont à l'origine de cette demande d'autorisation, ont donc été déboutés et ne pourront pas, par voie de conséquence, tenir cette session extraordinaire à l'effet de « débarquer » le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, et d'élire, ainsi, un nouveau secrétaire général. Ce n'est guère une surprise puisque la réponse négative de la wilaya d'Alger à cette demande du groupe de Belayat était très prévisible. Avant-hier en début de soirée, les détracteurs de Amar Saïdani avaient annoncé, à travers un communiqué, que la session extraordinaire du comité central se tiendra les 13 et 14 février à l'hôtel Mazafran de Zeralda. « Après avoir complété l'ensemble des dispositions politiques, organiques, juridiques et organisationnelles permettant la convocation du comité central du parti FLN en session extraordinaire, conformément aux procédures statutaires et réglementaires, notamment l'article 9 du règlement intérieur du comité central issu du 9e congrès, le bureau politique du parti FLN présidé par le frère A. Belayat en sa qualité de coordonnateur, de concert avec les membres du comité central, a décidé de convoquer la session extraordinaire du comité central le jeudi 13 et vendredi 14 février 2014 a l'hôtel Mazafran de Zéralda en vue de pourvoir au poste de SG du parti resté vacant depuis le 29 janvier 2013 », note le communiqué signé par Kassa Aissi. Belayat et ses amis du comité central ne s'avouent pas vaincus. Ils ne seraient pas, en effet, satisfaits de la réponse négative de la wilaya d'Alger, qui leur a été notifiée verbalement. Ils veulent, en somme, que la réponse leur soit notifiée par écrit. Belayat a déclaré dans l'après-midi d'hier que « les membres du comité central sont sur place et attendent la réponse de la wilaya d'Alger ». Les opposants de Amar Saïdani ont clamé, à plusieurs reprises, qu'ils disposent du soutien des 2/3 des membres du comité central et qu'ils peuvent par conséquent, conformément aux statuts du parti, tenir une session de la plus haute instance du FLN. Amar Saïdani et ses partisans ont, par contre, de tout temps nié le soutien des 2/3 du comité central à Belayat. Faisant toujours montre d'une grande sérénité, Amar Saïdani se montre imperturbable. « La justice a déjà validé la session du comité central du 29 août 2013 au cours de laquelle j'ai été élu secrétaire général », a-t-il soutenu à plusieurs reprises comme pour dire que les tentatives de ses détracteurs n'ont aucune chance d'aboutir. Dans la soirée d'avant-hier, il a confié à un journal électronique que Belayat « n'avait pas obtenu l'autorisation et qu'il ne l'obtiendra pas ». Saïd Bouhadja, membre du bureau politique, a confirmé hier que Belayat et son groupe ont été déboutés par la wilaya d'Akger. Amar Saïdani, contesté par Belayat et ses amis, a été élu le 29 août dernier lors d'une session du comité central très controversée. Après moult péripéties le Conseil d'Etat a validé cette session, mais les opposants de Saïdani ont continué la lutte pour le déloger de son poste. Cette guerre de tranchées intervient dans un contexte marqué par les préparatifs de la tenue de l'élection presidentielle du 17 avril. Saïdani soutient le quatrième mandat pour le président Bouteflika et accuse Belayat et ses amis d'être opposés à un nouveau mandat du chef de l'Etat. Abderahmane Belayat et ses partisans au sein du CC, qui sont à l'origine de cette demande d'autorisation, ont donc été déboutés et ne pourront pas, par voie de conséquence, tenir cette session extraordinaire à l'effet de « débarquer » le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, et d'élire, ainsi, un nouveau secrétaire général. Ce n'est guère une surprise puisque la réponse négative de la wilaya d'Alger à cette demande du groupe de Belayat était très prévisible. Avant-hier en début de soirée, les détracteurs de Amar Saïdani avaient annoncé, à travers un communiqué, que la session extraordinaire du comité central se tiendra les 13 et 14 février à l'hôtel Mazafran de Zeralda. « Après avoir complété l'ensemble des dispositions politiques, organiques, juridiques et organisationnelles permettant la convocation du comité central du parti FLN en session extraordinaire, conformément aux procédures statutaires et réglementaires, notamment l'article 9 du règlement intérieur du comité central issu du 9e congrès, le bureau politique du parti FLN présidé par le frère A. Belayat en sa qualité de coordonnateur, de concert avec les membres du comité central, a décidé de convoquer la session extraordinaire du comité central le jeudi 13 et vendredi 14 février 2014 a l'hôtel Mazafran de Zéralda en vue de pourvoir au poste de SG du parti resté vacant depuis le 29 janvier 2013 », note le communiqué signé par Kassa Aissi. Belayat et ses amis du comité central ne s'avouent pas vaincus. Ils ne seraient pas, en effet, satisfaits de la réponse négative de la wilaya d'Alger, qui leur a été notifiée verbalement. Ils veulent, en somme, que la réponse leur soit notifiée par écrit. Belayat a déclaré dans l'après-midi d'hier que « les membres du comité central sont sur place et attendent la réponse de la wilaya d'Alger ». Les opposants de Amar Saïdani ont clamé, à plusieurs reprises, qu'ils disposent du soutien des 2/3 des membres du comité central et qu'ils peuvent par conséquent, conformément aux statuts du parti, tenir une session de la plus haute instance du FLN. Amar Saïdani et ses partisans ont, par contre, de tout temps nié le soutien des 2/3 du comité central à Belayat. Faisant toujours montre d'une grande sérénité, Amar Saïdani se montre imperturbable. « La justice a déjà validé la session du comité central du 29 août 2013 au cours de laquelle j'ai été élu secrétaire général », a-t-il soutenu à plusieurs reprises comme pour dire que les tentatives de ses détracteurs n'ont aucune chance d'aboutir. Dans la soirée d'avant-hier, il a confié à un journal électronique que Belayat « n'avait pas obtenu l'autorisation et qu'il ne l'obtiendra pas ». Saïd Bouhadja, membre du bureau politique, a confirmé hier que Belayat et son groupe ont été déboutés par la wilaya d'Akger. Amar Saïdani, contesté par Belayat et ses amis, a été élu le 29 août dernier lors d'une session du comité central très controversée. Après moult péripéties le Conseil d'Etat a validé cette session, mais les opposants de Saïdani ont continué la lutte pour le déloger de son poste. Cette guerre de tranchées intervient dans un contexte marqué par les préparatifs de la tenue de l'élection presidentielle du 17 avril. Saïdani soutient le quatrième mandat pour le président Bouteflika et accuse Belayat et ses amis d'être opposés à un nouveau mandat du chef de l'Etat.