Un nouveau cluster, ou pôle agricole intégré, destiné à promouvoir l'innovation et la compétitivité des entreprises de l'agroalimentaire, sera créé prochainement en Algérie, a-t-on appris lundi à Alger lors des journées portes ouvertes organisées par l'Institut national de la recherche agronomique d'Algérie (INRAA). Un nouveau cluster, ou pôle agricole intégré, destiné à promouvoir l'innovation et la compétitivité des entreprises de l'agroalimentaire, sera créé prochainement en Algérie, a-t-on appris lundi à Alger lors des journées portes ouvertes organisées par l'Institut national de la recherche agronomique d'Algérie (INRAA). Ce cluster sera constitué d'organismes de recherche dans le domaine agronomique, d'entreprises du secteur agricole et agroalimentaire et d'institutions publiques, a précisé Ali Ferrah, responsable au sein de l'INRAA. L'objectif est de "renforcer le processus d'innovation, améliorer le transfert des connaissances et de stimuler la compétitivité des industries de l'agroalimentaire et de l'eau", a-t-il ajouté. Il s'agit du premier groupement dédié à l'innovation dans l'agroalimentaire en Algérie. Une entité similaire, mais qui regroupe des entreprises opérant dans la filière lait, active déjà dans le wilaya de Sétif, un des plus importants bassins laitiers du pays. Concrètement, le nouveau cluster permettra à l'Algérie d'atteindre des objectifs stratégiques des secteurs-clés comme l'agriculture, l'industrie agroalimentaire et les ressources en eau en jumelant recherche et monde de l'entreprise, selon Ferrah. Le nouveau cluster d'innovation dans l'agroalimentaire s'inscrit dans le cadre du projet Fawira mis en œuvre par l'INRAA et financé par la Commission européenne. Pour Paolo Berni, expert et chercheur à l'université de Pise (Italie), "l'Algérie a des capacités et des ressources humaines lui permettant de développer davantage l'innovation", ajoutant qu'il faut adopter une approche de l'innovation qui soit adaptée à son environnement. "On ne peut pas importer un modèle développé à l'étranger et l'appliquer dans un autre pays. On doit concevoir ce modèle d'innovation en fonction des problèmes de l'Algérie, de ses ressources et des demandes de ses entreprises", a expliqué cet expert chargé de former des jeunes algériens porteurs de projets pour entrer en concurrence dans des appels à projets lancés par l'UE. Pour sa part, Abdelkader Baaziz, chercheur à l'université d'Aix-Marseille (France) a préconisé de développer l'information "utile" puisque, selon lui, "l'information est nécessaire pour développer l'innovation qui est le pilier du développement économique". Ce cluster sera constitué d'organismes de recherche dans le domaine agronomique, d'entreprises du secteur agricole et agroalimentaire et d'institutions publiques, a précisé Ali Ferrah, responsable au sein de l'INRAA. L'objectif est de "renforcer le processus d'innovation, améliorer le transfert des connaissances et de stimuler la compétitivité des industries de l'agroalimentaire et de l'eau", a-t-il ajouté. Il s'agit du premier groupement dédié à l'innovation dans l'agroalimentaire en Algérie. Une entité similaire, mais qui regroupe des entreprises opérant dans la filière lait, active déjà dans le wilaya de Sétif, un des plus importants bassins laitiers du pays. Concrètement, le nouveau cluster permettra à l'Algérie d'atteindre des objectifs stratégiques des secteurs-clés comme l'agriculture, l'industrie agroalimentaire et les ressources en eau en jumelant recherche et monde de l'entreprise, selon Ferrah. Le nouveau cluster d'innovation dans l'agroalimentaire s'inscrit dans le cadre du projet Fawira mis en œuvre par l'INRAA et financé par la Commission européenne. Pour Paolo Berni, expert et chercheur à l'université de Pise (Italie), "l'Algérie a des capacités et des ressources humaines lui permettant de développer davantage l'innovation", ajoutant qu'il faut adopter une approche de l'innovation qui soit adaptée à son environnement. "On ne peut pas importer un modèle développé à l'étranger et l'appliquer dans un autre pays. On doit concevoir ce modèle d'innovation en fonction des problèmes de l'Algérie, de ses ressources et des demandes de ses entreprises", a expliqué cet expert chargé de former des jeunes algériens porteurs de projets pour entrer en concurrence dans des appels à projets lancés par l'UE. Pour sa part, Abdelkader Baaziz, chercheur à l'université d'Aix-Marseille (France) a préconisé de développer l'information "utile" puisque, selon lui, "l'information est nécessaire pour développer l'innovation qui est le pilier du développement économique".