Le Dr Abdelaziz Belaid, président du Front El Moustakbal a déposé, hier, son dossier de candidature à l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Il est la deuxième personnalité politique après le président du FNA à se rendre au siège du Conseil constitutionnel à Alger pour y déposer son dossier de candidature pour sa validation. Le Dr Abdelaziz Belaid, président du Front El Moustakbal a déposé, hier, son dossier de candidature à l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Il est la deuxième personnalité politique après le président du FNA à se rendre au siège du Conseil constitutionnel à Alger pour y déposer son dossier de candidature pour sa validation. Le prétendant au poste de chef de l'Etat algérien a rempli les obligations imposé par l'article 139 de la loi organique du 12 janvier 2012. Il a réussi à obtenir le nombre de signatures obligatoires. Le Dr Abdelaziz devra attendre dix jours pour savoir si sa candidature est validée par le Conseil constitutionnel. Conformément à la loi organique du 1er janvier 2012, le Conseil constitutionnel a dix jours pour se prononcer sur le dossier et procéder à sa validation. Porté par un parti politique naissant, le Front El Moustakbal, le Dr Abdelaziz Belaid avait annoncé, à l'issue du congrès extraordinaire de sa formation politique, tenu le 21 décembre dernier à Alger, sa candidature à la présidentielle du 17 avril prochain. 1.200 congressistes, représentant les 48 wilayas du pays, étaient présents à la salle Atlas. Parmi eux, des représentants de la communauté à l'étranger venus notamment de France, d'Allemagne, du Canada et d'Espagne. A la veille de la rencontre, Abdelaziz Belaïd a assuré que le programme de son parti a été élaboré par 75 experts. Au cours d'une conférence de presse, animée en marge du congrès, Abdelaziz Belaïd avait expliqué : « Je pensais que la question de la candidature sera tranchée après un débat de deux jours (20 et 21 décembre) mais les délégués ont insisté pour qu'elle soit décidée en début des travaux, c'est pourquoi je participerai à cette importante échéance politique ». Le candidat à la présidentielle nourrit de grandes ambitions. Avec un programme respectable, solide et un travail électoral honnête, Abdelaziz Belaïd estime que sa formation politique à de grandes chances lors de cette échéance majeure du pays. Abdelaziz Belaïd avait dit craindre à juste titre la « partialité » de l'administration en faveur d'un candidat et avait appelé à sa « neutralité », affirmant que « chaque Algérien à le droit de se porter candidat ». Selon lui, le Front El-Moustaqbal « ne lie pas les élections à une personne, un parti, un clan ou un lobby ». Un récent sondage publié par notre confrère, El Watan, la fin du mois de décembre dernier fait ressortir que 38,8% d'électeurs souhaitent que Abdelaziz Belaïd se présente à l'élection présidentielle de 2014. 55,9% sont contre sa participation et 5,3% sont sans opinion. L'échantillon représentatif de la population algérienne était de 1.148 personnes. Depuis, il est certain que le nombre d'électeurs qui voteraient pour le chef de file du Front El-Moustakbal a dû sensiblement augmenter. Il est à rappeler que Abdelaziz Belaid, 50 ans, est diplômé en médecine et en droit. Il a eu à présider les destinées de L'Union nationale des étudiants algériens (UNEA). A partir de 1986, il adhère au FLN et devient le plus jeune membre du comité central. Député FLN pour deux mandats (1997 et 2007), il est élu secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA). Il quitte le parti pour fonder le Front El Moustakbal en février 2012. Des postes de responsabilité qu'il a occupé, il a acquis une grande expérience dans l'art de pratiquer la politique. Ils lui permirent aussi de forger « les capacités » de gestion très appréciables. Le prétendant au poste de chef de l'Etat algérien a rempli les obligations imposé par l'article 139 de la loi organique du 12 janvier 2012. Il a réussi à obtenir le nombre de signatures obligatoires. Le Dr Abdelaziz devra attendre dix jours pour savoir si sa candidature est validée par le Conseil constitutionnel. Conformément à la loi organique du 1er janvier 2012, le Conseil constitutionnel a dix jours pour se prononcer sur le dossier et procéder à sa validation. Porté par un parti politique naissant, le Front El Moustakbal, le Dr Abdelaziz Belaid avait annoncé, à l'issue du congrès extraordinaire de sa formation politique, tenu le 21 décembre dernier à Alger, sa candidature à la présidentielle du 17 avril prochain. 1.200 congressistes, représentant les 48 wilayas du pays, étaient présents à la salle Atlas. Parmi eux, des représentants de la communauté à l'étranger venus notamment de France, d'Allemagne, du Canada et d'Espagne. A la veille de la rencontre, Abdelaziz Belaïd a assuré que le programme de son parti a été élaboré par 75 experts. Au cours d'une conférence de presse, animée en marge du congrès, Abdelaziz Belaïd avait expliqué : « Je pensais que la question de la candidature sera tranchée après un débat de deux jours (20 et 21 décembre) mais les délégués ont insisté pour qu'elle soit décidée en début des travaux, c'est pourquoi je participerai à cette importante échéance politique ». Le candidat à la présidentielle nourrit de grandes ambitions. Avec un programme respectable, solide et un travail électoral honnête, Abdelaziz Belaïd estime que sa formation politique à de grandes chances lors de cette échéance majeure du pays. Abdelaziz Belaïd avait dit craindre à juste titre la « partialité » de l'administration en faveur d'un candidat et avait appelé à sa « neutralité », affirmant que « chaque Algérien à le droit de se porter candidat ». Selon lui, le Front El-Moustaqbal « ne lie pas les élections à une personne, un parti, un clan ou un lobby ». Un récent sondage publié par notre confrère, El Watan, la fin du mois de décembre dernier fait ressortir que 38,8% d'électeurs souhaitent que Abdelaziz Belaïd se présente à l'élection présidentielle de 2014. 55,9% sont contre sa participation et 5,3% sont sans opinion. L'échantillon représentatif de la population algérienne était de 1.148 personnes. Depuis, il est certain que le nombre d'électeurs qui voteraient pour le chef de file du Front El-Moustakbal a dû sensiblement augmenter. Il est à rappeler que Abdelaziz Belaid, 50 ans, est diplômé en médecine et en droit. Il a eu à présider les destinées de L'Union nationale des étudiants algériens (UNEA). A partir de 1986, il adhère au FLN et devient le plus jeune membre du comité central. Député FLN pour deux mandats (1997 et 2007), il est élu secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA). Il quitte le parti pour fonder le Front El Moustakbal en février 2012. Des postes de responsabilité qu'il a occupé, il a acquis une grande expérience dans l'art de pratiquer la politique. Ils lui permirent aussi de forger « les capacités » de gestion très appréciables.