Le staff électoral de Bouteflika se met bien en place. Outre les partis politiques TAJ et MPA qui comptent comme principaux soutiens, les autres relais commencent à assurer les collectes de signatures en faveur du Président candidat. Le staff électoral de Bouteflika se met bien en place. Outre les partis politiques TAJ et MPA qui comptent comme principaux soutiens, les autres relais commencent à assurer les collectes de signatures en faveur du Président candidat. D'ores et déjà, près de 2 millions de signatures ont été récoltées selon différentes sources qui rapportent également que d'autres citoyens montrent leur engouement à se prononcer en faveur de la réélection pour un mandat de Bouteflika. Le FLN qui compte comme soutien actif, assure par le biais de Saïd Bouhadja, chargé de la communication que « l'ensemble des formations politiques favorables à la candidature du chef de l'Etat devront conjuguer leurs efforts sous la coupe de la direction de campagne de Abdelaziz Bouteflika pour mener à bien la campagne électorale qui sera lancée officiellement le 23 mars prochain ». Il fait savoir que l'ancien secrétaire général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Ouali, serait désigné directeur de campagne de M. Bouteflika. Une réunion des directeurs de campagne et des responsables des permanences locales a permis d'activer les actions de soutien, a souligné Nabil Yahiaoui du parti TAJ, expliquant que son parti devra agir sur trois fronts : au sein du groupe des partis dits « de fidélité et de stabilité », en concertation avec la direction officielle du candidat, avec laquelle on doit tracer une feuille de route tout au long de la campagne présidentielle. Dans le staff de la campagne, on affûte déjà les armes avec la présence de personnalités distinguées à l'instar de Sellal, Ghoul, Benyounès, Belkhadem, Saadani, Bensalah et Ould Khelifa, Ouyahia et bien d'autres dans le giron des hommes d'affaires et syndicalistes de l'UGTA. Un réseau bien « huilé » où la logistique en moyens humains et financiers est prête à être enclenchée prochainement. Leprésident Bouteflika qui a cultivé le suspense jusqu'à la dernière minute, s'est présenté à une 4e mandature avec d'indéfectibles fidèles parmi les hommes d'Etat et anciennes figures. Ces derniers vont devoir jouer sur tous les fronts pour préparer une campagne qui annonce ses couleurs. Les slogans, meetings et communications seront donc organisés selon l'agenda du programme électoral du Président candidat. Même si ce dernier est en convalescence, ces soutiens parmi les ténors se préparent à mener la tâche. Au niveau des partisans de Bouteflika, les associations comptent également investir le terrain. Celles qui ont montré leur disponibilité vont aller prêcher pour récolter d'autres voix supplémentaires pour le prochain rendez-vous. La même disponibilité est affichée chez le staff électoral pour mener la campagne à l'étranger, là où la présence algérienne se compte en bon nombre. C'est d'ailleurs Amara Benyounès, murmure-t-on, qui sera en charge de cette mission. Il faut dire que l'échéance révèle toute la frénésie du camp de Bouteflika à ne pas baisser les bras face aux autres candidats. La bataille en tous cas s'annonce rude, même si les partisans du Président estiment que le prochain scrutin sera décisif pour l'avenir du pays. D'ores et déjà, près de 2 millions de signatures ont été récoltées selon différentes sources qui rapportent également que d'autres citoyens montrent leur engouement à se prononcer en faveur de la réélection pour un mandat de Bouteflika. Le FLN qui compte comme soutien actif, assure par le biais de Saïd Bouhadja, chargé de la communication que « l'ensemble des formations politiques favorables à la candidature du chef de l'Etat devront conjuguer leurs efforts sous la coupe de la direction de campagne de Abdelaziz Bouteflika pour mener à bien la campagne électorale qui sera lancée officiellement le 23 mars prochain ». Il fait savoir que l'ancien secrétaire général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Ouali, serait désigné directeur de campagne de M. Bouteflika. Une réunion des directeurs de campagne et des responsables des permanences locales a permis d'activer les actions de soutien, a souligné Nabil Yahiaoui du parti TAJ, expliquant que son parti devra agir sur trois fronts : au sein du groupe des partis dits « de fidélité et de stabilité », en concertation avec la direction officielle du candidat, avec laquelle on doit tracer une feuille de route tout au long de la campagne présidentielle. Dans le staff de la campagne, on affûte déjà les armes avec la présence de personnalités distinguées à l'instar de Sellal, Ghoul, Benyounès, Belkhadem, Saadani, Bensalah et Ould Khelifa, Ouyahia et bien d'autres dans le giron des hommes d'affaires et syndicalistes de l'UGTA. Un réseau bien « huilé » où la logistique en moyens humains et financiers est prête à être enclenchée prochainement. Leprésident Bouteflika qui a cultivé le suspense jusqu'à la dernière minute, s'est présenté à une 4e mandature avec d'indéfectibles fidèles parmi les hommes d'Etat et anciennes figures. Ces derniers vont devoir jouer sur tous les fronts pour préparer une campagne qui annonce ses couleurs. Les slogans, meetings et communications seront donc organisés selon l'agenda du programme électoral du Président candidat. Même si ce dernier est en convalescence, ces soutiens parmi les ténors se préparent à mener la tâche. Au niveau des partisans de Bouteflika, les associations comptent également investir le terrain. Celles qui ont montré leur disponibilité vont aller prêcher pour récolter d'autres voix supplémentaires pour le prochain rendez-vous. La même disponibilité est affichée chez le staff électoral pour mener la campagne à l'étranger, là où la présence algérienne se compte en bon nombre. C'est d'ailleurs Amara Benyounès, murmure-t-on, qui sera en charge de cette mission. Il faut dire que l'échéance révèle toute la frénésie du camp de Bouteflika à ne pas baisser les bras face aux autres candidats. La bataille en tous cas s'annonce rude, même si les partisans du Président estiment que le prochain scrutin sera décisif pour l'avenir du pays.