Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, devrait quitter son poste de Premier ministre aujourd'hui. Il est pressenti pour diriger la campagne électorale du Président sortant, Abdelaziz Bouteflika. Une mission qu'il a eu à mener avec succès lors de deux dernières présidentielles en 2004 et 2009 où le chef de l'Etat a remporté haut la main le suffrage populaire avec une large majorité. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, devrait quitter son poste de Premier ministre aujourd'hui. Il est pressenti pour diriger la campagne électorale du Président sortant, Abdelaziz Bouteflika. Une mission qu'il a eu à mener avec succès lors de deux dernières présidentielles en 2004 et 2009 où le chef de l'Etat a remporté haut la main le suffrage populaire avec une large majorité. Il devra passer la main au ministre de l'Energie, Youcef Yousfi pour diriger pour une période transitoire le gouvernement. Homme doté d'une grande expérience politique, Abdelmalek Sellal a exercé de hautes fonctions locales et occupé plusieurs postes ministériels. Il a occupé la « scène » de la politique nationale depuis sa nomination, le 3 septembre 2012 au poste de Premier ministre. Abdelmalek Sellal est aujourd'hui sur tous les fronts. Il a sillonné tout le pays de long en large. Il s'est rendu en visite de travail et d'inspection dans les 48 wilayas du territoire national, distribuant des enveloppes financières conséquentes à chacune des wilayas pour booster leur développement économique et social. Il représente le chef de l'Etat aux rencontres internationales, aux sommets des chefs d'Etat et de gouvernement. Il reçoit les responsables étrangers, préside les réunions interministérielles, bref il fait fonction de chef d'Etat par intérim. Il a remplacé au pied levé le président de la République qui continue sa convalescence et qui risque de durer encore pour un bon moment. Une mission qu'il a rempli avec panache au vu du contexte politique national et international très perturbé, et un voisinage immédiat explosif. A telle enseigne que le Premier ministre est devenu pour de pans entiers de la population le chef de l'Etat de fait. Les rumeurs et les supputations colportées dans les médias et sur les réseaux sociaux ont fait de lui un candidat du « consensus » à l'élection présidentielle et successeur d'Abdelaziz Bouteflika. Ces rumeurs se sont confortées, après l'hospitalisation du chef de l'Etat au Val-de-Grâce suite à son AVC survenu le 27 avril 2013 et la convalescence aux Invalides avant son retour à Alger et avant qu'il n'annonce lui même à partir d'Oran la candidature du président de la République à un quatrième mandat. Ce qui a coupé court définitivement aux supputations de certains cercles et à une large frange l'opinion publique qui a adopté son style de gouvernance et qui souhaitait le voir comme locataire du palais d'El-Mouradia. Abdelmalek Sellal préside depuis le 20 janvier, la commission nationale chargée de la préparation et de l'organisation du scrutin du 17 avril. Une mission qui serait achevée au moment où débutera la campagne électorale. Abdelmalek Sellal devrait s'entourer pour mener cette nouvelle charge, d'hommes aussi chevronnés que lui. Il s'agit de Ahmed Ouyahia, ex-Premier ministre et ex-secrétaire général du Rassemblement national démocratique et présentement en « retraite » politique ou si l'on s'en tient aux us et coutumes du système politique algérien « en réserve de la République ». L'autre personnalité n'est autre que Abdelaziz Belkhadem, lui aussi, un ex-patron du vieux parti le FLN et aussi un ex -chef du gouvernement, en retraite politique lui aussi et en réserve de la République. Deux personnalités qui ont à un certain moment cru que l'heure de la rencontre avec un destin national avait sonné pour eux avant de remettre les pieds sur terre en perdant et le poste ministériel et la direction du parti qu'ils dirigeaient. C'est donc le retour des « vieux routiers » de la politique auxquels est confiée la mission d'assister le directeur de la campagne du candidat Bouteflika. Une lourde tâche pour ces hommes rompus aux rouages de la politique. Le contexte dans lequel se tient l'élection présidentielle n'est plus le même qu'en 1999, 2004 et 2009. Le trio devra sortir des trésors d'ingéniosité pour convaincre les Algériens de voter massivement et de faire le bon choix. Ils devront surtout convaincre les citoyens électeurs que le chef de l'Etat sortant est en possession de tous ses moyens, physiques et intellectuels, pour gérer encore pour une quatrième mandature le pays. Ils devront également mettre en échec les partisans du boycott qui ne baissent pas les bras, malgré les entraves et les intimidations dont ils font l'objet. Ils auront aussi à convaincre la communauté internationale de la régularité et la transparence du scrutin populaire du 17 avril prochain. C'est dans les cordes de Abdelmalek Sellal et de son staff électoral. Le directeur de campagne de Bouteflika jouit d'un préjugé favorable aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. Il devra passer la main au ministre de l'Energie, Youcef Yousfi pour diriger pour une période transitoire le gouvernement. Homme doté d'une grande expérience politique, Abdelmalek Sellal a exercé de hautes fonctions locales et occupé plusieurs postes ministériels. Il a occupé la « scène » de la politique nationale depuis sa nomination, le 3 septembre 2012 au poste de Premier ministre. Abdelmalek Sellal est aujourd'hui sur tous les fronts. Il a sillonné tout le pays de long en large. Il s'est rendu en visite de travail et d'inspection dans les 48 wilayas du territoire national, distribuant des enveloppes financières conséquentes à chacune des wilayas pour booster leur développement économique et social. Il représente le chef de l'Etat aux rencontres internationales, aux sommets des chefs d'Etat et de gouvernement. Il reçoit les responsables étrangers, préside les réunions interministérielles, bref il fait fonction de chef d'Etat par intérim. Il a remplacé au pied levé le président de la République qui continue sa convalescence et qui risque de durer encore pour un bon moment. Une mission qu'il a rempli avec panache au vu du contexte politique national et international très perturbé, et un voisinage immédiat explosif. A telle enseigne que le Premier ministre est devenu pour de pans entiers de la population le chef de l'Etat de fait. Les rumeurs et les supputations colportées dans les médias et sur les réseaux sociaux ont fait de lui un candidat du « consensus » à l'élection présidentielle et successeur d'Abdelaziz Bouteflika. Ces rumeurs se sont confortées, après l'hospitalisation du chef de l'Etat au Val-de-Grâce suite à son AVC survenu le 27 avril 2013 et la convalescence aux Invalides avant son retour à Alger et avant qu'il n'annonce lui même à partir d'Oran la candidature du président de la République à un quatrième mandat. Ce qui a coupé court définitivement aux supputations de certains cercles et à une large frange l'opinion publique qui a adopté son style de gouvernance et qui souhaitait le voir comme locataire du palais d'El-Mouradia. Abdelmalek Sellal préside depuis le 20 janvier, la commission nationale chargée de la préparation et de l'organisation du scrutin du 17 avril. Une mission qui serait achevée au moment où débutera la campagne électorale. Abdelmalek Sellal devrait s'entourer pour mener cette nouvelle charge, d'hommes aussi chevronnés que lui. Il s'agit de Ahmed Ouyahia, ex-Premier ministre et ex-secrétaire général du Rassemblement national démocratique et présentement en « retraite » politique ou si l'on s'en tient aux us et coutumes du système politique algérien « en réserve de la République ». L'autre personnalité n'est autre que Abdelaziz Belkhadem, lui aussi, un ex-patron du vieux parti le FLN et aussi un ex -chef du gouvernement, en retraite politique lui aussi et en réserve de la République. Deux personnalités qui ont à un certain moment cru que l'heure de la rencontre avec un destin national avait sonné pour eux avant de remettre les pieds sur terre en perdant et le poste ministériel et la direction du parti qu'ils dirigeaient. C'est donc le retour des « vieux routiers » de la politique auxquels est confiée la mission d'assister le directeur de la campagne du candidat Bouteflika. Une lourde tâche pour ces hommes rompus aux rouages de la politique. Le contexte dans lequel se tient l'élection présidentielle n'est plus le même qu'en 1999, 2004 et 2009. Le trio devra sortir des trésors d'ingéniosité pour convaincre les Algériens de voter massivement et de faire le bon choix. Ils devront surtout convaincre les citoyens électeurs que le chef de l'Etat sortant est en possession de tous ses moyens, physiques et intellectuels, pour gérer encore pour une quatrième mandature le pays. Ils devront également mettre en échec les partisans du boycott qui ne baissent pas les bras, malgré les entraves et les intimidations dont ils font l'objet. Ils auront aussi à convaincre la communauté internationale de la régularité et la transparence du scrutin populaire du 17 avril prochain. C'est dans les cordes de Abdelmalek Sellal et de son staff électoral. Le directeur de campagne de Bouteflika jouit d'un préjugé favorable aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays.