"Solde", "Promotions", "Remises", "Rabais", autant d'affiches, désignant des baisses de prix des marchandises, collées sur les devantures des vitrines des magasins pour annoncer des réclames alléchantes pour attirer les consommateurs sur des produits auparavant inabordables. "Solde", "Promotions", "Remises", "Rabais", autant d'affiches, désignant des baisses de prix des marchandises, collées sur les devantures des vitrines des magasins pour annoncer des réclames alléchantes pour attirer les consommateurs sur des produits auparavant inabordables. A la différence des expressions les désignant, ces ventes obéissent à une règlementation bien définie. Pour autant, beaucoup de commerçants ne respectent pas la réglementation en vigueur, alors que d'autres en ignorent même l'existence. A la rue Larbi Ben M'hidi, à Didouche Mourad ou à Hassiba Ben Bouali, la majorité des vitrines des magasins d'Alger-Centre affichent ces derniers jours des réductions de prix pour différents articles, particulièrement l'habillement et la bonneterie allant de 20% à 50%,voire même dans certains cas les 80%. Toutefois, les soldes en Algérie semblent échapper à toute logique en dépit de la règlementation régissant cette pratique commerciale, estime un cadre à la direction du commerce de la wilaya d'Alger. Les périodes des soldes sont en fait fixées par une directive de la direction du commerce, qui les limitent entre le 18 janvier et le 28 février de chaque année. Ainsi, la période des soldes de la saison hivernale pour l'année 2014 a déjà pris fin, mais dans les rues d'Alger, plusieurs magasins affichent toujours des réductions des prix en maintenant les soldes, en infraction au décret exécutif n°06-215 de 2006, qui insiste sur la nécessité de respecter la période fixée pour les soldes. Les clients quant à eux n'ont aucune idée sur le début ou la fin de la période des soldes. Pour autant, ils sont sûrs d'une chose : ils auront les moyens lors de cette période, de faire leurs emplettes et à des prix bas. Il y a des magasins qui mettent en évidence sur leur devanture des affiches de soldes et de réductions, et une fois dans le magasin, le client découvre à sa grande surprise que les réductions ne concernent pas les produits qui l'intéressent, Bouzrara Abdelkrim, chef du bureau de contrôle des activités commerciales à la direction du commerce de la wilaya d'Alger, a indiqué que "les soldes exigent certaines conditions" connues préalablement par les commerçants, notamment l'annonce des dates et l'affichage des prix initiaux et des réductions sur la vitrine du magasin rapporte l'APS. Cette pratique commerciale est régie par la loi, a-t-il dit, soulignant que le commerçant ''n'a pas le droit d'annoncer les soldes sans une autorisation préalable des services de la direction du commerce''. Pour cette saison hivernale 2014, 333 autorisations ont été octroyées, en attendant les autorisations pour les soldes d'été, a-t-il précisé, rappelant que 380 autorisations ont été accordées en 2013. A la différence des expressions les désignant, ces ventes obéissent à une règlementation bien définie. Pour autant, beaucoup de commerçants ne respectent pas la réglementation en vigueur, alors que d'autres en ignorent même l'existence. A la rue Larbi Ben M'hidi, à Didouche Mourad ou à Hassiba Ben Bouali, la majorité des vitrines des magasins d'Alger-Centre affichent ces derniers jours des réductions de prix pour différents articles, particulièrement l'habillement et la bonneterie allant de 20% à 50%,voire même dans certains cas les 80%. Toutefois, les soldes en Algérie semblent échapper à toute logique en dépit de la règlementation régissant cette pratique commerciale, estime un cadre à la direction du commerce de la wilaya d'Alger. Les périodes des soldes sont en fait fixées par une directive de la direction du commerce, qui les limitent entre le 18 janvier et le 28 février de chaque année. Ainsi, la période des soldes de la saison hivernale pour l'année 2014 a déjà pris fin, mais dans les rues d'Alger, plusieurs magasins affichent toujours des réductions des prix en maintenant les soldes, en infraction au décret exécutif n°06-215 de 2006, qui insiste sur la nécessité de respecter la période fixée pour les soldes. Les clients quant à eux n'ont aucune idée sur le début ou la fin de la période des soldes. Pour autant, ils sont sûrs d'une chose : ils auront les moyens lors de cette période, de faire leurs emplettes et à des prix bas. Il y a des magasins qui mettent en évidence sur leur devanture des affiches de soldes et de réductions, et une fois dans le magasin, le client découvre à sa grande surprise que les réductions ne concernent pas les produits qui l'intéressent, Bouzrara Abdelkrim, chef du bureau de contrôle des activités commerciales à la direction du commerce de la wilaya d'Alger, a indiqué que "les soldes exigent certaines conditions" connues préalablement par les commerçants, notamment l'annonce des dates et l'affichage des prix initiaux et des réductions sur la vitrine du magasin rapporte l'APS. Cette pratique commerciale est régie par la loi, a-t-il dit, soulignant que le commerçant ''n'a pas le droit d'annoncer les soldes sans une autorisation préalable des services de la direction du commerce''. Pour cette saison hivernale 2014, 333 autorisations ont été octroyées, en attendant les autorisations pour les soldes d'été, a-t-il précisé, rappelant que 380 autorisations ont été accordées en 2013.