De nouveau, Ghardaïa succombe aux démons du chaos. Un premier bilan : 3 morts et plus d'un centaine de blessés ont été dénombrés, samedi. Le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi est envoyé sur place en pompier pour circonscrire l'incendie. Un feu qui a surpris le centre opérationnel de sécurité mis en place lors des évènements de janvier dernier. De nouveau, Ghardaïa succombe aux démons du chaos. Un premier bilan : 3 morts et plus d'un centaine de blessés ont été dénombrés, samedi. Le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi est envoyé sur place en pompier pour circonscrire l'incendie. Un feu qui a surpris le centre opérationnel de sécurité mis en place lors des évènements de janvier dernier. Le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi, est arrivé dans la nuit de samedi à dimanche à Ghardaïa, au lendemain de violents affrontements intercommunautaires qui ont causés la mort de trois personnes. Youcef Yousfi est accompagné du ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaiz, et du patron de la Gendarmerie nationale, Ahmed Boustila ainsi qu'un représentant de la DGSN en l'absence du patron de la police nationale. Le Premier ministre a rencontré les parents des trois personnes tuées, alors qu'un groupe de personnes appartenant à la communauté arabe tenait, un rassemblement devant le siège de la wilaya où se trouve le Premier ministre en compagnie des parents des trois victimes. 3 morts, plus d'une centaine de blessés, une trentaine d'éléments des forces de sécurité également blessés, des affrontements sans discontinués, entre les jeunes Mozabites et Arabes, les démons de la fitna se sont de nouveau réveillés à Ghardaïa depuis mardi dernier. La ville multicentaire est en proie au chaos. Une dégradation brutale de la situation et une escalade dangereuse de violence intercommunautaire dont l'origine est pour l'instant inconnue. Les trois victimes, âgées d'une trentaine d'années, ont été atteintes par des objets ferreux contondants, selon les services de santé de la wilaya. Deux ont succombé sur les lieux des échauffourées entre groupes de jeunes près du quartier de Hadj Messaoud tandis que la troisième victime a succombé à ses blessures à l'hôpital Trichine de Ghardaïa, selon une source, citée par l'APS. Un blessé, touché également dans ces heurts en début de soirée, est actuellement dans un état critique et admis dans le bloc opératoire où son pronostic vital est engagé, selon la même source. Au total, huit personnes ont trouvé la mort dans ces affrontements intercommunautaires depuis leur éclatement en novembre dernier. Les heurts violents entre les communautés deviennent récurrents dans la ville mozabite. De nouveau des morts et des blessés sont à déplorer. Des affrontements sans discontinuer, entre les jeunes Mozabites et Arabes durent depuis 5 jours. Au total, huit personnes ont trouvé la mort dans ces affrontements intercommunautaires depuis leur éclatement en novembre dernier. Les forces de sécurité présentes sur place ont eu du mal à rétablir l'ordre. Hier, en début d'après-midi un calme relatif régnait dans la ville. Depuis un mois, la ville vivait dans un calme retrouvé. Les autorités ont allégé le dispositif sécuritaire mis en place pour séparer les communautés. Les dernières violences avaient eu lieu entre décembre et janvier et fait au moins quatre morts parmi les Mozabites, et plus de 200 blessés. Le déplacement du Premier ministre de l'époque, Abdelmalek Sellal à la fin de l'année dernière et les mesures qu'il a annoncées en faveur des habitants de Ghardaïa ont calmé un peu les esprits. En outre, un imposant dispositif sécuritaire, estimé à plus de six mille agents des forces de l'ordre, selon la wilaya, a été déployé dans les différents quartiers, rues et points névralgiques de la vallée du M'zab qui compte quatre communes. Un renforcement du dispositif de sécurité a été mis en place pour sécuriser les citoyens et leurs biens, a indiqué le wali de Ghardaia. Pas moins de 28 unités d'intervention rapide de la sûreté (URS), 18 escadrons de la Gendarmerie et trois brigades mobiles, ont été acheminés pour renforcer le dispositif sécuritaire et intensifier le contrôle de toute activité suspecte à Ghardaïa, conformément aux directives du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz, annoncées jeudi dernier à Ghardaïa. Suite à ces violents incidents, un centre opérationnel de sécurité chargé de la gestion de la situation découlant des événements de Ghardaïa a été installé au siège de la wilaya. Cogéré par un responsable de la Gendarmerie et de la Sûreté nationales, ce centre constitue un poste de commandement qui permet de coordonner le déploiement sur le terrain des éléments de la Gendarmerie et de la Sûreté, dans le but de maîtriser toute tension et éventuellement déclencher l'intervention rapide en cas d'échauffourées, a souligné un responsable sécuritaire lors de la cérémonie d'installation. Qu'est ce qui a « coincé » dans le mécanisme pour que les affrontements reprennent à Ghardaïa ? Défaut de renseignement ou d'anticipation du commandement ? La question reste posée. Il est sans doute venu le temps de passer à une autre gestion de ce conflit intercommunautaire. Les mesures sécuritaires et à caractère sociale prises par le gouvernement au lendemain des derniers évènements ont montré leurs limites. Le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi, est arrivé dans la nuit de samedi à dimanche à Ghardaïa, au lendemain de violents affrontements intercommunautaires qui ont causés la mort de trois personnes. Youcef Yousfi est accompagné du ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaiz, et du patron de la Gendarmerie nationale, Ahmed Boustila ainsi qu'un représentant de la DGSN en l'absence du patron de la police nationale. Le Premier ministre a rencontré les parents des trois personnes tuées, alors qu'un groupe de personnes appartenant à la communauté arabe tenait, un rassemblement devant le siège de la wilaya où se trouve le Premier ministre en compagnie des parents des trois victimes. 3 morts, plus d'une centaine de blessés, une trentaine d'éléments des forces de sécurité également blessés, des affrontements sans discontinués, entre les jeunes Mozabites et Arabes, les démons de la fitna se sont de nouveau réveillés à Ghardaïa depuis mardi dernier. La ville multicentaire est en proie au chaos. Une dégradation brutale de la situation et une escalade dangereuse de violence intercommunautaire dont l'origine est pour l'instant inconnue. Les trois victimes, âgées d'une trentaine d'années, ont été atteintes par des objets ferreux contondants, selon les services de santé de la wilaya. Deux ont succombé sur les lieux des échauffourées entre groupes de jeunes près du quartier de Hadj Messaoud tandis que la troisième victime a succombé à ses blessures à l'hôpital Trichine de Ghardaïa, selon une source, citée par l'APS. Un blessé, touché également dans ces heurts en début de soirée, est actuellement dans un état critique et admis dans le bloc opératoire où son pronostic vital est engagé, selon la même source. Au total, huit personnes ont trouvé la mort dans ces affrontements intercommunautaires depuis leur éclatement en novembre dernier. Les heurts violents entre les communautés deviennent récurrents dans la ville mozabite. De nouveau des morts et des blessés sont à déplorer. Des affrontements sans discontinuer, entre les jeunes Mozabites et Arabes durent depuis 5 jours. Au total, huit personnes ont trouvé la mort dans ces affrontements intercommunautaires depuis leur éclatement en novembre dernier. Les forces de sécurité présentes sur place ont eu du mal à rétablir l'ordre. Hier, en début d'après-midi un calme relatif régnait dans la ville. Depuis un mois, la ville vivait dans un calme retrouvé. Les autorités ont allégé le dispositif sécuritaire mis en place pour séparer les communautés. Les dernières violences avaient eu lieu entre décembre et janvier et fait au moins quatre morts parmi les Mozabites, et plus de 200 blessés. Le déplacement du Premier ministre de l'époque, Abdelmalek Sellal à la fin de l'année dernière et les mesures qu'il a annoncées en faveur des habitants de Ghardaïa ont calmé un peu les esprits. En outre, un imposant dispositif sécuritaire, estimé à plus de six mille agents des forces de l'ordre, selon la wilaya, a été déployé dans les différents quartiers, rues et points névralgiques de la vallée du M'zab qui compte quatre communes. Un renforcement du dispositif de sécurité a été mis en place pour sécuriser les citoyens et leurs biens, a indiqué le wali de Ghardaia. Pas moins de 28 unités d'intervention rapide de la sûreté (URS), 18 escadrons de la Gendarmerie et trois brigades mobiles, ont été acheminés pour renforcer le dispositif sécuritaire et intensifier le contrôle de toute activité suspecte à Ghardaïa, conformément aux directives du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz, annoncées jeudi dernier à Ghardaïa. Suite à ces violents incidents, un centre opérationnel de sécurité chargé de la gestion de la situation découlant des événements de Ghardaïa a été installé au siège de la wilaya. Cogéré par un responsable de la Gendarmerie et de la Sûreté nationales, ce centre constitue un poste de commandement qui permet de coordonner le déploiement sur le terrain des éléments de la Gendarmerie et de la Sûreté, dans le but de maîtriser toute tension et éventuellement déclencher l'intervention rapide en cas d'échauffourées, a souligné un responsable sécuritaire lors de la cérémonie d'installation. Qu'est ce qui a « coincé » dans le mécanisme pour que les affrontements reprennent à Ghardaïa ? Défaut de renseignement ou d'anticipation du commandement ? La question reste posée. Il est sans doute venu le temps de passer à une autre gestion de ce conflit intercommunautaire. Les mesures sécuritaires et à caractère sociale prises par le gouvernement au lendemain des derniers évènements ont montré leurs limites.