Les candidats à l'élection présidentielle du 17 avril prochain commencent à dévoiler leur programme électoral. Dans son programme, l'outsider, Ali Benflis, promet de «corriger» beaucoup d'anomalies, notamment sur les plans politique et économique. Les grands axes de son travail sur lesquels il s'engage. Les candidats à l'élection présidentielle du 17 avril prochain commencent à dévoiler leur programme électoral. Dans son programme, l'outsider, Ali Benflis, promet de «corriger» beaucoup d'anomalies, notamment sur les plans politique et économique. Les grands axes de son travail sur lesquels il s'engage. Le candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, Ali Benflis a dévoilé son programme électoral. Un programme détaillé dans ses volets politique, économique et social. Sur le plan politique Ali Benflis s‘engage à revenir dispositif constitutionnel de 1996 qui limitait le mandat présidentiel à deux quinquennats. Il fera donc réviser la Constitution de 2008 qui a fait sauter le verrou de la limitation du mandat présidentiel à deux mandats de cinq ans. Le candidat s‘engage également à discourir annuellement devant le Parlement sur l‘état de Nation et aussi à corriger une «anomalie» qui eu cours jusqu‘à maintenant qui consistait à choisir un chef de gouvernement qui n‘était pas forcément du parti majoritaire au Parlement. Le programme électoral d‘Ali Benflis ambitionne de faire jouer au Parlement son « rôle » de contrôle des missions du gouvernement et à renforcer toutes les libertés, syndicales et d‘associations ou individuelles. Pour cela la révision des procédures de création d‘associations, la simplification des procédures d‘agrément des ONG et des syndicats est inscrite en bonne place sur l‘agenda du candidat. Il s‘engage en outre à initier des mesures pour garantir la liberté de la presse et l‘ouverture de l‘audiovisuel. Un nouveau découpage administratif pour la décentralisation de l‘Etat est évoqué. De nouvelles entités administratives, wilayas et communes seront créées, outre l‘élargissement des prérogatives des élus et la décentralisation budgétaire. Sur le plan économique, Ali Benflis inscrit dans son programme de « sauter » le verrou introduit dans la loi de finances 2009, la règle des 49/51% ayant trait au plafond du taux de participation des investisseurs étrangers au capital des entreprises en activité ou à créer. Ne seront, toutefois, pas concernés par cette mesure, les secteurs stratégiques de l‘économie nationales. Hormis ces cas, tous les autres secteurs seront «libres» à l‘investissement étranger quel que soit le taux de participation au capital. Haro sur la bureaucratie économique Le programme tend aussi à corriger une « anomalie » qui « ligote » les nationaux détenteurs de capitaux pour l‘achat d‘actifs à l‘étranger. Une opportunité pour l‘Etat algérien et les opérateurs économiques nationaux qui ont raté des «belles affaires» dans une Europe en proie à une crise financière aigue et où les unités de production en cessation d‘activité sont bradées. Pour rendre effectif sa promesse, Ali Benflis prévoit la réforme du règlement de la Banque d‘Algérie régissant la circulation des capitaux « afin de permettre, dans un cadre défini et des critères clairs et transparents », les prises de participation d‘entreprises algériennes dans des entreprises étrangères. Il est indiqué que les personnes morales de droit algérien seront autorisées à investir dans des entreprises étrangères dans les pays avec lesquels l‘Algérie aura signé une convention fiscale et les pays jouissant de normes de transparence fiscale et bancaire permettant une traçabilité des investissements. En matière de création d‘entreprises, le programme de Ali Benflis promet d‘ «assouplir» les lourdeurs bureaucratiques qui freinent des deux fers l‘acte d‘investir dans la création d‘entreprise. Réduction des délais de traitement et d‘obtention des autorisations requises sont inscrit sur ce registre avec une ambition de faire de l‘Algérie un des pays le plus attractif du bassin méditerranéen et parmi les 50 pays les plus attractifs dans le monde en termes de climat des affaires. Ali Benflis s‘engage par ailleurs à assurer la dépénalisation effective de l‘acte de gestion dont le gouvernement Sellal a promis de traduire sur le terrain pour protéger les cadres gestionnaires des entreprises notamment publiques, souvent victimes de certains abus judiciaires. Sur un autre chapitre, du côté bancaire, le programme du candidat Benflis veut faire « bouger » les choses et réviser certaines pratiques. Il veut encourager l‘introduction en bourse d‘une partie du capital des banques et entreprises, afin « d‘augmenter la transparence, de renforcer et de redynamiser la bourse d‘Alger ». On retiendra aussi du programme électoral de Benflis, un développement de la finance islamique à la faveur de la révision de la loi sur la monnaie et le crédit. Les entreprises devrait bénéficier d‘allègements de la pression fiscale, notamment la révision du taux de la taxe sur l‘activité professionnelle (TAP) et enfin pour boucler la boucle, le candidat Benflis envisage de revenir aux fondamentaux économiques par l‘élaboration de la loi de finances sur la base du prix du baril de pétrole proche du marché à l‘international. Le candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, Ali Benflis a dévoilé son programme électoral. Un programme détaillé dans ses volets politique, économique et social. Sur le plan politique Ali Benflis s‘engage à revenir dispositif constitutionnel de 1996 qui limitait le mandat présidentiel à deux quinquennats. Il fera donc réviser la Constitution de 2008 qui a fait sauter le verrou de la limitation du mandat présidentiel à deux mandats de cinq ans. Le candidat s‘engage également à discourir annuellement devant le Parlement sur l‘état de Nation et aussi à corriger une «anomalie» qui eu cours jusqu‘à maintenant qui consistait à choisir un chef de gouvernement qui n‘était pas forcément du parti majoritaire au Parlement. Le programme électoral d‘Ali Benflis ambitionne de faire jouer au Parlement son « rôle » de contrôle des missions du gouvernement et à renforcer toutes les libertés, syndicales et d‘associations ou individuelles. Pour cela la révision des procédures de création d‘associations, la simplification des procédures d‘agrément des ONG et des syndicats est inscrite en bonne place sur l‘agenda du candidat. Il s‘engage en outre à initier des mesures pour garantir la liberté de la presse et l‘ouverture de l‘audiovisuel. Un nouveau découpage administratif pour la décentralisation de l‘Etat est évoqué. De nouvelles entités administratives, wilayas et communes seront créées, outre l‘élargissement des prérogatives des élus et la décentralisation budgétaire. Sur le plan économique, Ali Benflis inscrit dans son programme de « sauter » le verrou introduit dans la loi de finances 2009, la règle des 49/51% ayant trait au plafond du taux de participation des investisseurs étrangers au capital des entreprises en activité ou à créer. Ne seront, toutefois, pas concernés par cette mesure, les secteurs stratégiques de l‘économie nationales. Hormis ces cas, tous les autres secteurs seront «libres» à l‘investissement étranger quel que soit le taux de participation au capital. Haro sur la bureaucratie économique Le programme tend aussi à corriger une « anomalie » qui « ligote » les nationaux détenteurs de capitaux pour l‘achat d‘actifs à l‘étranger. Une opportunité pour l‘Etat algérien et les opérateurs économiques nationaux qui ont raté des «belles affaires» dans une Europe en proie à une crise financière aigue et où les unités de production en cessation d‘activité sont bradées. Pour rendre effectif sa promesse, Ali Benflis prévoit la réforme du règlement de la Banque d‘Algérie régissant la circulation des capitaux « afin de permettre, dans un cadre défini et des critères clairs et transparents », les prises de participation d‘entreprises algériennes dans des entreprises étrangères. Il est indiqué que les personnes morales de droit algérien seront autorisées à investir dans des entreprises étrangères dans les pays avec lesquels l‘Algérie aura signé une convention fiscale et les pays jouissant de normes de transparence fiscale et bancaire permettant une traçabilité des investissements. En matière de création d‘entreprises, le programme de Ali Benflis promet d‘ «assouplir» les lourdeurs bureaucratiques qui freinent des deux fers l‘acte d‘investir dans la création d‘entreprise. Réduction des délais de traitement et d‘obtention des autorisations requises sont inscrit sur ce registre avec une ambition de faire de l‘Algérie un des pays le plus attractif du bassin méditerranéen et parmi les 50 pays les plus attractifs dans le monde en termes de climat des affaires. Ali Benflis s‘engage par ailleurs à assurer la dépénalisation effective de l‘acte de gestion dont le gouvernement Sellal a promis de traduire sur le terrain pour protéger les cadres gestionnaires des entreprises notamment publiques, souvent victimes de certains abus judiciaires. Sur un autre chapitre, du côté bancaire, le programme du candidat Benflis veut faire « bouger » les choses et réviser certaines pratiques. Il veut encourager l‘introduction en bourse d‘une partie du capital des banques et entreprises, afin « d‘augmenter la transparence, de renforcer et de redynamiser la bourse d‘Alger ». On retiendra aussi du programme électoral de Benflis, un développement de la finance islamique à la faveur de la révision de la loi sur la monnaie et le crédit. Les entreprises devrait bénéficier d‘allègements de la pression fiscale, notamment la révision du taux de la taxe sur l‘activité professionnelle (TAP) et enfin pour boucler la boucle, le candidat Benflis envisage de revenir aux fondamentaux économiques par l‘élaboration de la loi de finances sur la base du prix du baril de pétrole proche du marché à l‘international.