Le meeting de Amar Ghoul et Amara Benyounès en faveur du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika, organisé jeudi dernier , à la maison de jeunes Saïd- Sennani de Boumerdès, a été perturbé, durant plusieurs minutes, par des opposants au 4e mandat. Le meeting de Amar Ghoul et Amara Benyounès en faveur du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika, organisé jeudi dernier , à la maison de jeunes Saïd- Sennani de Boumerdès, a été perturbé, durant plusieurs minutes, par des opposants au 4e mandat. En effet des dizaines de jeunes et de moins jeunes ont scandé, juste après l'Hymne national, des slogans anti -pouvoir et anti-4e mandat du président-candidat : « Non à un 4e mandat », « La jeunesse en a marre de vous, nous ne voulons pas de vous, partez ! ». Un climat de tension a régné dans la salle de spectacle de la maison de jeunes qui s'est avérée trop exiguë pour contenir les partisans du président-candidat, dépêchés de partout par bus. La situation a failli dégénérer et une confrontation a été évitée de justesse entre les partisans et les opposants à un 4e mandat. On a appris que pas moins de quatre jeunes « perturbateurs » ont été arrêtés par les services de sécurité et relâchés peu de temps après la fin du meeting. Lors de leur première sortie depuis le début de la campagne électorale, dimanche dernier, les meetings des deux ministres en question ont été chahutés et perturbés par des opposants au quatrième mandat notamment à Sour El-Ghouzlane dans la wilaya de Bouira où Amar Ghoul et Amara Benyounès ont prononcé des discours ne dépassant même pas une dizaine de minutes. Dans un premier temps, la direction de campagne de Abdelaziz Bouteflika avait programmé deux meetings à Boumerdès dont l'un à Khemis El- Khechna et l'autre à Bordj Ménaïel, mais ils ont fini par être annulés pour des raisons inexpliquées. Certains pensent qu'ils ont été annulés en raison des actions de protestations enclenchées ces derniers jours dans plusieurs localités de la wilaya. Ceci dit et malgré cette perturbation, les deux orateurs ont prononcé des discours axés principalement sur les réalisations du président-candidat durant ses trois mandats passés, notamment en matière de restauration de la paix et de la réconciliation nationale. Ils ont profité de l'occasion pour tirer à boulets rouges sur les boycotteurs qui, selon eux, « mènent l'Algérie bers le chaos et à revivre les années de braise » avant de s'attaquer au mouvement Barakat qui selon Benyounès, « n'arrive pas à rassembler a foule autour de lui ». Ils n'ont pas manqué de rappeler le contexte régional où plusieurs pays voisins, notamment la Lybie ou encore la Syrie, qui sont secoués par des déchirements et conflits d'une grande intense. En effet des dizaines de jeunes et de moins jeunes ont scandé, juste après l'Hymne national, des slogans anti -pouvoir et anti-4e mandat du président-candidat : « Non à un 4e mandat », « La jeunesse en a marre de vous, nous ne voulons pas de vous, partez ! ». Un climat de tension a régné dans la salle de spectacle de la maison de jeunes qui s'est avérée trop exiguë pour contenir les partisans du président-candidat, dépêchés de partout par bus. La situation a failli dégénérer et une confrontation a été évitée de justesse entre les partisans et les opposants à un 4e mandat. On a appris que pas moins de quatre jeunes « perturbateurs » ont été arrêtés par les services de sécurité et relâchés peu de temps après la fin du meeting. Lors de leur première sortie depuis le début de la campagne électorale, dimanche dernier, les meetings des deux ministres en question ont été chahutés et perturbés par des opposants au quatrième mandat notamment à Sour El-Ghouzlane dans la wilaya de Bouira où Amar Ghoul et Amara Benyounès ont prononcé des discours ne dépassant même pas une dizaine de minutes. Dans un premier temps, la direction de campagne de Abdelaziz Bouteflika avait programmé deux meetings à Boumerdès dont l'un à Khemis El- Khechna et l'autre à Bordj Ménaïel, mais ils ont fini par être annulés pour des raisons inexpliquées. Certains pensent qu'ils ont été annulés en raison des actions de protestations enclenchées ces derniers jours dans plusieurs localités de la wilaya. Ceci dit et malgré cette perturbation, les deux orateurs ont prononcé des discours axés principalement sur les réalisations du président-candidat durant ses trois mandats passés, notamment en matière de restauration de la paix et de la réconciliation nationale. Ils ont profité de l'occasion pour tirer à boulets rouges sur les boycotteurs qui, selon eux, « mènent l'Algérie bers le chaos et à revivre les années de braise » avant de s'attaquer au mouvement Barakat qui selon Benyounès, « n'arrive pas à rassembler a foule autour de lui ». Ils n'ont pas manqué de rappeler le contexte régional où plusieurs pays voisins, notamment la Lybie ou encore la Syrie, qui sont secoués par des déchirements et conflits d'une grande intense.