Le candidat à la présidentielle, Ali Benflis, s'est rendu hier à Ghardaïa et a promis, en cas de victoire, de consacrer sa première sortie sur le terrain à cette wilaya. Le candidat à la présidentielle, Ali Benflis, s'est rendu hier à Ghardaïa et a promis, en cas de victoire, de consacrer sa première sortie sur le terrain à cette wilaya. "Je m'engage devant vous, si par la grâce de Dieu je suis élu, de revenir chez vous et ne quitter Ghardaïa qu'après avoir trouvé les solutions et les réponses à la crise qui n'est ni ethnique ni communautaire", a-t-il déclaré dans la commune de Metlili d'abord, et à Bounoura ensuite lors de rencontre de proximité, précisant que la crise est politique, économique et sociale. Le candidat Ali Benflis a consacré le sixième jour de campagne pour le scrutin du 17 avril à une activité de proximité dans la wilaya de Ghardaïa, où il a rencontré la population des deux communautés chaambi et Ibadhite. Lors de ces rencontres, le candidat Benflis a estimé que "la non prise en charge des préoccupations des citoyens, l'absence de dialogue au moment opportun et l'inexistence de l'anticipation dans la gestion des crises seraient à l'origine des évènements qui ont secoué la région". "L'Etat est responsable car assurer la sécurité et garantir la dignité des personnes relèvent de ses missions", a-t-il expliqué rejetant, par là même occasion, la thèse de "la main de l'étranger", la considérant "fallacieuse" et un prétexte brandi par "ceux qui sont incapables de trouver des solutions aux problèmes". Le postulant à la plus haute fonction de l'Etat a clamé le droit à la citoyenneté, le développement économique et social, la démocratie sans exclusion et l'implication des jeunes dans la prise de décision du fait qu'ils constituent la majorité de la société. Jeudi dernier le candidat Benflis était à Tlemcen où il s'engageait à "réhabiliter le droit à la citoyenneté". Déclinant les grands axes de son programme électoral, le candidat au siège d'El Mouradia, a indiqué que son projet vise à apporter des solutions à "la crise multidimensionnelle que vit le pays depuis 25 ans" à travers une Constitution consensuelle qui émanera d'un large dialogue avec tous les partenaires politiques, économiques et sociaux de la scène nationale. "Je n'exclurai personne de ce dialogue si on veut que cette constitution s'inscrive dans la durée et ne connaisse pas le même sort que les quatre précédentes constitutions promulguées depuis l'indépendance", a-t-il précisé, ajoutant, toutefois, qu'il ne cherchait pas à critiquer qui que ce soit. "C'est notre passé et il faut qu'on l'assume", a lancé M. Benflis. D'autre part, le candidat indépendant a renouvelé son refus des étiquettes qu'on tend à coller à l'école disant qu'il "était injuste de dire que l'école algérienne a produit des terroristes". Par ailleurs, et comme lors des précédents meetings, Ali Benflis a conclu par un appel à un vote massif, déclarant qu'il mènera la bataille électorale à travers toutes les wilayas et, a-t-il dit, "je ne me tairai pas devant une éventuelle fraude". "Je m'engage devant vous, si par la grâce de Dieu je suis élu, de revenir chez vous et ne quitter Ghardaïa qu'après avoir trouvé les solutions et les réponses à la crise qui n'est ni ethnique ni communautaire", a-t-il déclaré dans la commune de Metlili d'abord, et à Bounoura ensuite lors de rencontre de proximité, précisant que la crise est politique, économique et sociale. Le candidat Ali Benflis a consacré le sixième jour de campagne pour le scrutin du 17 avril à une activité de proximité dans la wilaya de Ghardaïa, où il a rencontré la population des deux communautés chaambi et Ibadhite. Lors de ces rencontres, le candidat Benflis a estimé que "la non prise en charge des préoccupations des citoyens, l'absence de dialogue au moment opportun et l'inexistence de l'anticipation dans la gestion des crises seraient à l'origine des évènements qui ont secoué la région". "L'Etat est responsable car assurer la sécurité et garantir la dignité des personnes relèvent de ses missions", a-t-il expliqué rejetant, par là même occasion, la thèse de "la main de l'étranger", la considérant "fallacieuse" et un prétexte brandi par "ceux qui sont incapables de trouver des solutions aux problèmes". Le postulant à la plus haute fonction de l'Etat a clamé le droit à la citoyenneté, le développement économique et social, la démocratie sans exclusion et l'implication des jeunes dans la prise de décision du fait qu'ils constituent la majorité de la société. Jeudi dernier le candidat Benflis était à Tlemcen où il s'engageait à "réhabiliter le droit à la citoyenneté". Déclinant les grands axes de son programme électoral, le candidat au siège d'El Mouradia, a indiqué que son projet vise à apporter des solutions à "la crise multidimensionnelle que vit le pays depuis 25 ans" à travers une Constitution consensuelle qui émanera d'un large dialogue avec tous les partenaires politiques, économiques et sociaux de la scène nationale. "Je n'exclurai personne de ce dialogue si on veut que cette constitution s'inscrive dans la durée et ne connaisse pas le même sort que les quatre précédentes constitutions promulguées depuis l'indépendance", a-t-il précisé, ajoutant, toutefois, qu'il ne cherchait pas à critiquer qui que ce soit. "C'est notre passé et il faut qu'on l'assume", a lancé M. Benflis. D'autre part, le candidat indépendant a renouvelé son refus des étiquettes qu'on tend à coller à l'école disant qu'il "était injuste de dire que l'école algérienne a produit des terroristes". Par ailleurs, et comme lors des précédents meetings, Ali Benflis a conclu par un appel à un vote massif, déclarant qu'il mènera la bataille électorale à travers toutes les wilayas et, a-t-il dit, "je ne me tairai pas devant une éventuelle fraude".