Au quatrième jour de la campagne électorale pour l'élection présidentielle d'avril 2014, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid, a été l'hôte de la wilaya de Boumerdès. Dans une salle pleine à craquer, où la majorité des présents sont des jeunes qui n'ont cessé de scander : Au quatrième jour de la campagne électorale pour l'élection présidentielle d'avril 2014, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid, a été l'hôte de la wilaya de Boumerdès. Dans une salle pleine à craquer, où la majorité des présents sont des jeunes qui n'ont cessé de scander : "Belaid président... Y en a marre de la misère ... Belaid président... Y en a marre de la misère ... Belaid président... Y en a marre de la misère..." Après, une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute à l'hymne national, repris par toute l'assistance et un documentaire relatant toutes les stations de son parcours militant, a été présenté pour l'auditoire, qui semblait curieux de découvrir le plus jeune candidat aux présidentielles pour les uns et le soutien indéfectible pour les autres. Pour joindre l'utile à l'agréable, et donner la réplique à ces jeunes pour le slogan précité, Abdelaziz Belaid, a mis l'accent particulier sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national pour instaurer, une fois élu, président de la République une "justice sociale" en offrant à la jeunesse une vie qu'elle mérite, celle de dignité. Le plus jeune candidat aux présidentielles 2014, a cependant expliqué à ses partisans et aux gens de Boumerdès venus écouter son discours électoral, que cette justice ne peut se concrétiser sans leurs voix et en refusant de voter pour "ceux qui ont échoué dans leurs missions". "Pour atteindre cette justice, il faut qu'il y ait un changement au sommet, donner une chance à la génération future et faire confiance à ma personne et à mon programme qui constitue l'alternative", a-t-il déclaré. Parlant des projets de développement contenus dans son programme électoral, il a promis d'éradiquer le chômage à travers une refonte des assemblées élues qui auront la tâche de créer, a-t-il expliqué, des postes d'emplois en créant des entreprises, selon la spécificité de la région. Quant au volet spécifique de la région, en l'occurrence le tourisme, le Dr Belaid, a estimé que le tourisme gagnerait à être la "première richesse" de la région tant ce secteur est pourvoyeur d'emplois pour les jeunes et la région, qui dispose de tous les atouts naturels à même de la hisser au rang d'une "destination touristique privilégiée aussi bien pour les nationaux que les étranger». Il a fait observer, à ce propos, que l'Algérie dispose de potentialités naturelles et matérielles "meilleures que celles des pays voisins" pour faire du secteur du tourisme, a-t-il dit, une "véritable industrie" aussi rentable que les hydrocarbures. Le candidat du Front El Moustakbal, s'est attardé, lors de ce grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République. S'adressant à l'assistance en général et la jeunesse en particulier, les incitant à s'investir dans les affaires de la cité et de ne pas se mettre en quarantaine. Car, l'Algérie, a besoin de ses enfants. "Belaid président... Y en a marre de la misère ... Belaid président... Y en a marre de la misère ... Belaid président... Y en a marre de la misère..." Après, une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute à l'hymne national, repris par toute l'assistance et un documentaire relatant toutes les stations de son parcours militant, a été présenté pour l'auditoire, qui semblait curieux de découvrir le plus jeune candidat aux présidentielles pour les uns et le soutien indéfectible pour les autres. Pour joindre l'utile à l'agréable, et donner la réplique à ces jeunes pour le slogan précité, Abdelaziz Belaid, a mis l'accent particulier sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national pour instaurer, une fois élu, président de la République une "justice sociale" en offrant à la jeunesse une vie qu'elle mérite, celle de dignité. Le plus jeune candidat aux présidentielles 2014, a cependant expliqué à ses partisans et aux gens de Boumerdès venus écouter son discours électoral, que cette justice ne peut se concrétiser sans leurs voix et en refusant de voter pour "ceux qui ont échoué dans leurs missions". "Pour atteindre cette justice, il faut qu'il y ait un changement au sommet, donner une chance à la génération future et faire confiance à ma personne et à mon programme qui constitue l'alternative", a-t-il déclaré. Parlant des projets de développement contenus dans son programme électoral, il a promis d'éradiquer le chômage à travers une refonte des assemblées élues qui auront la tâche de créer, a-t-il expliqué, des postes d'emplois en créant des entreprises, selon la spécificité de la région. Quant au volet spécifique de la région, en l'occurrence le tourisme, le Dr Belaid, a estimé que le tourisme gagnerait à être la "première richesse" de la région tant ce secteur est pourvoyeur d'emplois pour les jeunes et la région, qui dispose de tous les atouts naturels à même de la hisser au rang d'une "destination touristique privilégiée aussi bien pour les nationaux que les étranger». Il a fait observer, à ce propos, que l'Algérie dispose de potentialités naturelles et matérielles "meilleures que celles des pays voisins" pour faire du secteur du tourisme, a-t-il dit, une "véritable industrie" aussi rentable que les hydrocarbures. Le candidat du Front El Moustakbal, s'est attardé, lors de ce grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République. S'adressant à l'assistance en général et la jeunesse en particulier, les incitant à s'investir dans les affaires de la cité et de ne pas se mettre en quarantaine. Car, l'Algérie, a besoin de ses enfants.