Le Parti des travailleurs (PT) n'apprécie apparemment pas certaines positions du candidat indépendant Ali Benflis et il ne s'en cache d'ailleurs pas. La candidate du PT, Louisa Hanoune, l'a clairement indiqué lors de ses meetings électoraux. Le Parti des travailleurs (PT) n'apprécie apparemment pas certaines positions du candidat indépendant Ali Benflis et il ne s'en cache d'ailleurs pas. La candidate du PT, Louisa Hanoune, l'a clairement indiqué lors de ses meetings électoraux. Un de ses plus proches collaborateurs, Ramdane Taazibt, est revenu sur cette question en tentant d'atténuer toutefois la portée de ces critiques. « Nous ne nous attaquons pas à la personne du candidat Benflis ou aux autres candidats, mais nous critiquons les programmes qu'ils défendent » dira en effet Ramdane Taazibt hier au forum du journal El Moudjahid. Et d'ajouter que « j'ai rencontré Ali Benflis il y a quelques jours et je lui ai dit de ne pas se fier à ce que rapporte la presse ». Mais Taazibt ne s'est pas pour autant empêché d'attaquer Benflis sur sa position relative à l'investissement étranger en Algérie. Ali Benflis a déclaré à maintes reprises qu'il va changer la règle des 51 %-49 % s'il est élu à la présidence de la République. Une position qui n'est pas du goût du PT qui a de tout temps défendu cette règle qui consiste a octroyer seulement 49 % des actions pour le partenaire étranger dans tout projet d'investissement. Sur un autre plan, Ramdane Taazibt a aussi égratigné le candidat Ali Benflis qui est resté muet lorsqu'un de ses alliés a appelé à l'intervention étrangère. L'invité du journal El Moudjahid faisait allusion à Ali Benouari qui a adressé recemment une lettre au président Obama et au secrétaire général de l'Onu dans laquelle il demande leurs interventions. « C'est quelque chose de très grave » a indiqué Taazibt, ce d'autant « que cela émane de quelqu'un qui a déjà occupé des postes de responsabilités par le passé ». Et à Taazibt d'ajouter que « Benflis n'a pas condamné cette position » de Benouari qui lui a récemment apporté son soutien dans cette bataille électorale. Taazibt a aussi critiqué ceux qui appellent à une période de transition et ils ont nombreux ces derniers temps à plaider pour cette éventualité afin de sortir le pays de la crise politique. Ainsi pour Ramdane Taazibt, la période de transition sert les desseins de l'administration américaine et des Occidentaux. Dans la même foulée, l'invité du journal El Moudjahid a critiqué le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, qui a effectué mercredi jeudi une visite en Algérie dans le cadre du dialogue stratégique entre les deux pays. « Il a reçu un message clair de la part du peuple algérien qui lui a clairement signifié son refus de toute ingérence » dira Taazibt ajoutant que « John Kerry est venu faire du chantage en cette période électorale ». La visite du responsable américain a été diversement appréciée et l'opposition l'a catégoriquement rejetée accusant le candidat Bouteflika de vouloir l'instrumentaliser à son profit. Il a aussi indiqué que son parti n'est pas contre ceux qui ont appelé au boycott des l'élection présidentielle du 17 avril car, a-t-il souligné, « ils sont libres ». Taazibt, qui a soutenu que son parti est en train de faire une grande campagne électorale, a évoqué la polémique Louisa Hanoune, Abderazak Mokri en estimant que la secrétaire générale du PT a été attaquée. Un de ses plus proches collaborateurs, Ramdane Taazibt, est revenu sur cette question en tentant d'atténuer toutefois la portée de ces critiques. « Nous ne nous attaquons pas à la personne du candidat Benflis ou aux autres candidats, mais nous critiquons les programmes qu'ils défendent » dira en effet Ramdane Taazibt hier au forum du journal El Moudjahid. Et d'ajouter que « j'ai rencontré Ali Benflis il y a quelques jours et je lui ai dit de ne pas se fier à ce que rapporte la presse ». Mais Taazibt ne s'est pas pour autant empêché d'attaquer Benflis sur sa position relative à l'investissement étranger en Algérie. Ali Benflis a déclaré à maintes reprises qu'il va changer la règle des 51 %-49 % s'il est élu à la présidence de la République. Une position qui n'est pas du goût du PT qui a de tout temps défendu cette règle qui consiste a octroyer seulement 49 % des actions pour le partenaire étranger dans tout projet d'investissement. Sur un autre plan, Ramdane Taazibt a aussi égratigné le candidat Ali Benflis qui est resté muet lorsqu'un de ses alliés a appelé à l'intervention étrangère. L'invité du journal El Moudjahid faisait allusion à Ali Benouari qui a adressé recemment une lettre au président Obama et au secrétaire général de l'Onu dans laquelle il demande leurs interventions. « C'est quelque chose de très grave » a indiqué Taazibt, ce d'autant « que cela émane de quelqu'un qui a déjà occupé des postes de responsabilités par le passé ». Et à Taazibt d'ajouter que « Benflis n'a pas condamné cette position » de Benouari qui lui a récemment apporté son soutien dans cette bataille électorale. Taazibt a aussi critiqué ceux qui appellent à une période de transition et ils ont nombreux ces derniers temps à plaider pour cette éventualité afin de sortir le pays de la crise politique. Ainsi pour Ramdane Taazibt, la période de transition sert les desseins de l'administration américaine et des Occidentaux. Dans la même foulée, l'invité du journal El Moudjahid a critiqué le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, qui a effectué mercredi jeudi une visite en Algérie dans le cadre du dialogue stratégique entre les deux pays. « Il a reçu un message clair de la part du peuple algérien qui lui a clairement signifié son refus de toute ingérence » dira Taazibt ajoutant que « John Kerry est venu faire du chantage en cette période électorale ». La visite du responsable américain a été diversement appréciée et l'opposition l'a catégoriquement rejetée accusant le candidat Bouteflika de vouloir l'instrumentaliser à son profit. Il a aussi indiqué que son parti n'est pas contre ceux qui ont appelé au boycott des l'élection présidentielle du 17 avril car, a-t-il souligné, « ils sont libres ». Taazibt, qui a soutenu que son parti est en train de faire une grande campagne électorale, a évoqué la polémique Louisa Hanoune, Abderazak Mokri en estimant que la secrétaire générale du PT a été attaquée.