Le Front des forces socialistes (FFS) prévoit d'organiser une conférence de consensus. Le parti, qui a fait cette annonce hier, n'a pas indiqué la date de la tenue de cette conférence. Il a, en revanche, esquissé les contours de cette rencontre ainsi que les objectifs qui lui seront dévolus. Le Front des forces socialistes (FFS) prévoit d'organiser une conférence de consensus. Le parti, qui a fait cette annonce hier, n'a pas indiqué la date de la tenue de cette conférence. Il a, en revanche, esquissé les contours de cette rencontre ainsi que les objectifs qui lui seront dévolus. Tous les acteurs de la scène nationale seront sollicités pour la réussite de ce rendez-vous et ce dans le but évident de trouver les solutions les meilleures à la crise politique. « Le Front des forces socialistes a décidé d'entamer des rencontres avec les acteurs politiques et sociaux pour la tenue d'une conférence de consensus pour une issue démocratique et pacifique à la crise nationale » a indiqué le FFS dans un communiqué rendu public. Ce communiqué, émanant de l'instance présidentielle qui est la plus haute instance exécutive du parti et qui est composé de cinq membres, précise en outre que « des contacts seront pris avec les parties qui ont manifesté un intérêt pour une approche consensuelle des questions politiques, économiques, sociales, environnementales et culturelles qui se posent au pays. Ceci afin d'assurer l'unité, la cohésion et la souveraineté nationale dans un contexte international et régional sensible, et de répondre aux besoins de développement durable, de diversification économique et de demandes sociales urgentes ». Qui sont ces parties qui ont manifestées un intérêt pour l'approche consensuelle ? Le FFS ne souffle mot, pour l'instant à tout le moins, sur ces parties. Elles seront certainement connues à l'issue des consultations qui seront engagées par le FFS avec l'ensemble des acteurs de la scène nationale. Avant-hier, en marge de la célébration de la Journée nationale du militant, le premier secrétaire du parti, Betatache, a fait montre de sa satisfaction par rapport à l'adhésion de partis politiques et de personnalités à la proposition d'une transition démocratique. Betatache a aussi rappelé que l'idée de la refondation d'un consensus national a été entérinée par le 5e congrès du FFS. C'est dans cette perspective que s'inscrit la conférence du consensus. « L'objectif de cette conférence est d'offrir un cadre d'échange et de concertation à tous les participants : formations politiques, candidats à l'élection présidentielle, personnalités indépendantes, universitaires, animateurs et organisations sociales » note encore le communiqué de l'instance présidentielle avant de préciser que « le but est de parvenir à définir ensemble un certain nombre de règles permettant un meilleur fonctionnement de l'Etat et des institutions acceptées et respectées par tous ». Il s'agit aussi, ajoute le communiqué « de définir ensemble les étapes, les instruments et les modalités pour mettre en place un système politique ouvert et édifier une république moderne à la fois, démocratique et sociale ». En somme il s'agirait bel et bien, après le consensus des différents protagonistes de cette conférence de l'instauration d'une période de transition. Une période de transition qui semble être le cheval de bataille politique de nombreux acteurs de la scène nationale. En effet ces derniers temps, les appels pour une période de transition sont devenues légion. « Sur certaines questions d'intérêt national, un consensus sur les politiques à mener est d'une importance vitale pour faire renaître la confiance, remettre le pays au travail et préserver l'avenir des générations futures » estime l'instance présidentielle du plus vieux parti d'opposition tout en précisant que « pour la préparation de cette conférence de consensus, le FFS ne pose aucun préalable mais, instruit par les expériences passées, il sera attentif à réunir les conditions de sa réussite ». Tous les acteurs de la scène nationale seront sollicités pour la réussite de ce rendez-vous et ce dans le but évident de trouver les solutions les meilleures à la crise politique. « Le Front des forces socialistes a décidé d'entamer des rencontres avec les acteurs politiques et sociaux pour la tenue d'une conférence de consensus pour une issue démocratique et pacifique à la crise nationale » a indiqué le FFS dans un communiqué rendu public. Ce communiqué, émanant de l'instance présidentielle qui est la plus haute instance exécutive du parti et qui est composé de cinq membres, précise en outre que « des contacts seront pris avec les parties qui ont manifesté un intérêt pour une approche consensuelle des questions politiques, économiques, sociales, environnementales et culturelles qui se posent au pays. Ceci afin d'assurer l'unité, la cohésion et la souveraineté nationale dans un contexte international et régional sensible, et de répondre aux besoins de développement durable, de diversification économique et de demandes sociales urgentes ». Qui sont ces parties qui ont manifestées un intérêt pour l'approche consensuelle ? Le FFS ne souffle mot, pour l'instant à tout le moins, sur ces parties. Elles seront certainement connues à l'issue des consultations qui seront engagées par le FFS avec l'ensemble des acteurs de la scène nationale. Avant-hier, en marge de la célébration de la Journée nationale du militant, le premier secrétaire du parti, Betatache, a fait montre de sa satisfaction par rapport à l'adhésion de partis politiques et de personnalités à la proposition d'une transition démocratique. Betatache a aussi rappelé que l'idée de la refondation d'un consensus national a été entérinée par le 5e congrès du FFS. C'est dans cette perspective que s'inscrit la conférence du consensus. « L'objectif de cette conférence est d'offrir un cadre d'échange et de concertation à tous les participants : formations politiques, candidats à l'élection présidentielle, personnalités indépendantes, universitaires, animateurs et organisations sociales » note encore le communiqué de l'instance présidentielle avant de préciser que « le but est de parvenir à définir ensemble un certain nombre de règles permettant un meilleur fonctionnement de l'Etat et des institutions acceptées et respectées par tous ». Il s'agit aussi, ajoute le communiqué « de définir ensemble les étapes, les instruments et les modalités pour mettre en place un système politique ouvert et édifier une république moderne à la fois, démocratique et sociale ». En somme il s'agirait bel et bien, après le consensus des différents protagonistes de cette conférence de l'instauration d'une période de transition. Une période de transition qui semble être le cheval de bataille politique de nombreux acteurs de la scène nationale. En effet ces derniers temps, les appels pour une période de transition sont devenues légion. « Sur certaines questions d'intérêt national, un consensus sur les politiques à mener est d'une importance vitale pour faire renaître la confiance, remettre le pays au travail et préserver l'avenir des générations futures » estime l'instance présidentielle du plus vieux parti d'opposition tout en précisant que « pour la préparation de cette conférence de consensus, le FFS ne pose aucun préalable mais, instruit par les expériences passées, il sera attentif à réunir les conditions de sa réussite ».