Cinquante-six des soixante "otages" qui étaient retenus par des activistes pro-russes au siège local des Services de sécurité ukrainiens (SBU) à Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, ont été libérés dans la nuit de mardi à mercredi, a indiqué le SBU. Cinquante-six des soixante "otages" qui étaient retenus par des activistes pro-russes au siège local des Services de sécurité ukrainiens (SBU) à Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, ont été libérés dans la nuit de mardi à mercredi, a indiqué le SBU. Les séparatistes, qui occupent le bâtiment depuis dimanche, ont laissé partir 51, puis 5 personnes, après avoir permis l'accès aux locaux à des députés qui ont mené les négociations, écrit le SBU sur son site internet. Toutes les personnes relâchées sont saines et sauves. Les députés ayant mené les négociations ont pu quitter sans encombre les lieux et "les négociations se poursuivent dans le but de minimiser les risques pour la vie et la sécurité des habitants de Lougansk", écrit le SBU. Mardi soir, 48 heures après la prise du bâtiment, le SBU avait affirmé que les séparatistes, "sous la menace d'armes et d'explosifs, empêchent une soixantaine de personnes de quitter les lieux et de rentrer chez elles". Les services de sécurité accusaient également "les assaillants (d'avoir) miné les lieux", affirmant tout faire pour "obtenir que les assaillants libèrent les otages et déposent les armes". Outre le bâtiment du SBU à Lougansk, des activistes pro-russes ont pris, depuis, plusieurs autres bâtiments publics dans l'est russophone de l'Ukraine. Ils tiennent toujours les locaux de l'administration régionale à Donetsk mais ont été délogés des locaux du SBU dans la même ville et de ceux de l'administration régionale à Kharkiv. Les séparatistes, qui occupent le bâtiment depuis dimanche, ont laissé partir 51, puis 5 personnes, après avoir permis l'accès aux locaux à des députés qui ont mené les négociations, écrit le SBU sur son site internet. Toutes les personnes relâchées sont saines et sauves. Les députés ayant mené les négociations ont pu quitter sans encombre les lieux et "les négociations se poursuivent dans le but de minimiser les risques pour la vie et la sécurité des habitants de Lougansk", écrit le SBU. Mardi soir, 48 heures après la prise du bâtiment, le SBU avait affirmé que les séparatistes, "sous la menace d'armes et d'explosifs, empêchent une soixantaine de personnes de quitter les lieux et de rentrer chez elles". Les services de sécurité accusaient également "les assaillants (d'avoir) miné les lieux", affirmant tout faire pour "obtenir que les assaillants libèrent les otages et déposent les armes". Outre le bâtiment du SBU à Lougansk, des activistes pro-russes ont pris, depuis, plusieurs autres bâtiments publics dans l'est russophone de l'Ukraine. Ils tiennent toujours les locaux de l'administration régionale à Donetsk mais ont été délogés des locaux du SBU dans la même ville et de ceux de l'administration régionale à Kharkiv.