La marche à laquelle a appelé, hier devant la fac centrale, le Mouvement Barakat, contre le 4ème mandat de président de la République Abdelaziz Bouteflika a été empêchée par la police. Les membres du mouvement ont eu fort à faire avec les forces de l'ordre dépêchées en grand nombre au niveau de la fac centrale et au niveau de la place Maurice Audin. La marche à laquelle a appelé, hier devant la fac centrale, le Mouvement Barakat, contre le 4ème mandat de président de la République Abdelaziz Bouteflika a été empêchée par la police. Les membres du mouvement ont eu fort à faire avec les forces de l'ordre dépêchées en grand nombre au niveau de la fac centrale et au niveau de la place Maurice Audin. Les animateurs de Barakat ont été encerclés par les policiers au niveau des ruelles adjacentes pour que les différents groupes de personnes ne fassent jonction entre eux et qui pouvaient constituer un long cortège de protestataires. Une opération réussie par les forces de l'ordre qui n'ont eu a affronté qu'un nombre restreint de manifestants. Les policiers ont du faire usage, parfois, de brutalités pour disperser les manifestants les plus récalcitrants. Quelques membres du Mouvement «Barakat», dont Amina Bouraoui, ont été embarqué dans des fourgons des services de l'ordre. Le mot d'ordre du Mouvement n'a pas suscité l'adhésion de nombreuses personnes. Il est vrai que les policiers n'ont pas fait dans la dentelle. Quelques slogans fusaient de temps à autres, tels Djazaïr Hora démocratia» ou «pouvoir assassin», ce qui a «énervé» quelque peu les policiers qui ont malmené leurs auteurs. Une contre manifestation pro-Bouteflika a été improvisée par une dizaine de personne au niveau de la place Audin. Elle n'a pas fait long feu face au peu d'engouement qu'elle a suscité par la foule agglutinée sur la place mythique du centre d'Alger. Les animateurs de Barakat ont été encerclés par les policiers au niveau des ruelles adjacentes pour que les différents groupes de personnes ne fassent jonction entre eux et qui pouvaient constituer un long cortège de protestataires. Une opération réussie par les forces de l'ordre qui n'ont eu a affronté qu'un nombre restreint de manifestants. Les policiers ont du faire usage, parfois, de brutalités pour disperser les manifestants les plus récalcitrants. Quelques membres du Mouvement «Barakat», dont Amina Bouraoui, ont été embarqué dans des fourgons des services de l'ordre. Le mot d'ordre du Mouvement n'a pas suscité l'adhésion de nombreuses personnes. Il est vrai que les policiers n'ont pas fait dans la dentelle. Quelques slogans fusaient de temps à autres, tels Djazaïr Hora démocratia» ou «pouvoir assassin», ce qui a «énervé» quelque peu les policiers qui ont malmené leurs auteurs. Une contre manifestation pro-Bouteflika a été improvisée par une dizaine de personne au niveau de la place Audin. Elle n'a pas fait long feu face au peu d'engouement qu'elle a suscité par la foule agglutinée sur la place mythique du centre d'Alger.