«Le cabinet a décidé à l'unanimité que le gouvernement israélien ne négociera pas avec un gouvernement palestinien s'appuyant sur le Hamas, une organisation terroriste qui appelle à la destruction d'Israël », a annoncé, jeudi 24 avril, le bureau du Premier ministre Benjamin Nétanyahou. Cette décision a été prise après la signature, mercredi, d'un accord de réconciliation entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) du président palestinien, Mahmoud Abbas, et le Hamas islamiste, bête noire d'Israël, qui le considère comme une organisation terroriste. «Le cabinet a décidé à l'unanimité que le gouvernement israélien ne négociera pas avec un gouvernement palestinien s'appuyant sur le Hamas, une organisation terroriste qui appelle à la destruction d'Israël », a annoncé, jeudi 24 avril, le bureau du Premier ministre Benjamin Nétanyahou. Cette décision a été prise après la signature, mercredi, d'un accord de réconciliation entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) du président palestinien, Mahmoud Abbas, et le Hamas islamiste, bête noire d'Israël, qui le considère comme une organisation terroriste. « En outre, Israël va prendre un certain nombre de mesures en réponse aux gestes unilatéraux » des Palestiniens, ajoute le communiqué publié à l'issue d'une réunion de cinq heures du cabinet de sécurité, qui comporte les plus importants ministres. Il n'a pas donné de précisions dans l'immédiat sur ces « mesures ». « Au lieu de choisir la paix, Abou Mazen [le surnom de M. Abbas] a conclu un pacte avec une organisation terroriste meurtrière », accuse le communiqué israélien. « Quiconque choisit la terreur du Hamas ne veut pas la paix. » Le Hamas est également considéré comme une « organisation terroriste » par les Etats-Unis et l'Union européenne. L'accord interpalestinien, qui prévoit la formation d'un gouvernement de « consensus national » et la tenue d'élections à la fin de l'année, a été signé au moment où les négociations de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas sont dans l'impasse, aucun résultat tangible n'ayant été enregistré depuis leur reprise en juillet 2012 sous l'égide des Etats-Unis. Cet accord a été accueilli par des scènes de liesse dans la bande occupée de Ghaza. « En outre, Israël va prendre un certain nombre de mesures en réponse aux gestes unilatéraux » des Palestiniens, ajoute le communiqué publié à l'issue d'une réunion de cinq heures du cabinet de sécurité, qui comporte les plus importants ministres. Il n'a pas donné de précisions dans l'immédiat sur ces « mesures ». « Au lieu de choisir la paix, Abou Mazen [le surnom de M. Abbas] a conclu un pacte avec une organisation terroriste meurtrière », accuse le communiqué israélien. « Quiconque choisit la terreur du Hamas ne veut pas la paix. » Le Hamas est également considéré comme une « organisation terroriste » par les Etats-Unis et l'Union européenne. L'accord interpalestinien, qui prévoit la formation d'un gouvernement de « consensus national » et la tenue d'élections à la fin de l'année, a été signé au moment où les négociations de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas sont dans l'impasse, aucun résultat tangible n'ayant été enregistré depuis leur reprise en juillet 2012 sous l'égide des Etats-Unis. Cet accord a été accueilli par des scènes de liesse dans la bande occupée de Ghaza.