Le siège de l'APC de Chabet El Ameur à une trentaine de kms au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès a été fermé, hier, par des villageois pour dénoncer les conditions de vie lamentables. Le siège de l'APC de Chabet El Ameur à une trentaine de kms au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès a été fermé, hier, par des villageois pour dénoncer les conditions de vie lamentables. Les habitants d'Aït Mekla au versant nord-est de la localité ont réclamé le règlement définitif de la pénurie d'eau potable qui frappe la région depuis l'indépendance. Selon des protestataires, les responsables de la wilaya leur ont promis de raccorder la région à Koudiet Asserdoune dans la wilaya de Bouira, mais deux ans plus tard, le projet n'est toujours pas concrétisé et c'est à partir de la station de dessalement de l'eau de mer de Cap Djenet que la localité sera raccordée. Le projet n'est toujours pas lancé alors que les villageois continuent de vivre dans un calvaire notamment en ce début de période de chaleur. Nous avons appris qu'un projet de raccordement de la région à partir d'un château d'eau à Tizi Lvir alimentée par Taksebt est à l'arrêt depuis près de trois mois. Les manifestants qui ont fermé tôt la matinée le siège de la mairie ont réclamé le revêtement des routes qui relient le chef-lieu communal aux villages de versant nord est qui se trouvent dans un état dégradé en raison du passage de camions de gros tonnage transportant du sable pillé. L'état lamentable des routes à contraint plusieurs transporteurs à changer d'activité. En raison de l'hiver rude que connait la région, les villageois continuent à courir derrière les bonbonnes de gaz butane pour se réchauffer. C'est pour cela, qu'ils ont réclamé le raccordement des villages Azzouza, Ait Saïd, Aït El Hamel et Ouled Ben Abdallah, au réseau de gaz de ville. Selon un représentant du village, l'étude de raccordement au gaz de ville de la région, est fin prête mais rien n'est encore fait sur le terrain. Les villageois ont profité de l'occasion pour réclamer le renforcement du transport scolaire des collégiens et lycéens. À l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était encore fermé et plusieurs citoyens n'ont pas pu se faire délivrer des documents administratifs car le service d'état civil était paralysé. Les habitants d'Aït Mekla au versant nord-est de la localité ont réclamé le règlement définitif de la pénurie d'eau potable qui frappe la région depuis l'indépendance. Selon des protestataires, les responsables de la wilaya leur ont promis de raccorder la région à Koudiet Asserdoune dans la wilaya de Bouira, mais deux ans plus tard, le projet n'est toujours pas concrétisé et c'est à partir de la station de dessalement de l'eau de mer de Cap Djenet que la localité sera raccordée. Le projet n'est toujours pas lancé alors que les villageois continuent de vivre dans un calvaire notamment en ce début de période de chaleur. Nous avons appris qu'un projet de raccordement de la région à partir d'un château d'eau à Tizi Lvir alimentée par Taksebt est à l'arrêt depuis près de trois mois. Les manifestants qui ont fermé tôt la matinée le siège de la mairie ont réclamé le revêtement des routes qui relient le chef-lieu communal aux villages de versant nord est qui se trouvent dans un état dégradé en raison du passage de camions de gros tonnage transportant du sable pillé. L'état lamentable des routes à contraint plusieurs transporteurs à changer d'activité. En raison de l'hiver rude que connait la région, les villageois continuent à courir derrière les bonbonnes de gaz butane pour se réchauffer. C'est pour cela, qu'ils ont réclamé le raccordement des villages Azzouza, Ait Saïd, Aït El Hamel et Ouled Ben Abdallah, au réseau de gaz de ville. Selon un représentant du village, l'étude de raccordement au gaz de ville de la région, est fin prête mais rien n'est encore fait sur le terrain. Les villageois ont profité de l'occasion pour réclamer le renforcement du transport scolaire des collégiens et lycéens. À l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était encore fermé et plusieurs citoyens n'ont pas pu se faire délivrer des documents administratifs car le service d'état civil était paralysé.