Le siège de l'APC de Chabet El Ameur à l'est de Boumerdès a été fermé, hier, une nouvelle fois par les habitants du arch Aït Mekla qui réclament l'amélioration des conditions de vie dans leur région. L'action de protestation d'hier a vu la participation de centaines d'autres villageois qui ne veulent pas rester indifférents aux revendications légitimes des citoyens qui ne réclament que leurs droits à une vie digne. Le siège de l'APC de Chabet El Ameur à l'est de Boumerdès a été fermé, hier, une nouvelle fois par les habitants du arch Aït Mekla qui réclament l'amélioration des conditions de vie dans leur région. L'action de protestation d'hier a vu la participation de centaines d'autres villageois qui ne veulent pas rester indifférents aux revendications légitimes des citoyens qui ne réclament que leurs droits à une vie digne. C'est ainsi que des habitants de pas moins de cinq villages dont Azzouza, Aït Saïd, Ait El Hadj et Aït Tafat y ont pris part à l'action d'hier que les villageois veulent l'inscrire dans la durée jusqu'à satisfaction de leurs revendications. Les protestataires se plaignent du laxisme des autorités locales de wilaya qui n'ont pas tenu à leurs promesses de trouver une solution définitive aux problèmes auxquels font face les citoyens depuis belle lurette. A la tête des revendications, les protestataires réclament de l'eau potable qui n'a pas coulé depuis plusieurs années dans les robinets. Ils réclament le revêtement des routes dégradées par le passage incessant des camions de gros tonnage transportant du sablé pillé, du gaz naturel, d'ouverture de salle de soins, d'une annexe APC et une ligne téléphonique. Les manifestants ont soulevé, également, le problème du ramassage des ordures ménagères qui peine à être assuré par les services de l'APC et réclament le raccordement au réseau d'assainissement. A l'heure où nous mettons sous presse, une délégation de la wilaya était dépêchée à l'APC pour discuter avec les délégués des villages et trouver de solutions. Nous avons vainement contacté par téléphone le P/APC. C'est ainsi que des habitants de pas moins de cinq villages dont Azzouza, Aït Saïd, Ait El Hadj et Aït Tafat y ont pris part à l'action d'hier que les villageois veulent l'inscrire dans la durée jusqu'à satisfaction de leurs revendications. Les protestataires se plaignent du laxisme des autorités locales de wilaya qui n'ont pas tenu à leurs promesses de trouver une solution définitive aux problèmes auxquels font face les citoyens depuis belle lurette. A la tête des revendications, les protestataires réclament de l'eau potable qui n'a pas coulé depuis plusieurs années dans les robinets. Ils réclament le revêtement des routes dégradées par le passage incessant des camions de gros tonnage transportant du sablé pillé, du gaz naturel, d'ouverture de salle de soins, d'une annexe APC et une ligne téléphonique. Les manifestants ont soulevé, également, le problème du ramassage des ordures ménagères qui peine à être assuré par les services de l'APC et réclament le raccordement au réseau d'assainissement. A l'heure où nous mettons sous presse, une délégation de la wilaya était dépêchée à l'APC pour discuter avec les délégués des villages et trouver de solutions. Nous avons vainement contacté par téléphone le P/APC.