Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, s'est dit, samedi à Bamako, « certain » de la contribution « très positive » de l'Algérie à promouvoir un dialogue « constructif et franc » entre les parties maliennes. « L'engagement de l'Algérie est le bienvenu et souhaité. Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, s'est dit, samedi à Bamako, « certain » de la contribution « très positive » de l'Algérie à promouvoir un dialogue « constructif et franc » entre les parties maliennes. « L'engagement de l'Algérie est le bienvenu et souhaité. Nous sommes certains qu'il va contribuer très positivement à un dialogue constructif et franc entre les parties maliennes », a indiqué M. Diop à l'ouverture des travaux de la 3e session du Comité bilatérale stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali. Il a ajouté que les deux pays devaient aller vers les « meilleures » solutions pour renforcer la paix et la stabilité dans le Mali et la région, saluant les positions claires de l'Algérie, son engagement « renouvelé » et l'assistance qu'elle apporte, notamment aux populations du Nord-Mali. « Nos chefs d'Etat respectifs nous ont donnés des directives claires concernant le renforcement des liens de concertation et d'entente, qui sont déjà au plus haut niveau, en termes d'actions concrètes pour renforcer la stabilité et la paix au Mali pour arriver à un développement économique et social durable», a-t-il souligné. Il a relevé que « ce qui se passait au Mali ne concernait pas uniquement ce pays, mais tous les pays de la région, car leur destin sont liés par l'histoire et la géographie ». M. Diop a indiqué, par ailleurs, que la désignation récente par le président malien, Ibrahim Boubacar Keita d'un haut représentant chargé des pourparlers « inclusifs » entre Maliens était une étape « importante » permettant l'aboutissement des efforts menés, notamment, par l'Algérie pour la préparation d'un dialogue se basant sur des fondations « saines ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, a indiqué que l'Algérie était « consciente » de la responsabilité qui lui revient dans la résolution de la crise malienne pour arriver à la stabilité et la sécurité de la région, afin d'assurer son décollage économique. Il a relevé que l'Algérie était « tout à fait sensible » à la « nécessité » d'épargner « autant que possible » des épreuves similaires, affirmant que « toute journée et semaine de perdues concernant la restauration de la paix et la stabilité de la région est perdue durablement pour le développement et la coexistence harmonieuse des populations concernées ». Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué qu'il fallait veiller à « ce que les maux et les problèmes frontaliers », comme les activités terroristes, soient « contenus, endigués et progressivement mis hors de cause, grâce à une coopération de tous les instants et à des activités de prévention». « Nous ambitionnons de transformer la région sahélo-saharienne en une zone de développement, avec la réalisation de projets structurant » , a soutenu M. Lamamra. Ce dernier a indiqué avoir capté la « vision stratégique » des deux chefs d'Etat algérien et malien, Abdelaziz Bouteflika et Ibrahim Boubacar Keita, lors de la mise en place du Comité bilatérale stratégique algéro-malien, en vue de travailler dans la concertation avec cependant des visions à rénover. Il a relevé que les deux parties avaient été dotées d'une feuille de route, prenant en charge toutes les évolutions intervenues depuis janvier dernier pour se projeter dans un avenir « ambitieux », en empruntant des « chemins qui sont des fois pacifiques et politiques pour arriver à des résultats préservant l'unité et l'intégrité de la Constitution malienne ». Nous sommes certains qu'il va contribuer très positivement à un dialogue constructif et franc entre les parties maliennes », a indiqué M. Diop à l'ouverture des travaux de la 3e session du Comité bilatérale stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali. Il a ajouté que les deux pays devaient aller vers les « meilleures » solutions pour renforcer la paix et la stabilité dans le Mali et la région, saluant les positions claires de l'Algérie, son engagement « renouvelé » et l'assistance qu'elle apporte, notamment aux populations du Nord-Mali. « Nos chefs d'Etat respectifs nous ont donnés des directives claires concernant le renforcement des liens de concertation et d'entente, qui sont déjà au plus haut niveau, en termes d'actions concrètes pour renforcer la stabilité et la paix au Mali pour arriver à un développement économique et social durable», a-t-il souligné. Il a relevé que « ce qui se passait au Mali ne concernait pas uniquement ce pays, mais tous les pays de la région, car leur destin sont liés par l'histoire et la géographie ». M. Diop a indiqué, par ailleurs, que la désignation récente par le président malien, Ibrahim Boubacar Keita d'un haut représentant chargé des pourparlers « inclusifs » entre Maliens était une étape « importante » permettant l'aboutissement des efforts menés, notamment, par l'Algérie pour la préparation d'un dialogue se basant sur des fondations « saines ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, a indiqué que l'Algérie était « consciente » de la responsabilité qui lui revient dans la résolution de la crise malienne pour arriver à la stabilité et la sécurité de la région, afin d'assurer son décollage économique. Il a relevé que l'Algérie était « tout à fait sensible » à la « nécessité » d'épargner « autant que possible » des épreuves similaires, affirmant que « toute journée et semaine de perdues concernant la restauration de la paix et la stabilité de la région est perdue durablement pour le développement et la coexistence harmonieuse des populations concernées ». Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué qu'il fallait veiller à « ce que les maux et les problèmes frontaliers », comme les activités terroristes, soient « contenus, endigués et progressivement mis hors de cause, grâce à une coopération de tous les instants et à des activités de prévention». « Nous ambitionnons de transformer la région sahélo-saharienne en une zone de développement, avec la réalisation de projets structurant » , a soutenu M. Lamamra. Ce dernier a indiqué avoir capté la « vision stratégique » des deux chefs d'Etat algérien et malien, Abdelaziz Bouteflika et Ibrahim Boubacar Keita, lors de la mise en place du Comité bilatérale stratégique algéro-malien, en vue de travailler dans la concertation avec cependant des visions à rénover. Il a relevé que les deux parties avaient été dotées d'une feuille de route, prenant en charge toutes les évolutions intervenues depuis janvier dernier pour se projeter dans un avenir « ambitieux », en empruntant des « chemins qui sont des fois pacifiques et politiques pour arriver à des résultats préservant l'unité et l'intégrité de la Constitution malienne ».