Après le cannabis, place à la cocaïne et à l'héroïne qui poursuivent leur percée dans la société algérienne, notamment au sein des jeunes et de la classe aisée. Le constat des services de sécurité est clair à ce sujet. La drogue dure est de plus en plus présente dans notre pays. Après le cannabis, place à la cocaïne et à l'héroïne qui poursuivent leur percée dans la société algérienne, notamment au sein des jeunes et de la classe aisée. Le constat des services de sécurité est clair à ce sujet. La drogue dure est de plus en plus présente dans notre pays. Certes pas en quantités considérables mais comme dirait l'autre, « petit à petit l'oiseau fait son nid » . Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, plus de 171 kg de cocaïne ont été saisis durant les quatre dernières années, dont 165 kg découverts à l'intérieur d'un container de marchandises dans une opération spectaculaire et inédite baptisée « Rip-Off ». La cocaïne saisie était pure et d'origine colombienne. Il y a quelques jours, lors d'un contrôle sur la RN 7, reliant Sidi-Bel-Abbès à Tlemcen, les gendarmes de la brigade de Hassi-Zehana ont interpellé un ressortissant nigérian, en situation irrégulière, qui voyageait à bord d'un autocar de Sidi-Bel-Abbès vers Tlemcen. Placé en garde à vue pour les besoins de l'enquête, le mis en cause a été évacué en fin de journée vers l'établissement public de santé de proximité de Ben-Badis suite à des douleurs abdominales avant de prendre la direction de l'hôpital de Sidi-Bel-Abbès après que son cas se soit aggravé. Mais à la grande surprise des médecins et des gendarmes, la consultation médicale a démontré qu'il avait dans l'estomac des capsules suspectes. Il a en effet dégagé trente-deux (32) capsules contenant au total 695,3 grammes d'une poudre blanchâtre qui s'apparente à de la cocaïne et un billet de 500 euros enveloppé dans un sachet. Un échantillon a été acheminé vers l'Institut national de criminologie et de criminalistique de la Gendarmerie nationale de Bouchaoui aux fins d'analyses. Il faut dire que cette «technique» d'ingurgiter la cocaïne est devenue, par la force des choses, une spécialité puisqu'elle constitue un moyen efficace pour circuler sans être inquiété, notamment quand il est question de la transporter d'un pays à l'autre, à bord d'un l'avion. A ce sujet, il faut rappeler que des peines de 20 ans ont été prononcées la semaine passée par le tribunal criminel d'Alger à l'encontre de 8 ressortissants étrangers impliqués, en 2011, dans une affaire de trafic de drogue. L'affaire porte sur une tentative de transit par l'Algérie de plus de 10 kg de cocaïne programmé par des ressortissants du Nigeria, du Ghana, du Brésil et de Singapour. Un accusé, de nationalité nigériane, qui reste en fuite a écopé de la réclusion à perpétuité par contumace. Les dix accusés étaient accusés d'avoir fait transiter par l'Algérie plus de 10 kg de cocaïne à partir du Brésil. Pour réussir, ils ont avaient avalé la drogue. Arrêtés à l'aéroport Houari-Boumediene d'Alger, ils s'apprêtaient à transporter la cocaïne vers le Niger pour l'écouler. Certes pas en quantités considérables mais comme dirait l'autre, « petit à petit l'oiseau fait son nid » . Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, plus de 171 kg de cocaïne ont été saisis durant les quatre dernières années, dont 165 kg découverts à l'intérieur d'un container de marchandises dans une opération spectaculaire et inédite baptisée « Rip-Off ». La cocaïne saisie était pure et d'origine colombienne. Il y a quelques jours, lors d'un contrôle sur la RN 7, reliant Sidi-Bel-Abbès à Tlemcen, les gendarmes de la brigade de Hassi-Zehana ont interpellé un ressortissant nigérian, en situation irrégulière, qui voyageait à bord d'un autocar de Sidi-Bel-Abbès vers Tlemcen. Placé en garde à vue pour les besoins de l'enquête, le mis en cause a été évacué en fin de journée vers l'établissement public de santé de proximité de Ben-Badis suite à des douleurs abdominales avant de prendre la direction de l'hôpital de Sidi-Bel-Abbès après que son cas se soit aggravé. Mais à la grande surprise des médecins et des gendarmes, la consultation médicale a démontré qu'il avait dans l'estomac des capsules suspectes. Il a en effet dégagé trente-deux (32) capsules contenant au total 695,3 grammes d'une poudre blanchâtre qui s'apparente à de la cocaïne et un billet de 500 euros enveloppé dans un sachet. Un échantillon a été acheminé vers l'Institut national de criminologie et de criminalistique de la Gendarmerie nationale de Bouchaoui aux fins d'analyses. Il faut dire que cette «technique» d'ingurgiter la cocaïne est devenue, par la force des choses, une spécialité puisqu'elle constitue un moyen efficace pour circuler sans être inquiété, notamment quand il est question de la transporter d'un pays à l'autre, à bord d'un l'avion. A ce sujet, il faut rappeler que des peines de 20 ans ont été prononcées la semaine passée par le tribunal criminel d'Alger à l'encontre de 8 ressortissants étrangers impliqués, en 2011, dans une affaire de trafic de drogue. L'affaire porte sur une tentative de transit par l'Algérie de plus de 10 kg de cocaïne programmé par des ressortissants du Nigeria, du Ghana, du Brésil et de Singapour. Un accusé, de nationalité nigériane, qui reste en fuite a écopé de la réclusion à perpétuité par contumace. Les dix accusés étaient accusés d'avoir fait transiter par l'Algérie plus de 10 kg de cocaïne à partir du Brésil. Pour réussir, ils ont avaient avalé la drogue. Arrêtés à l'aéroport Houari-Boumediene d'Alger, ils s'apprêtaient à transporter la cocaïne vers le Niger pour l'écouler.