Le festival s'ouvrira avec le film de Belkacem Hadjadj, Fadhma N'soumer, qui sera d'ailleurs présent pour la projection de son film. Le festival s'ouvrira avec le film de Belkacem Hadjadj, Fadhma N'soumer, qui sera d'ailleurs présent pour la projection de son film. C ' est aujourd'hui que s'ouvrira la deuxième édition du Festival culturel maghrébin du cinéma d'Alger, qui se poursuivra jusqu'au 11 du mois en cours dans deux sites emblématiques : la Cinémathèque algérienne et la salle El- Mouggar. Trente-huit films (films documentaire, court-métrage, longmétrage) sont en compétition cette année. Le festival s'ouvrira avec le film de Belkacem Hadjadj Fadhma N'soumer qui sera d'ailleurs présent pour la projection de son film. Ateliers, projections, tables ronde... rythmeront l'édition de cette année. "Nous avons choisi le film de Belkacem Hadjadj car nous pouvons en être fiers surtout qu'il sera projeté en présence d'une assistance maghrébine." Les objectifs principaux du festival sont de " faire connaître au public algérien les meilleures productions du cinéma maghrébin et de promouvoir la coproduction et la distribution des films maghrébins dans l'espace du Maghreb", a déclaré Abdelkrim Aït Oumeziane, le commissaire du festival lors de la conférence de presse tenue le samedi 26 septembre. D'ailleurs, à ce titre, après le bilan et l'évaluation de la première édition, dont le constat est que cet événement cinématographique a pu atteindre les objectifs assignés, entre celui de réunir autour d'une seule, cause – le septième art – les pays du Maghreb : Algérie, Tunisie, Maroc, Mauritanie et Libye, les organisateurs ont tenu à ce que cette édition 2014 soit à la hauteur des attentes du grand public en général et les amoureux du septième art en particulier. Une occasion de découvrir ce qui se fait en matière de création cinématographique dans tout le pourtour maghrébin. Que ce soit les films longs, courts ou documentaires, aucune section n'a été boudée. La Cinémathèque algérienne et la salle El- Mougar, en l'espace de six jours, seraient le point de chute du public algérois et des localités limitrophes. Les projections seront rehaussées par les débats avec les réalisateurs qui, pour la plupart, seront présents. Une occasion d'échanger les avis, de discuter de leurs films et surtout de les défendre avec un autre public. Selon les observateurs, la première édition du festival a quelque peu "souffert" de l'absence du public, notamment des professionnels. Pour preuve, cette année, le commissaire du festival, Abdelkrim Aït Oumeziane, lance un appel à l'adresse du grand public ainsi qu'aux professionnels les invitant "à venir en force". C ' est aujourd'hui que s'ouvrira la deuxième édition du Festival culturel maghrébin du cinéma d'Alger, qui se poursuivra jusqu'au 11 du mois en cours dans deux sites emblématiques : la Cinémathèque algérienne et la salle El- Mouggar. Trente-huit films (films documentaire, court-métrage, longmétrage) sont en compétition cette année. Le festival s'ouvrira avec le film de Belkacem Hadjadj Fadhma N'soumer qui sera d'ailleurs présent pour la projection de son film. Ateliers, projections, tables ronde... rythmeront l'édition de cette année. "Nous avons choisi le film de Belkacem Hadjadj car nous pouvons en être fiers surtout qu'il sera projeté en présence d'une assistance maghrébine." Les objectifs principaux du festival sont de " faire connaître au public algérien les meilleures productions du cinéma maghrébin et de promouvoir la coproduction et la distribution des films maghrébins dans l'espace du Maghreb", a déclaré Abdelkrim Aït Oumeziane, le commissaire du festival lors de la conférence de presse tenue le samedi 26 septembre. D'ailleurs, à ce titre, après le bilan et l'évaluation de la première édition, dont le constat est que cet événement cinématographique a pu atteindre les objectifs assignés, entre celui de réunir autour d'une seule, cause – le septième art – les pays du Maghreb : Algérie, Tunisie, Maroc, Mauritanie et Libye, les organisateurs ont tenu à ce que cette édition 2014 soit à la hauteur des attentes du grand public en général et les amoureux du septième art en particulier. Une occasion de découvrir ce qui se fait en matière de création cinématographique dans tout le pourtour maghrébin. Que ce soit les films longs, courts ou documentaires, aucune section n'a été boudée. La Cinémathèque algérienne et la salle El- Mougar, en l'espace de six jours, seraient le point de chute du public algérois et des localités limitrophes. Les projections seront rehaussées par les débats avec les réalisateurs qui, pour la plupart, seront présents. Une occasion d'échanger les avis, de discuter de leurs films et surtout de les défendre avec un autre public. Selon les observateurs, la première édition du festival a quelque peu "souffert" de l'absence du public, notamment des professionnels. Pour preuve, cette année, le commissaire du festival, Abdelkrim Aït Oumeziane, lance un appel à l'adresse du grand public ainsi qu'aux professionnels les invitant "à venir en force".